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i don't know what i'm supposed to do (ft. anko)

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Sam 16 Avr - 17:50
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I DON'T KNOW WHAT I'M SUPPOSED TO DO.

flashback - with - anko -



merci
Je vais finir par saigner, à force de me mordre la lèvre. Je hais ce tic. C'est la seule chose que je n'arrive pas à contrôler, chez moi, la seule chose qui casse un peu mon apparence "parfaite" et qui peut montrer que je peux, moi aussi, être totalement dans l'angoisse.
Quelle heure est-il ? 19h30. Dans 30 minutes, elle sera là.. Si elle est ponctuelle. J'espère qu'elle le sera, car j'apprécie cette qualité chez une personne, et aussi parce que cela me donnera moins de temps pour stresser.
Heureusement que ma mère n'est pas là, elle se moquerait de moi. J'ai passé l'après midi à cuisiner, et avec mon perfectionnisme, tout a l'air sorti d'une restaurant étoilé. Je me suis entraîné des jours, des semaines durant, car je savais que je lui proposerais à un moment ou à un autre, et que je voulais que ce soit.. juste...
Parfait.
Aussi parfait qu'elle.
Je me sens débile. Je ne me suis jamais senti aussi débile dans ma vie. Je sais que l'amour rend idiot, c'est ce que tous les livres disent, même si honnêtement, je ne sais pas si on peut encore parler d'amour avec un grand A. Elle me plait. Beaucoup. Beaucoup trop. Je perds tous mes moyens en sa présence et je deviens quelqu'un qui.. n'est pas assez maître de lui même, malheureusement.
Heureusement, je suis aussi doué pour le cacher, et la panique reste la plupart du temps bien logée à l'intérieur du crâne, sans en sortir.
Je fais les cent pas. Une délicieuse odeur embaume la petite maison dans laquelle j'habite. ça aussi, c'est un point qui me stresse. Je ne suis pas sans savoir le milieu duquel Anko vient.. qui est très différent du mien. Ma maison est plus petite que normale, malheureusement, même si ce n'est pas un taudis non plus. Je sais qu'elle s'en fiche et qu'elle n'est pas snob comme ça, mais quand même.
Je me suis habillé comme d'habitude. Le truc est que je suis toujours impeccablement habillé, et je ne voyais pas trop comment faire mieux. Le seul truc que j'ai ajouté, au dessus de ma chemise, est un nœud papillon.
Je n'en suis pas réellement conscient, mais toutes les filles du lycée mourraient d'envie d'être à la place d'Anko.
Pour ma part, je ne voulais voir personne d'autre qu'elle. Elle est la première fille à laquelle je m'intéresse, dans tous les sens du terme. Sa personnalité et son physique m'attirent, elle est intelligente, j'ai toujours eu un certain dégoût pour l'attitude et le mode de pensée de certains de mes congénères, dépassés par leurs hormones.
Moi, je préfère avoir le contrôle. Et cela ne m'intéresse pas, de sauter sur tout ce qui bouge, juste parce qu'on est en rut.
Anko est ma petite amie. Ce sont des mots qui sont encore très étranges, et je ne l'ai même pas dit à ma mère, je n'ose pas. Peut-être parce que c'est très récent, et qu'il y a encore la peur qu'elle me file entre les doigts. La surprise avait été à son apogée quand elle avait dit oui, et maintenant..
Maintenant, tout mon corps, mes muscles, étaient tendus. Je devais avoir perdu deux fois mon apport en calories de la journée, à forcer de transpirer, et de bouger partout pour me détendre. Heureusement, j'avais pris une douche, et m'étais parfumé.
Est-ce qu'elle m'apprécie vraiment ? Sait-elle que je l'apprécie autant ?
C'est dur, quand j'ouvre aussi peu ma bouche. Mais c'est dans ma nature, je n'y peux rien. Je ne veux pas qu'elle doute, quand même, de l'affection que j'éprouve à son égard.
Ma bouche est sèche et je me tiens derrière la porte, prêt à ouvrir quand j'entendrai toquer.
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Dim 17 Avr - 19:37
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I DON'T KNOW WHAT I'M SUPPOSED TO DO.

flashback - with - ichiro -



merci
Je crie de désespoir dans ma chambre et me laisse tomber sur mon lit. La quasi-totalité de ma garde-robe est jonchée sur le sol. Je me suis changée un nombre incalculable de fois mais rien ne me satisfait vraiment. Une fois c’est trop mignon, l’autre fois c’est trop sexy. Et me revoilà à la case départ, en short et sweat. Je ne suis pas une fashionista dans l’âme mais j’aime bien faire attention à ce que je porte mais ce soir je ne vais pas n’importe où. Ichiro. L’effet est immédiat. Je me mets à rouler sur mon lit en gloussant comme une idiote. Je me suis transformée en une énorme guimauve à la violette depuis que je sors avec lui. Jusqu’à maintenant je pensais être différente des autres filles. Je n’étais pas trop intéressée par les garçons. Enfin pas plus que ça. Bien-sûr que vivre une belle histoire d’amour m’a toujours fait un peu rêver mais d’un autre côté je ne peux pas m’empêcher de trouver les couples tout lovey dovey abominablement ridicules et excessivement niais. Et regardez-moi maintenant. Je suis passée du côté obscur de la force.

Je me redresse d’un coup sur mon lit. Il faut que je me décide sinon je vais arriver en retard. Ichiro n’habite pas le même arrondissement que moi. Une chance encore que Meguro et Shibuya soient relativement près. En me redressant je glisse sur l’une de mes veste et me rétame par terre. Je vais prendre ça pour un signe –pour ne pas dire que je ne veux pas me creuser la tête une minute de plus. Je vais porter ça. Je crois que je me suis trop mis la pression à cause de ce que m’a dit une amie. Cette fille est sortie avec un tas de garçons et son copain actuel est étudiant à l’université. Selon elle je devrais choisir mes sous-vêtements avec la même attention. J’ai l’impression que de la fumée me sort par les oreilles. Ça ne fait même pas un mois que l’on est ensemble et on ne s’est pas beaucoup embrassé alors plus... huit millième crise de nerf de l’après-midi. Mes pensées fumeuses m’auront achevée avant que je quitte la maison.

Dans le train je suis nerveuse. Je sers les pans de ma robe. Je sais que nous serons seuls… J’ai menti à mes parents en leur disant que j’allais diner avec des copines de classe et qu’on allait faire un karaoké. Ils ne savent pas que j’ai un petit-ami même si je crois que maman à de sérieux doutes. Elle ne doit rien dire pour éviter que papa fasse une crise cardiaque. Je ne suis peut-être pas sa fille biologique mais l’idée que je puisse sortir avec un garçon semble l’horrifier. Alors je ne dis rien. L’idée de le blesser ou de le décevoir m’est insupportable. Désolée papa, ta fille va passer la soirée chez un garçon avec personne pour nous surveiller. Mon cœur oscille entre l’excitation et l’appréhension.

Cinq… Quatre… A la fin du décompte je toquerais à la porte. Deux... Un... Je prends mon courage à deux mains. Zéro… J’ai l’impression que mon cœur va s’arrêter quand la porte s’ouvre. J’ai les mains moites, les joues en feux et la terrible envie de fuir en courant pour aller me cacher sous ma couette en position latérale de sécurité. Ichiro est tellement… beau. C’est le premier mot qui me vient à l’esprit quand mes yeux se posent sur lui. Tout d’un coup je me sens ridicule tout en noir, comme si j’avais voulu jouer à l’adulte. J’avale ma salive avec difficulté.
« Bonsoir. » Ma salutation sonne trop formelle et ma voix est plus aigüe qu’à l’accoutumée. Vite il faut que je dise quelque chose. « Tu as mis un nœud papillon. » Arrêt sur image. Bravo Anko, toutes mes félicitations. Je suis bonne pour aller pleurer toutes les larmes de mon corps cachée dans un trou. « Je suis désolée, je dis n’importe quoi. » Je soupire. Je sens que cette soirée va être mémorable si je continue comme ça. Je me conduis toujours comme une idiote quand Ichiro est là.
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Lun 18 Avr - 10:45
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I DON'T KNOW WHAT I'M SUPPOSED TO DO.

flashback - with - anko -



merci
Je ne dois pas attendre longtemps avant d’entendre du bruit derrière la porte. Je remarque qu’elle ne frappe pas tout de suite et je souris légèrement, en imaginant tout ce qui doit se passer dans son esprit. Alors qu’elle n’est même pas devant moi, là, je meurs déjà en pensant à quel point elle peut être mignonne. Finalement, j’entends les coups, heureusement que je n’ai pas eu la bonne idée d’ouvrir la porte avant qu’elle toque comme un vrai creep, et j’ouvre, un léger sourire posé sur mes lèvres. Mon cœur bat beaucoup trop vite, mais ça ne se voit pas, j’ai l’air parfaitement détendu, comme si je faisais ça tous les jours. Elle était ma première « vraie » copine, et je n’avais jamais cuisiné pour une fille auparavant. Je ne lui avouerais pas, bien entendu. Je réponds à son « bonsoir » aussi formellement, avec un sourire amusé. Elle a l’air nerveuse, c’est difficile de passer à côté. Je remarque qu’elle est habillée en noir, mais au lieu de me dire qu’elle avait l’air d’aller à un enterrement ou que c’était triste, je ne pus que penser qu’elle était… magnifique. Ce que j’étais niais.

Elle fait une remarque et je baisse le regard, avant de tirer sur le nœud papillon. « Tu n’aimes pas ? J’avais ça et … Je me suis dit que je devrais peut-être le porter, une fois, pour une occasion spéciale. J’ai l’air ridicule ? » Je demande, prenant soudain légèrement peur. Ce qui ne m’arrive pratiquement jamais, il faut le dire, surtout pas à cause de trucs aussi dérisoires que ma tenue vestimentaire. Elle s’excuse et un air de surprise vient se poser tout de suite sur mon visage, mais pourquoi est-elle désolée ? Me sentant mal à l’aise de la laisser sur le pas de la porte, je la tire doucement par le bras à l’intérieur et ferme la porte derrière elle. « Tu n’as aucune raison de t’excuser. » dis-je rapidement, avant de la tirer vers le salon. « Tu peux… te mettre à l’aise. Comment ils disent ? Fais comme chez toi. » Je pousse un léger soupir et mâchonne ma lèvre inférieure, en restant debout au milieu de la pièce.

Urgh, moi qui ne manque pas de confiance en moi, j’ai vraiment l’air pathétique, là. Je me fais un petit speech mentalement et m’approche à nouveau d’Anko, laissant mes doigts frôler son bras pâle et me penchant pour déposer un baiser sur sa joue. « Ne stresse pas. » dis-je presque en chuchotant, dans le but de la rassurer. Je ne sais pas si ça va marcher, au moins, j’ai essayé. Son odeur emplit mes narines et je sens mon ventre s’emplir de frémissements, il en faut peu pour me faire de l’effet. Je caresse doucement ses cheveux avant d’appuyer sur le bout de son nez. « J’espère que tu aimeras.. Ce que j’ai cuisiné pour toi. J’ai fait beaucoup d’efforts. »

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Jeu 21 Avr - 0:19
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flashback - with - ichiro -



merci
Je suis un boulet. Mais un genre de boulet comme on en a rarement vu sur cette planète. Mon petit-ami m’invite chez lui et la première chose dont je parle c’est du nœud-papillon qu’il porte. Je vais partir, une pelle sous le bras et aller m’enterrer dans un trou bien profond au pied du mont Fuji.
«  Non c’est moi qui dit n’importe quoi. » Je lui réponds un peu précipitamment. Je ne trouve pas ça ridicule, bien au contraire. J’ai toujours préféré ça aux cravates. Et je ne voudrais pas qu’il pense que je me moque de lui. Mais c’est vrai que je ne m’attendais pas à le voir en porter un. Je sais qu’Ichiro porte toujours des chemises. Je croie que c’est une des nombreuses choses chez lui qui me font craquer. Pendant un instant j’oublie que je pourrais mourir de honte ou de nervosité.

Je me laisse trainer sans résister à l’intérieur. J’ai à peine le temps de retirer mes chaussures dans l’entrée qu’Ichiro m’entraine dans le salon. Je mets un certain temps à réaliser que nous sommes seuls. Tous les deux. Je suis tellement stressée par cette idée et par tout ce que mes copines ont pu me raconter, que j’ai l’impression que c’est mon corps tout entier qui tremble. J’acquiesce d’un signe de tête quand il me dit de me mettre à l’aise. C’est plus facile à dire qu’à faire. C’est la première fois que je sors avec un garçon. Je n’ai aucune idée de ce que je dois faire ou non. Les conseils et les interdictions de mes amies m’embrouillent. Alors je fais la seule chose dont je sois sûre : je me tais et je regarde autour de moi. J’évite par tous les moyens de regarder Ichiro. A chaque fois que mes yeux se posent sur lui j’ai l’impression de devenir écarlate et que mon cœur va exploser. L’endroit n’est pas très grand. Ça me rappelle notre appartement à Kyoto. Je n’ai pas beaucoup de souvenirs de ma vie là-bas, après tout papa nous a emmené à Tokyo quand j’avais 6 ans. Pourtant je me souviens bien du minuscule appartement que nous habitions. C’est surement ce qui m’a permis de garder la tête froide malgré la fortune démesurée de mon père et l’indécence de notre train de vie. Je préfère ce genre de petites maisons à l’immense villa dans laquelle nous logeons à Meguro. La nôtre est trop irréelle si bien qu’il m’arrive certains matins de me demander si je suis encore endormie.

Je sursaute quand je sens la main d’Ichiro sur mon bras. Je lui souris. Mes yeux captent les siens et je n’ai plus d’autre choix que de continuer à le fixer. Je me perds dans l’immensité de ses orbes sombres. Ses pupilles me suffisent amplement. Je pourrais rester ainsi pour l’éternité. Mon regard plongé dans le sien. Mon cœur se sert. J’ai envie de pleurer mais aussi de rire. Ah. Ça doit être ça l’amour. Son visage s’approche du mien. Fébrile je ferme doucement les yeux. Je suis un peu déçue de seulement sentir ses lèvres contre ma joue. Ses paroles, son souffle, viennent chatouiller ma nuque. Je rouvre les yeux un peu sonnée par les émotions qui m’envahissent. Je meurs de chaud. Je ne sais même plus ce qui me stresse. Tout ce que je sais c’est que mes yeux ne veulent plus jamais quitté les siens et que j’ai horriblement chaud. La chaleur se propage par vague dans mon corps. Ce n’est pas désagréable. Je sens mes oreilles bouillantes et j’ai peur qu’il s’en rende compte en venant caresser mes cheveux.

Ses paroles me font redescendre sur terre. Pendant un instant je coupe notre contact visuel et la magie du moment s’évapore. Je respire un grand coup comme si j’avais été en apnée jusqu’à maintenant. «  Oh. Je serais indulgente alors. » Je dis en souriant. C’est tellement adorable j’ai envie de le prendre dans mes bras ou de me rouler par terre. « Tu savais que j’ai un sens du goût assez développé ? Mon palé ne laisse passer aucune erreur ! » Je parle en riant. J’en rajoute un peu. Disons que je suis douée pour deviner les différends ingrédients quand je goute un plat. J’ai la soudaine envie de lui mettre la pression. Ichiro a toujours l’air détendu et de tout maitriser. J’adorerais le voir perdre ses moyens. Les filles disent que s’il y a bien une personne qui pourrait y arriver c’est moi. Alors autant essayer. Je me mets à me comporter comme une vraie fille. C’est un peu perturbant. J’hésite un instant avant de passer mon bras autour du sien. «  Et si nous allions voir ce que tu as préparé. » J’ai la sensation d’agir de façon osée mais ma voix sonne timidement. Je ne suis vraiment pas faite pour faire ce genre de chose.

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Jeu 21 Avr - 13:05
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I DON'T KNOW WHAT I'M SUPPOSED TO DO.

flashback - with - anko -



merci
J’ai l’impression qu’Anko a autant de mal que moi à garder son calme, et ça me fait sourire, légèrement. Ça me rassure sur les sentiments qu’elle peut avoir à mon égard, et j’espère qu’elle ne doute pas que je suis dans tous mes états, moi aussi, malgré le fait que cela... ne se voie… pratiquement pas. Je n’ai jamais été très expressif, et cela depuis gamin. Je ne pleurais pratiquement pas, et mes parents avaient cru que j’avais un problème mental, ce qui n’avait pas été le cas. Indulgente ? Je souris légèrement « C’est trop gentil de ta part, je ne m’attends pas à tant ! », avec un ton légèrement sarcastique, mais toujours bienveillant. Après tout... Nous ne sommes qu’au début de notre relation et je crois que nous n’avons pas eu une dispute depuis que nous nous connaissons. Je ne veux pas que la première arrive, surtout que je hais toute confrontation. Je fais une légère grimace face à cette « révélation ». « Ah, j’aurais dû commander une pizza ou quelque chose » Je me mords la lèvre, comme toutes les cinq minutes, je commence vraiment à en avoir marre mais malgré toutes mes techniques pour se débarrasser de ce tic, je n’y arrive tout simplement pas. Les filles doivent sûrement penser que c’est une manière de se rendre sexy ou de faire son mec, non, c’est juste que je suis nerveux, et je me mords parfois la lèvre jusqu’au sang sans m’en apercevoir. Sexy, hein ?

Elle passe son bras autour du mien et mon corps, instinctivement, se colle un peu plus contre le sien. Je la mène doucement vers la cuisine, qui n’est guère loin, il suffit de faire quelques pas pour se retrouver dans la petite pièce. J’ai disposé les entrées sur la petite table à manger qui est dans le coin et qui nous servira pour ce repas... romantique. Peut-être que j’en ai fait un peu trop, en fait. J’ai baissé les stores de façon à ce que l’ambiance soit tamisée, il restait encore de la lumière dehors, j’ai mis des bougies et... dieu... des pétales de rose. Roses que soit dit en passant, j’étais allé cueillir tôt ce matin dans un jardin privé, en escaladant une grille. Je suis vraiment pathétique, et je ne le referai pas, j’avais juste eu une bouffée délirante.

Les deux assiettes sont placées l’une en face de l’autre et je tire la chaise pour qu’Anko puisse s’asseoir à son aise, quittant son bras à contre cœur. « En entrée j’ai fait… des brochettes de porc à la vietnamienne. J’espère que tu n’es pas allergique aux cacahuètes… » clique ici pour la belle photo de comment Ichiro gère La panique me prend tout à coup, si elle ne peut pas manger, je serais bien. J’aurais pu demander avant, tout de même.

Je m’assois face à elle et rencontre son regard à nouveau. En fait, cette histoire de palais sensible m’inquiète, et si elle déteste tout ce que j’ai fait ? Je ne suis pas du genre à penser que « l’intention compte », dans mon cas. Il faut que tout soit parfait. Toujours. « Je ne te l’ai pas dit mais… Tu es très jolie. Ce soir. Enfin. Tous les soirs. Tous les jours aussi ? Ce que je veux dire c’est que… Ah… C’est différent sans l’uniforme. Même si je t’ai déjà vue sans uniforme aussi, mais. Tu vois ce que je veux dire ? » Je soupire, agacé par moi-même, fermant les paupières une minute. Jamais je n’ai été aussi maladroit dans mes paroles. « Mangeons. Ça m’évitera d’ouvrir ma bouche et de me ridiculiser. »


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