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you could make me jealous (Jooheon)

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Ven 11 Mar - 23:46
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you could make me jealous

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how she looks Putain comme c'est bon d'être chez soi, de parcourir les rues qu'on connaît par cœur, de se réveiller le matin en ayant vu sur l'arbre qu'on a toujours vu. Ouais ça peut paraître complètement con mais après un an d'absence on prend plaisir à retrouver les choses qui ont fait partie de notre quotidien pendant des années. Des trucs qui nous sortaient peut-être par les yeux avant de partir mais qui finalement s'avère être des petites choses simples qu'on apprécie. Fuck les paysage de l'Inde ce jour-là y'avait que le Japon de vrai. Réveillée, ok à 18h30, mais réveillée de bonne humeur et avec le bon pied Ayaka ne parvenait pas à se débarrasser de son sourire alors même qu'elle plongeait sa cuillère dans une mixture végétalienne qui lui servait de déjeuner et qui d'aspect semblait franchement dégueulasse. La vie dans l'humanitaire lui avait appris qu'on bouffe ce qu'il y'a et puis c'est tout, tu manges et tu te plains pas camarde. Un coup d'œil rapide sur son téléphone et un message de Seto qui ne fit qu'agrandir le sourire déjà bien installé sur son visage, les petites attentions de son petit frère avaient toujours le don de la faire craquer. Les petites attentions de Seto mais  également celle de l'un des autres hommes de sa vie : Jooheon. Un an qu'elle n'avait pas pu entendre sa voix autrement que via un téléphone, le toucher, l'embrasser. Evidemment c'était son choix elle avait décidé en connaissance de cause qu'elle partirait un an et que c'était synonyme de ne pas l'avoir prêt d'elle pendant un certain laps de temps. Mais pour être tout à fait honnête elle ne s'en était pas vraiment inquiétée. D'abord parce que quand était venu le temps de partir elle avait avant tout le besoin de réaliser ce rêve et ne pensais absolument pas aux conséquences que cela pourrait avoir sur sa vie et parce que d'une façon ou d'une autre elle savait bien qu'elle retrouverait la place qu'elle avait toujours occupée auprès de lui. Puis elle avait beau être son officielle il ne s'était jamais rien promit l'un l'autre et elle se doutait bien qu'il avait probablement fait ses affaires ailleurs durant son absence. Aucun problème après tout elle aussi n'avait pas hésité à prendre son pied avec un de ses camarades et n'avait donc pas seulement expérimenté les joies de l'humanitaire en Inde. Quoi qu'il en soit elle était au moins certaine d'une chose son  retour à Tokyo signait le retour de leur couple. Alors  maintenant que  ses valises  étaient déballées et que le décalage horaire ne faisait plus d'elle un zombie pas sexy il était temps de se mettre en route pour le rejoindre. Enfin plutôt que de le rejoindre l'idée était plutôt de le surprendre et pour se faire rien de plus simple que de se rendre chez lui sans prévenir. Une bonne douche, les bonnes fringues et elle se mettait en route. Toujours ce même chemin qu'elle n'avait pas parcouru depuis un an et que pourtant elle connaissait encore par cœur. Elle les avait arpentées ces rues mais jamais elle n'avait été aussi excitée à l'idée de le retrouver presque une vraie gamine avec le ventre noué et des petits papillons dans le ventre. Loin des yeux prêts du cœur, il paraît que la distance nous permet parfois de prendre conscience de certaine chose. Ayaka n'est pas du genre à se formaliser, à dire je t'aime ou à s'attacher aux gens dans la durée à croire que Jooheon est l'exception qui infirme la règle. Elle avait fait les choses bien était même en chemin passé prendre la bouffe qu'il affectionnait tant bref tout devait être parfait. Machinalement elle tape le code sur la porte d'entrée, en un an il aurait pu changer mais connaissant les deux énergumènes qui occupent l'appartement ça serait limite un véritable exploit. Sans surprise le code est bon et elle s'introduit dans l'appartement sans aucune difficultés mais à peine la porte fermée derrière elle qu'elle regrette presque d'avoir fait le chemin. Jooheon dans le meilleur de sa forme à califourchon sur une fille brève un spectacle dont elle se serait franchement bien passé. Elle ne peut s'empêcher d'afficher un rictus de dégoût en regardant la fille, franchement elle l'a déjà vu faire des plus belles prises. Incontestablement on aurait attendu d'elle la réaction classique de la petite amie outrée mais pas vraiment son genre « T'es bien gentille ma mignonne mais c'est mon tour. Jooheon a dû te dire qu'ici ça marche avec des tickets » Faut croire qu'ils s'attendaient pas à la retrouver ici, il affichait sa gueule adorable du mec tout gêné de s'être fait prendre la main dans le sac, le mec qui s'attendait à prendre cher et qui préparait déjà son plan pour se faire pardonner. « Bon Jooheon t'es sympa tu dis à la dame de se rhabiller et t'en profite pour mettre quelque chose sur tes fesses. » Sans un mot de plus elle s'était dirigé vers la cuisine sans vraiment douter du fait qu'il allait suivre ses indications.  
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Sam 12 Mar - 0:22
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« Joonie ! » Grimace. Mon dieu que c'est moche ce surnom. Mais soit, c'était le deal a passé si je voulais la ramener chez moi après la soirée, une fois que j'avais fait le tour de ses potes -histoire à tout le monde qu'elle aussi, petit boudin, elle était capable de pécho. Bref, maintenant nous en étions là ; on avait couché ensemble -parce que faire l'amour c'est pas mon truc- pendant une bonne partie de la soirée avant qu'elle ne s'endorme et que je la réveille le lendemain avec cette envie qui n'était jamais partit. Et maintenant, si vous êtes tellement curieux, elle est contre le mur qui sépare la chambre d'Isao et la mienne, elle est nue et clairement elle comprend plus ce qui se passe. Soutenue par mes mains, jambes croisées sur mes hanches, bref on s'aime. Je la laisse me décoiffer la tignasse blonde bien que je déteste ça ; ça les rends gras trop vite. Cette situation, cette position. Je veux changer. On pivote sur le canapé et j'entends à peine la porte d'entrée s'ouvrir et se fermer. « T'es bien gentille ma mignonne mais c'est mon tour. Jooheon a dû te dire qu'ici ça marche avec des tickets » Cette voix... Est-ce bien la voix de celle qui m'a laissé pendant presqu'un an? Je redresse mon visage qui arbore d'abord un visage surpris. Quant à ma position, personnellement je m'en fou royalement ; elle aurait simplement dû sonner au lieu d'entrer par effraction. Je laisse alors ma gangster, déballer toutes ses petites choses sympathiques dès le matin. Elle est drôle. Elle est drôle et je ris de ses phrases qu'elle débite. Si bien que la femme en dessous n'est rien qu'un vulgaire souvenir. Je me décale d'elle comme-ci tout ça m'étais passé comme une envie de pisser. Une seule personne m'intéresse à présent et elle vient de s'échapper dans la cuisine, la furibonde. Alors, ni une ni deux, je m'élance dans la salle de bain attrape un peignoir et jette un coup d'oeil à mon invité nocturne qui s'est découlé en matinale. « La douche est là b'bé, par contre on va devoir écouter t'as entendu la demoiselle. » Choquée ou pas de mes propos, encore une ; rien à foutre. Ayaka. Mon sourire ne quitte plus mon visage, il me va bien quand elle est dans les parages. Un an, un an que je n'avais pas entouré mes bras autour de sa taille svelte. Un an que je n'avais pas goûté à ses lèvres et sa passion. Un an... Trop long. Je m'approche doucement d'elle, j'ai peur de la brusquer bizarrement. Mes bras n'hésitent plus et je l'entoure amoureusement, ma tête sur son épaule. « Toi tu fais jamais dans l'originalité... c'est ça ce que j'aime chez toi. » Chuchotais-je presque à son oreille. Je lui embrasse la joue, mordille son lobe et me décale en regardant ce qu'elle a à déballer. Oh mon Dieu, le femme parfaite est dans ma cuisine. UUUH. Je souris et l'embrasse à la commissure des lèvres avant de prendre le repas en main. « T'es parfaite. T'ES PARFAITE. » Je pose le plat. Non c'est addictif. Elle est comme une drogue ; je ne peux pas m'en passer. Tout d'un coup je ne sais même plus comment j'ai fait sans elle. Mes bras l'entourent à nouveau. Tu ne partiras pas de si tôt Je la plaque contre le plan de travail et me plaque contre elle. « Bienvenue à la maison, Ayaka »
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Sam 12 Mar - 1:08
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how she looks Aux yeux des autres elle passerait presque pour une conne à s'occuper en cuisine pendant que monsieur se rhabille après ses exploits. Mais elle s'en fout parce que contrairement à tous ces gens elle sait bien que ça ne veut rien dire du tout. Il est comme ça, elle est comme ça, ils sont comme ça et ce que les autres peuvent bien en dire ça lui passe au-dessus, elle les emmerde royalement. « La douche est là b'bé, par contre on va devoir écouter t'as entendu la demoiselle. » Elle ne peut s'empêcher de sourire cette simple phrase confirme même un an après tout ce dont elle a toujours su. Comme à chaque fois elle sourit, fière à en crever d'être la seule femme sur cette planète capable de faire dégager toutes les autres de ses draps et de ses bras. Elle n'attend plus qu'une chose, qu'il se dépêche de la rejoindre dans cette cuisine pour qu'elle puisse passer des heures à l'observer, l'entendre, le toucher. Sans surprise il ne s'est pas fait attendre bien longtemps, il réapparaît dans l'encadrement de la porte et dans son peignoir blanc s'avance vers elle dans des secondes qui semblent durer des heures quand ses bras finissent enfin par se poser autour de la taille d'Ayaka. Premier frisson. Doucement il pose sa tête sur son épaule, elle sent son souffle venir caresser son visage et elle ne peut s'empêcher de penser que malgré toutes les choses qu'elle a pu vivre en Inde, elle vit aussi pour ces moment-là.  « Toi tu fais jamais dans l'originalité... c'est ça ce que j'aime chez toi. » Ce qu'il aime chez elle. Aimer en voilà un verbe qui sonne comme une douce mélodie à ses oreilles. «  A oui c'est tout ce que tu aimes chez moi ? » Elle ne demande pas une déclaration d'amour mais, après un an elle n'était pas contre une longue liste qui relatait le comment du pourquoi il avait fait d'elle la fille capable de chasser toutes les autres. Après tout ça fait jamais de mal de se faire passer un peu de pommade et malgré toute la confiance qu'elle pouvait avoir en elle il lui arrivait quand même parfois de se demander pourquoi c'était elle et pas une autre. Un baiser sur la joue qu'elle n'a pas le temps de lui rendre ce ventre sur pâte se jette sur ce qu'elle lui a apporté à manger. Elle regretterait presque d'avoir apporté ces mets qui ont désormais toute son attention.  « T'es parfaite. T'ES PARFAITE. » Un large sourire vient se dessiner sur son visage. Comment peut-elle résister à ça ? Oui il est loin d'être parfait et il y à a peine cinq minutes il en chevauché une autre mais c'est plus fort qu'elle, elle n'y arrive pas, elle ne peut pas lui résister. « Je le sais bien, tu ne devrais jamais l'oublier »  Il lâche le plat et de nouveau ses bras viennent l'entourer, elle ne se fait pas prier et viens se lover contre lui et respirer son odeur qui lui a tant manqué. Pas le temps de réfléchir, elle se retrouve plaqué contre le plan de travail ce même plan de travail qui a déjà connu leur nombreux ébats. « Bienvenue à la maison, Ayaka » Deuxième frissons. Elle n'a jamais autant aimé son prénom que lorsqu'elle l'entend de sa bouche. Leurs regards se croisent et elle ne peut s'empêcher de se mordre la lèvre, elle rêve de l'embrasser, de ne faire plus qu'un avec lui et de fêter dignement ces retrouvailles. Il s'approche de sa bouche mais joueuse elle pose un doigt sur ses lèvres. « Qu'est-ce que tu crois faire ? Va savoir où tu es allé mettre ta langue quand je n'étais pas là » Elle a beau le désirer plus que jamais, Ayaka reste Ayaka et il va devoir jouer de ses atouts pour la faire craquer.
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Sam 12 Mar - 23:26
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« Qu'est-ce que tu crois faire ? Va savoir où tu es allé mettre ta langue quand je n'étais pas là » En même temps elle n'a pas totalement tord. Je souris, gêné et me décale d'elle en embarquant la bouffe avec moi. Je m'assois sur la chaise, en face d'elle. Elle toute apprêtée. J'aime les femmes apprêtées et encore plus quand elles ressemble à Ayaka. Mais je ne préfère pas m'attarder trop, elle risque de se dire que je suis follement amoureux d'elle. Je n'aime pas qu'on me prend pour acquis. Bien qu'elle soit mon officielle et qu'elle porte bien le statut, je ne peux pas m'attacher qu'à une seule femme. Car j'ai cette manie d'aimer toutes ces femmes qu'elles soient criblées de défauts ou de préjugées, je les aimes. Un sourire et je commence à manger. Un bruit dans le couloir et je devine tout de suite que mademoiselle a fini dans la salle de bain. Si je prête bien l'oreille je peux l'entendre taper ses talons plateformes contre mon parquet. Elle toque au mur adjacent à la cuisine et y pénètre sans y être invitée pour autant. Quant à moi? Je me contente simplement de lui sourire et de relever la tête vers elle. Elle, elle m'embrasse et câline mes cheveux avec ses griffes. Quelques secondes plus tard, la charmante demoiselle nocturne se décale de moi et ne prête même pas attention à Ayaka dans la pièce. Elle continue de me parler de futilité et me sort indirectement qu'elle est vraiment impatiente que l'on se revoit sans, je cite, interruption intempestifs. Soit, je me contente simplement de la regarder et d'hocher simplement une seule fois la tête. Elle ma salut, m'embrasse une seconde fois et s'en va en prenant bien soin de rouler du cul afin de me rappeler pourquoi je l'ai ramené à la maison et l'ai baisé comme un taulard. Bien bien bien, je me retourne vers Ayaka et la scanne de haut en bas. Elle est joliment apprêtée. De toute façon, j'avais auparavant toujours validé ses choix vestimentaires. Elle est pour moi la femme qui frôle presque la perfection. « Alors? L'Inde? Je t'ai beaucoup manqué ou pas? Tu m'as ramené un cadeau? » Je la mitraille de questions, je suis beaucoup trop curieux de savoir ce qu'elle a fait là-bas et si, même au ton de sa voix, je l'ai manqué. D'un côté, je n'ai pas envie de savoir ce qu'elle avait fait précisément là-bas mais instinctivement je me dis qu'il serait beaucoup plus avantageux de savoir... Au moins si on a marché sur mon terrain ou non.
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Dim 13 Mar - 0:23
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how she looks T'as des moments dans la vie ou tu te dis qu'en fait tu ferais peut-être mieux de fermer ta gueule. Après tout si elle n'avait rien dit il serait probablement en train de l'embrasser et elle aurait fini dans son lit. Sauf que non, il avait fallu qu'elle la ramène sous prétexte qu'elle ne voulait pas finir comme l'autre gueuse. Parce que oui vous voyez elle a beau avoir le statut d'officielle elle craint toujours d'être simplement un autre long sur une longue liste. C'est cliché je vous l'accorde, mais comme toutes les gamines de cette planète Ayaka elle voulait son prince. Elle a jamais pensé à le changer parce qu'elle ne supporterait pas qu'on le change. C'est bien là tout le problème. Il est loin de correspondre au prototype du prince qu'elle imaginait du haut de ces huit petites années de vie. D'abord il a pas de cheval, ce qui est d'ailleurs un gros problème, mais finalement à côté du fait qu'il s'est construis un véritable harem c'est presque pas grand-chose. Elle doit bien l'avouer c'est aussi pour ça qu'elle a craqué. Parce qu'il semblait inaccessible, parce que rien ni personne ne pouvait l'atteindre et sans qu'elle sache vraiment pourquoi elle l'a fait. Elle la fait et pourtant elle n'est pas celle qui en ce moment à le droit à son attention. L'autre gueuse avait refait son apparition passant ses mains dans des cheveux qu'elle n'avait pas le droit de toucher, embrassant une bouche qui n'était pas censée lui appartenir et cracher à travers son venin des mots qui n'aurait jamais dû exister. Putain ça l'a rendait folle et l'attitude de Jooheon n'arrangeait rien, elle avait presque envie de lui jeter les plats qu'elle avait soigneusement choisi à la gueule. Mais pourquoi serait-elle passer ? Probablement une espèce d'hystérique. Sans un seul regard pour elle la blonde peroxydée sur laquelle il avait dû bien s'amuser avait fini par mettre les voiles si bien qu'Ayaka obtenait dès lors toute son attention. « Alors? L'Inde? Je t'ai beaucoup manqué ou pas? Tu m'as ramené un cadeau? » Elle se serait probablement fait une joie de répondre à toutes ces questions si l'autre blonde n'était pas entrée dans la cuisine. Elle n'avait jamais rien dit et tolérait la plupart du temps le fait qu'il aille voir ailleurs mais franchement faire ça devant ses yeux. Le respect était mort. Il lui avait manqué à devenir dingue, à parfois regretter le fait d'avoir décidé de se lancer dans une aventure pourtant tant désiré. Mais à l'instant précis elle était trop fière et trop blessée dans son orgueil pour le lui dire. Quant à son cadeau il n'aurait probablement pas l'occasion de le déballer ce soir vu la tournure que leur retrouvailles prenait.  « L'inde ?  C'était génial. Enfin sans doute pas aussi palpitant que tes chevauchées » Elle savait bien que ce commentaire ne ferait sans doute pas mouche après tout il se fichait pas mal de savoir si oui ou non elle était blessée à l'idée de le savoir avec une autre. Mais avec ça par contre elle savait qu'elle parviendrait à avoir toute son attention  « Beaucoup oui alors forcément j'ai bien dû trouver quelques occupations » Elle n'avait pas prévu de parler de lui ce soir-là, mais voilà elle était énervée, Tatsuya, celui qui toute l'année durant avait partagé avec elle plus que des missions humanitaires.  « Il s'appelle Tatsuya et si ça t'intéresse lui aussi il est plutôt doué en chevauchée » Voilà la bombe était lâchée et elle savait bien que bientôt les foudres aller s'abattre.
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Dim 13 Mar - 0:47
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Et voilà, je me prend les pires des punchlines en plein dans la gueule. Si Lil Wayne été là je crois qu'il serait fier d'elle. Elle envoi tellement des méchancetés. Je l'écoute mais je me suis arrêté à ce nom qu'elle dit avec tellement décence. Tatsuya? Pardon mais c'est quoi ce prénom de gay? Mes yeux s'assombrissent alors qu'elle continue de parler de ses chevauchées. « Ouais le genre de gars qui en trois poussées à tout déchargé dans ta chatte et tu jouis comme une conne quoi. » Je me redresse et m'approche d'elle en lui saisissant la nuque. Déçu qu'elle ait perdu son temps avec un Tastuya. Ils m'ont jamais inspirés ses gars. Je sais pas pourquoi mais je crois que quelque part je me sentais particulièrement menacé par eux. Ils sont toujours jaloux de toute façon. Déjà, je n'apprécie pas le fait qu'elle me dise ce genre de chose, je m'en serais bien passé mais d'un côté elle n'a pas le droit de me reprocher des choses -parce que oui, avec un ton comme le sien je sais qu'elle ne supporte pas un truc que j'ai dis ou fait et ici, c'est cette femme blonde qui a surgit entre nous- puisqu'elle fait exactement la même chose à des kilomètres de moi. Alors, qui est le plus bâtard? Je la regarde et fronce les sourcils. Oh tiens, je n'avais jamais exprimé cela envers elle. Mais là... C'est trop. « Maintenant qu'il n'est plus là, j'ai pas besoin de savoir ce que monsieur le gay a fait avec toi. On va rattraper sa maladresse, ok? » Et je ne lui laisse pas le temps de répliquer que j'effondre mes lèvres contre les siennes. Je gémis presque dans cet échange. Tout ça.... Tout ça, ça m'avait manqué. Voilà j'avoue enfin que pas je suis accro à pas mal de choses reflétant Ayaka, si ce n'est pas pour dire tout. Enfin, je passe plus délicatement ma main dans ses cheveux et me colle à elle. Ma main dans son cou, j'hume je suce et je laisse une marque que je souhaite indélébile. « Tu m'as manqué Ayaka. » Susurrais-je en la soulevant pour l'asseoir confortablement sur le plan de travail. Ses lèvres contre les miennes encore une fois ah... Manque de souffle. Non encore. Je glisse mes mains sous sa jupe et griffe ses cuisses ; elle n'a qu'à pas coucher avec d'autres gars que moi cette abrutit.
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Dim 13 Mar - 1:37
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how she looks A en juger par sa tête le message était arrivé à la destination souhaitée, elle était fière et même contente d'elle. Contente de savoir qu'elle lui mettait la rage et que peut-être, il goûtait à l'état dans lequel elle se retrouvait quand elle l'imaginait dans les bras d'une autre. « Ouais le genre de gars qui en trois poussées à tout déchargé dans ta chatte et tu jouis comme une conne quoi. » Elle rit. Rit parce que ça lui ressemble tellement. Fait ce que je dis mais ne fait pas ce que je fais. Soit mienne mais n'attend pas de moi que je sois uniquement à toi . « Qu'est-ce que ça peut bien te foutre si j'ai jouis ? » Pourquoi prenait-elle du plaisir à le voir comme ça ? Une part d'elle aurait presque eu envie de le rassurer, de lui dire qu'elle s'était peut être oubliée dans les bras d'un autre mais que c'est toujours son visage à lui qui venait hanter ses pensées. Mais non. Non, elle prenait du plaisir. Parce que c'est dans ces moments-là qu'elle se sentait sienne. Alors ouais bien sûr certains dirons qu'elle n'est que sa chose et qu'elle devrait avoir honte, elle, la femme militante qui sous les yeux de cet homme peut donner l'impression de ne pas avoir une once de respect pour elle-même. Mais vous savez, elle les emmerdes parce qu'ils n'imaginent pas, non, ils n'ont pas la moindre idée du pouvoir qu'il a sur elle. Personne ne la fait vibrer comme il le fait, personne ne parvient à lui donner l'impression de vivre comme il le fait. « Maintenant qu'il n'est plus là, j'ai pas besoin de savoir ce que monsieur le gay a fait avec toi. On va rattraper sa maladresse, ok? » Elle sait déjà qu'elle n'aura pas le temps d'ajouter un mot de plus que ses lèvres viennent déjà se plaquer sur les siennes. Elle ne résiste pas. Une part d'elle aimerait pourtant, jouer avec ces nerfs plus longtemps. Mais comme à chaque fois c'est plus fort qu'elle, elle ne peut pas. Hypnotisée par ce moment suspendu qu'elle aimerait ne jamais voir finir. Un premier suçon, qui sonne un premier avertissement. Tu peux toujours voir ailleurs Ayaka mais, tu es miennes. Elle sait déjà qu'elle ne pourra pas le cacher, c'est marqué au fer rouge. Tu m'as manqué Ayaka, Phrase qu'elle avait déjà entendue plus tôt mais qui pourtant n'avait déjà plus la même connotation. Ou espérait elle seulement qu'elle n'ait plus le même sens ? Est-ce seulement cet espoir infime que son tu m'as manqué puisse également signifier autre chose. La surface froide du plan de travail et ses ongles qui viennent s'abattre le long de ses cuisses, deuxième avertissement, deuxième marques rouges, deuxième tu m'appartiens. Elle gémit, attendant impatiemment la suite, cherche son regard, s'y perd un instant. Et comme si elle venait confirmer ce qu'il attend d'elle « Tu vois, tu finis toujours par ouvrir tes cadeaux » Elle l'aime putain, elle l'aime et c'est bien ça le problème. Il peut bien la traité comme une merde elle ne parviendra pas à se passer de lui. Pourtant elle n'ose le lui dire, partirait-il si seulement elle prenait le risque d'énoncer à haute voix ces deux mots ?  Elle se redresse défait ce top qui jusque-là recouvrait sa peau nue et ne pense déjà plus à cette fichu blond ni même à Tatsuya. « Fait en ce que tu veux » Parce qu'il peut bien faire tout ce qu'il veut d'elle, elle est sienne.  
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Dim 13 Mar - 14:03
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Je suis heureux qu'elle ne me repousse pas, sinon je ne sais pas ce que j'aurais fait dans l'heure. Sans doute que je l'aurais renvoyé comme une mal-propre au pied de mon appartement et rappelé le lendemain pour m'excuser ou presque. Mon cadeau se déballe, elle est toute à moi et elle l'a bien compris. Je souris de plus bel, ce seul sourire, cette seule émotion qu'elle est capable de me faire faire. Les autres sont nulles ou des vrais hommes ; de vraies brutes. Mes mains glissent sur ses fesses, je relève alors sa jupe et touche son dessous tentateur. Ma tête vient se nicher dans son cou, la remerciant de me donner un tel cadeau, puis se baisse pour embrasser entre ses seins. Ma main droite l'autre est bien trop occupé à cajoler sa croupe arrondie que j'aime tant glisse à sa poitrine et je l'approche plus violemment contre moi. « Dis toi que toi aussi tu n'allais pas avoir ton cadeau. Tu m'as brisé le coeur. Mais maintenant c'est passé alors... » Je défait mon peignoir et l'attrape pour la plaquer contre la table, à côté de ma bouffe préférée. Le tableau le plus parfait au monde ; elle et la nourriture que je bénis chaque jour lorsque je l'ai. Sa jupe. Je la tire, griffe ses cuisses et ses hanches. Elle est totalement mienne. « Pourquoi tu me fais ça Ayaka? Pourquoi t'arrive à me faire ça? » Faible. Je l'embrasse avec tendresse mais mord sa lèvre inférieure. Je crois bien que j'en suis accro.
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Dim 13 Mar - 21:21
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how she looks Cet amour, non, il ne ressemble peut être pas à ce qu'elle aurait aimé connaître quand elle n'avait pas encore croisé son chemin parce que son cœur ne semble jamais lui appartenir totalement. Mais qui est-elle pour exiger qu'il lui appartienne ? Elle l'avait su dès la première seconde et pourtant se laissait encore séduire par l'idée qu'un jour elle parviendrait à le garder auprès d'elle et seulement elle. Cette façon qu'il a de la regarder, de la toucher, ce sourire qu'il lui lance tous ces gestes qu'elle ne peut s'empêcher d'interpréter comme des marques d'amour. Sa façon à lui de lui dire qu'il tient à elle.  Des gestes dont elle ne peut pas se passer. Comme on a besoin d'air pour vivre elle a besoin de lui dans sa vie et une année loin de lui n'a fait que confirmer tout ça. Elle l'a dans la peau. Est-ce parce qu'il est le premier à avoir fait battre son cœur ? Probablement. Mais c'est plus que ça. Elle l'aime autant qu'elle aime l'idée de milité toute sa vie pour les opprimés. Ouais il est la seule chose au monde qu'elle aime plus que la cause pour laquelle elle se lève tous les matins. Son cadeau. Elle sait déjà qu'elle n'en aura jamais assez. Gourmande elle pourrait passer sa vie à s'offrir à lui, sentir sa main chaude caresser la partie la plus intime de son corps et caler sa respiration sur la sienne en attendant le moment suspendu où ils ne forment plus qu'un être. « Je le brise pour mieux le soigner » Je le brise parce que je t'aime, je le brise parce que j'ai le droit de le faire, je le brise parce que personne ne peut recoller les morceaux de ton cœur mieux que moi. Le peignoir disparaît et laisse apparaître les courbes d'un corps qu'elle ne connaît que trop bien, un corps qu'elle pourrait explorer les yeux fermés. Lentement elle laisse ses doigts se promener sur son torse, ne manquant pas de laisser ses lèvres s'y promener elles aussi, jusqu'à atteindre son entre jambe déjà prête à l'assaillir. Pourquoi t'arrive à me faire ça.  Parce qu'elle ne réfléchit pas. Parce que c'est naturel, parce que malgré toutes ces conneries elle l'aime. Elle répond à son baiser avec plus de fougue, s'approche de son oreille, la mordille et ne peut s'empêcher d'y susurrer un « Parce que c'est moi » Elle laisse ses lèvres parcourir son coup et lentement remonter vers sa bouche et y dépose à son tour un baiser plus doux avant de plonger ses yeux dans les siens « Et parce que je suis ce qu'il te faut et que personne d'autre que moi ne peut te faire cet effet-là » Oui, elle aime penser que personne d'autre n'arrive à lui faire ça comme personne d'autre ne fait battre son cœur comme il le fait.
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Dim 13 Mar - 22:23
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HRP:
Ses mots, ses fourberies. Elle est vivante et pleine d'envie. Mais lorsqu'elle vient défendre sa place, je me contente de lui sourire. Nan ma belle, ne crois pas que par tes mots, ton absences et tes baisers je vais réussir à oublier les autres. C'est plus fort que moi, tu vois je n'y peux rien c'est presque instinctif. J'ai besoin de ça, j'ai besoin d'elles et c'est tellement indéfinissable que je n'arrive pas à lui rétorquer quelque chose. En même temps je n'ai pas envie de briser cette envie qu'elle nourrit entre ses cuisses. Mes yeux descendent à ce niveaux précis. Mes doigts glissent à son entre et je déchire sa culotte avec une violence sans pareille que je serais capable de lui faire arracher un miaulement. Je la tire un peu plus contre moi et lui défait ses cheveux lorsque je laisse tomber mes doigts dans la jungle de ses cheveux. « Mais moi je te donne bien plus que toi tu ne me donne Ayaka. Tu vas devoir rattraper tout le mal que tu m'as fait et crois moi ça ne va pas être une mince affaire. » A ces mots, j'immisce un doigt en elle la faisant se cambrer. Un sourire. Elle est délectable. Cette allure de fille de petite vertu. Elle me donne déjà envie et c'est mentir si je dis que je ne bandais pas. Je maltraite son cou en même temps qu'un second doigt s'entre en elle. Je lui fais du bien en exécutant exactement ce qu'elle aime. A force, je sais bien ce qui peut faire gémir Ayaka. Je la mord, laisse le bruit de succion régner la pièce. Puis je me dégage d'elle, retire ma main d'entre ses cuisses et lui souris. Ma tête disparait entre ses jambes tandis que mes mains attrapent ses genoux. Elle est simplement parfaite, surtout lorsque j'ose lever les yeux sur elle et la voir ainsi me donne encore plus envie d'elle.
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Invité
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Dim 13 Mar - 23:23
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how she looks Ce sourire qu'elle aime tant lui laisse parfois en bouche un goût d'inachevé. Elle devrait le savoir pourtant depuis le temps, elle peut lui livrer ses sentiments sous toutes les formes possibles et imaginables il n'y répondra jamais avec des mots. Mais elle n'a pas le temps de ressentir le moindre mécontentement, comme à chaque fois il ne lui en laisse pas le temps. Sa petit culotte tombe en lambeau, c'est bête, elle l'a payé une fortune mais là encore la frustration s'oublie bien vite lorsque l'un de ses doigts vient se nicher dans son entre cuisse. Elle ne peut s'empêcher de se cambrer. Putain qu'est-ce qu'il lui a manqué. Elle ne le contredit pas, au fond peut-être dit-il la vérité. Peut être qu'elle ne lui donne vraiment pas la moitié de ce qu'il lui apporte. Ou peut être est-il simplement en train de faire ce qu'il lui reproche, lui briser son cœur, lui faire mal comme elle a pu lui faire mal en évoquant le nom de celui qui a occupé ses nuits indiennes. Il paraît que la vengeance et un plat qui se mange froid et si les plats gentiment rapporté le son surement devenus il semblerait que l'expression la vengeance est un plat qui se mange sexe soit ici plus appropriée. Elle sourit la malicieuse comme si elle contrôlait encore quoi que ce soit dans cette histoire. « Pas une mince affaire … Quoi tu vas sortir les menottes ? Me punir parce que j'suis pas une assez gentille fille ? » Que dit-elle là, un second doigt rejoint le premier, va et vient des plus agréable, comme il sait si bien le faire. Comme si son corps n’avait absolument aucun secret pour lui, comme s’il savait pertinemment ce qui la fera ou non gémir de plaisir. On pourrait croire ça répétitif comme si ces mêmes gestes finissaient par devenir lassant mais, il n’en a rien. Jooheon a le don de la faire mouiller et d’un seul regard elle peut se rendre compte qu’elle le fait toujours autant bander. Maigre consolation ? C’est vrai on pourrait bien se demander ce qui le laisserait plat mais elle n’en a que faire ce soir c’est elle qui aura la chance de le sentir en elle et ça rien ni personne ne pourra lui prendre. Doucement les doigts disparaissent et c’est maintenant sa langue qui vient la caresser. Putain elle aimerait parfois que ce ne soit pas aussi bon. Peut-être serait-ce alors plus facile de se détacher de lui et de trouver bonheur ailleurs. Sotte, comme si c’était envisageable à la première minute où il se déciderait à ne plus vouloir de toi tu t’effondrerais. Le désir grandissant et la respiration haletante elle laisse échapper son prénom. Putain comme elle l’aime. Elle se redresse et d’une main aguerrit saisi son sexe. Cette fois c’est à son tour de lui donner du plaisir et elle non plus n’a rien oublié de ce qu’il aime même après cette année d’absence. Ce mouvement de va et vient auquel il le sait, il ne résistera pas parce qu’il a beau lui en vouloir, il n’en reste pas moins un homme.
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Lun 14 Mar - 19:19
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Mes yeux s'arrondissent mais recouvrent une lueur plus sauvage. Elle m'avait réveillé, la sotte. Je souris et me penche sur elle en relevant sa jambe par mon bras sous son genoux. Mes soupirs contre ses lèvres et je suis totalement partit. Je la tire un peu plus contre moi et lui mord le cou. Mes pensées déraillent, ses courbes, son corps, ses souffles, son odeur. Tout j'aime tout. Avec Ayaka c'est presqu'impossible de ne pas être envoûté et c'est bien ça qui me fait aussi peur. Oui, j'ai peur qu'elle m'échappe. Loin d'être la personnalité parfaite de l'homme gentil, affectueux et surtout fidèle je reste néanmoins sensible à ce qu'une femme peut me donner. Et elle, elle me donne toujours tout. S'ajoute à cela le fait que je ne me lasse étrangement pas de cela. Quelque part j'étais sadique de la voire si désemparée et accroché à tout ce qui peut se refléter à ma personne. Je pose violemment une main sur la table. J'en peux plus. Elle... Je lui attrape les hanches, la rapproche brutalement contre entre mes reins et la pénètre de la même manière. Je pousse un bruit d'exaltation, un râle de satisfaction. Mes doigts dans sa chevelure ensorcelante que je tire de temps à autre pour ressentir mes émotions nouvelles. Je prend Ayaka comme pour la faire regretter de son absence. Nos yeux entrent en contact et je me noie. Je me sens fondre dans ses yeux qui m'attaquent, me saisissent et presque me tuent. Je suis désolé Ayaka, je ne suis peut-être pas l'homme de ta vie, parce que je ne te mérite tout simplement pas. Mais laisse moi profiter de toi et comme tous les autres moments que l'on aura dans un futur proche. Je ne suis pas amoureux de toi, je ne suis pas jaloux non plus, j'aime juste quand tu m'appartiens et je pense parfois à t'appartenir le temps de nos rendez-vous. Mais je suis désolé. Mes doigts se ferme sur sa gorge. Tandis que l'autre relève sa jambe un peu plus. Je la griffe, lui indique les mouvements à suivre et puis je l'embrasse avec toute la passion que je peux lui offrir. Parce que même si je ne suis pas amoureux, je suis dépendant de ta drogue.
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Lun 14 Mar - 22:38
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how she looks Pourquoi, pourquoi a-t-il fallu qu'elle croise sa route ce jour-là. Pourquoi à t-il fallu que son regard croise le sien et qu'en une seule seconde elle sache qu'elle était perdu à jamais. Un sourire, un mot doux, de quoi la mettre dans son lit. Elle l'avait tout de suite cerné et c'était laissé tenter pensant qu'elle ne s'attacherait probablement pas à lui, pensant que son cœur resterait à l'abri. Quelle conne. Le jeu l'avait rattrapé bien plus vite qu'elle ne l'aurait souhaité et son cœur lui n'était désormais plus enclin à mettre les voiles, son corps encore moins. Pourquoi en plus de faire battre son cœur lui donnait il à chaque fois l'impression d'être le meilleur amant que cette planète ne lui ai jamais offert ? L'amour c'est comme une putain de maladie l'autre en face à beau vous faire comprendre que jamais vous n'aurez son cœur rien n'y fait, une fois qu'on y a goûté on ne peut pas se passer du cœur qui bat à n'en plus s'arrêter et qui vous fait réaliser à quel point vous êtes vivant. Vivante, plus que jamais vivante. Par moment elle a presque l'impression de vivre pleinement dans ses bras, tous les sens en alerte. Et c'est pour ça. C'est pour ça qu'elle est incapable de lui tourner le dos. Bien sûr qu'elle y a déjà pensé et comme lui d'autres bras on partagé ses nuits mais personne ne lui fait l'effet qu'il a sur elle. Ce mélange exquis de bonheur dans son malheur. Oui ça fait mal parfois mais ça fait aussi tellement de bien. Cette nuit en est la preuve. Preuve parfaite elle ne cessera jamais de vouloir se perdre dans ses méandres. Sa respiration s'accélère alors qu'elle le sent entrer en elle et elle savoure sans aucune dissimulation l'instant chéri où ils ne font plus qu'un corps. Elle sait bien qu'il l'aimerait sans doute plus féroce mais elle ne peut pas s'empêcher de parcourir son visage de ses mains, laissé ses doigts s'entremêler à ses cheveux et se perdre dans son regard. Peut-il seulement imaginer comme elle l'aime et comme il la rend faible ? Elle la fille qui n'a jamais eu peur de rien. Souvent elle à l'impression de rien pouvoir lui cacher, comme s'il devinait absolument tout d'elle alors que tout ce qu'il peut bien penser d'elle et de ce qu'elle aimerait pouvoir appeler nous reste une énigme. Une énigme ou parfois elle de n'être rien donc qu'une distraction. Puis il y a ces moments, ces moments où elle a le sentiment qu'il ne la baise plus comme toutes les autres. Ce moment où elle le sait, elle le sent, il tient à elle à sa façon. Alors elle s'y accroche comme une conne et s'offre à lui de plus belle. Jusqu'à atteindre ce moment exquis, cet instant qu'elle aimerait ne jamais voir ce terminé. Oui, il n'y a que lui qui sait lui faire ça.  
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Mar 15 Mar - 23:45
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(...) Quelques minutes plus tard, je me retrouve presque allongé sur la table et surplombe le corps d'Ayaka, la superbe. Mon ombre s'étale sur son corps à moitié nu. A croire que je trouve sa jupe adéquat ainsi. Ah cette Ayaka. Mon corps s'avance vers elle, je lui baise son cou et remonte en câlinant comme un félin sa peau de lait. Mes lèvres cherchent les siennes. On s'embrasse. Et puis plus rien. Un éclair à l'échine, j'en ai bien peur. Frémissement. Je me redresse subitement pour ne pas tomber du précipice de sa tentation. Elle est belle, charmante, envoutante quoiqu'un peu collante. Et je m'attache. « Ayaka... Prend tes aises, tu es chez toi après-tout. Isao dort surement alors ne le réveille pas. » Je sors, je m'enferme dans la douche et passe l'eau sous ma tête une fois que mon peignoir tombe sur le carrelage. Eh dire que j'ai cette fâcheuse habitude de partir sans préavis. Elle est odieuse mais elle est belle.
Une fois rhabillé, tout beau tout propre, je cherche Ayaka et la retrouve dans ma chambre. Un sourire et je m'assois sur le lit. Mes yeux se relèvent sur sa silhouette où les traces de ma venue s'y reflètent. J'en suis heureux. « Alors... ça t'as redonné tes sentiments? T'es toujours dingue? » Dingue de moi, dingue d'amour... J'm'en fou, je veux juste savoir si elle a envie d'être encore avec moi.
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Jeu 17 Mar - 0:27
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On dit toujours que les meilleurs moments passent toujours trop vite. Ayaka ne viendra pas contredire ce fait mais entre nous elle n’en a jamais assez l’éternelle gourmande.  Oui, elle aurait aimé que cette nuit ne s’arrête jamais. Mais après tout faisons nous une raison, il y en aura bien d’autre, il y en a toujours d’autres.  Elle sourit, t’es chez toi. C’est con comme trois petits mots peuvent  vous donner le sentiment d’être la reine du monde.  Mais le sourire s’efface à l’instant même où il quitte la pièce, monsieur ne prend même pas la peine de lui proposer de passer sous la douche avec elle. Tout n’est pas encore acquis, rien de l’est jamais avec lui. Elle ramasse ses affaires ou tout du moins ce qu’il en reste,  et quitte à son tour la pièce qui quelques minutes plus tôt avait accueilli leur retrouvaille pour le moins sportive.  Dans sa chambre elle s’arrête sur la penderie et ne manque pas d’observer dans la glace les traces qu’il a laissées. Pas de doute il n’y est pas aller de main morte et y a mis tous son cœur. Une grimace s’installe sur son visage elle en a pour des semaines à se trimballer ça. Elle finit par attraper l’un de ses tee-shirt, l’enfile et laisse son corps désormais lourd tomber sur le lit. C’est idiot mais en laissant sa tête se poser sur l’oreiller elle ne peut s’empêcher de respirer une fois de plus cette odeur, son odeur.  Il la prendrait probablement pour une folle s’il venait à la voir agir de la sorte.  Mais c’est plus fort qu’elle, elle ne peut s’empêcher de s’imprégner de toute les choses qui le caractérise histoire de toujours avoir un bout de lui avec elle.  Il finit par réapparaître et à en juger par son expression il n’est pas mécontent de son œuvre.  Elle ne peut s’empêcher d’esquisser un  léger sourire.  Est-ce le propre des hommes de ne jamais rien voir ou est-ce seulement lui qui ne se rend pas compte des choses ? Non, elle ne parviendra jamais à comprendre comme il peut douter du fait qu’elle l’a dans la peau. Peut-être est-elle meilleure dissimulatrice qu’elle le pense  ou peut-être se joue-t-il simplement d’elle. Toujours et peut être même encore plus pense-t-elle « Si t’as peur que je mette les voiles, rassure toi, j’suis très bien où je suis. »  Et aussi étrange cela pouvait-il paraître elle l’était vraiment. Pas toujours certaine de bien savoir où tout ça été en train de la mener mais pas pour autant prête à quitter la place qu’il voulait bien lui donner.
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