aujourd'hui il avait fini un peu plus tôt le travail. bêtement ou alors par simple pulsion il t'avait envoyé un message. parce que tu lui manquais, parce qu'il avait juste envie de voir quelqu'un et c'était tombé sur toi. enfin, tu l'auras bien compris ; tous les moyens étaient bons pour te voir. d'ailleurs il savait que tu ne te poserais pas trop de question quant à sa tête de défoncé. il avait juste un peu trop abusé des paras. alors Renji sortit de son immeuble, le téléphone dans la main attendant peut-être un message de ta part. néanmoins, il y avait une autre idée qui lui passait par la tête. après tout tu étais au courant de ses penchants pour l'improvisation et la débauche ; toi même t'aimer ça. il ne se gêna pas à t'envoyer un autre message te sommant de venir le chercher à son travail, l'adresse jointe à la suite avec trois emojis en bisou () suivit d'un peu moins catholique si tu comprenais bien la signification (). il t'attendit, assis sur les marches. il t'attendit un peu trop longtemps et lorsque tu montras enfin ta tête, il courut vers toi et sauta pour que tu l'attrapes. ses jambes s'entouraient dextrement autour de ta taille et sa tête avança vers ton oreille pour te susurrer ses plans pour ce soir. on a pas beaucoup de temps alors suis moi et ne fait rien de... chelou, comme à ton habitude, narvalo. il descendit de tes hanches et te tira jusqu'à l'entre de l'hôpital. ici c'était le sanctuaire, il y avait tout à la porté de Renji et Dieu savait qu'il en abusait un peu trop et parfois pour te faire plaisir aussi avec ses nouveaux arrivages. une fois arrivé devant une porte, il te força à t'arrêter et ouvrit la porte, la caverne d'Alibaba. cadeau. puis il t'indexa les moindres médocs ou autre, c'était free, t'avais apparemment tout compris et Renji s'asseyait sur un carton en te regardant, tout heureux. c'était aussi à cause de la Musique Douce qu'il n'avait pas arrêté de se prendre tellement le travail était chiant comme la pluie. Il était heureux pour toi puis lui aussi l'était, bizarrement.
ton écran te bousille la rétine. dix heures sur ton ordi et une pause d'une heure pour ton repas. tu dois envoyer ta maquette de jeu dans deux jours. tes dans les temps. tu l'as même presque terminé. t'es un acharné du boulot. t'es presque un perfectionniste. t'aimes prendre de l'avance pour prendre une pause et revenir jeter un coup d'oeil plus tard. tu fonctionnes comme ça depuis quelques années. franchement, c'est une bonne technique parce que tu vois des choses que t'as zappé quelques jours avant. à force de passer des heures sur une chose, on n'en voit plus les défauts. de la musique douce accompagne ta création, en plus d'un joint. les bails. en moyenne, tu fumes un joint toutes les heures quand t'es à la maison. avec ou sans tes parents, rien ne change. qui n'sait pas que t'es un bedaveur ? t'es pas du genre à le cacher. ce n'est pas en fumant un bedo que tu vas finir derrière les barreaux. de un parce que les flics ont mieux à faire et de deux, parce que t'as trop de pouvoir pour flancher pour si peux. le temps passe et tu reçois un texto de renji, un mec que t'as connu deux ou trois semaines auparavant. tu n'prends même pas la peine de lui répondre. tu veux le faire patienter, le faire mijoter. par contre, tu enfiles immédiatement une veste pour prendre la route à l'adresse qu'il t'a envoyé dans ta jaguar cx16 grise.
tu le vois, assis sur les marches. tu te gares à deux pas de lui et fais le reste à pieds. la démarche décontractée, tu défiles sur ton podium de béton avant que ton ami te saute dessus. tu n'peux t'empêcher de scrupter les environs au même moment. t'as peur des paparazzis, des gros titres faussés (pourtant c'est la terrible vérité) de ta bisexualité. à peine les premiers mots murmurés que des frissons viennent te chatouiller. t'es sensible aux chuchotements. quand il t'averti de ne rien faire d'étrange, tu tires une expression d'incompréhension. toi, faire des choses louches ? depuis quand ? ce mec, il te connait depuis quoi, deux semaines ? et t'as l'impression qu'il t'a déjà un peu cerné. un peu, oui. parce que t'es trop cachotier. tu mens sur beaucoup de choses pour ne pas finir en taule. pour ne pas soupçonner toutes les personnes autour de toi.
tu suis silencieusement le blondinet. tu l'écoutes sans prononcer un seul mot. après-tout, tu n'as rien à dire. t'es juste curieux de ce qu'il te concoctait. tu rentres dans la pièce quand il te dit après "cadeau". tu pivotes sur toi-même pour l'avoir dans ta visée. le regard intriguée tu lui demandes : cadeau ? t'as pigé. t'es juste surpris de son geste trop... aimable ? pourquoi il serrait si généreux envers toi ? après-tout, tu le connais pas plus que ça et vice-versa. il prend un risque à faire cette offrande. automatiquement, tu regardes autour de toi si les caméras de surveillances sont présentes. aucune. t'attends pas plus longtemps. tu fais un petit tour des cartons, sans rien toucher pour le moment. tu lis les différents noms des médicaments. voir ce qui pourrait vraiment t'intéresser. tu prends deux boites. pas plus, pas moins. tu n'veux pas trop profiter de sa générosité et surtout, ne pas être trop redevable parce que tu détestes ça. tu les enfouies dans ta veste pour revenir près de ton pote. tu m'as fait venir uniquement pour ça ? et avant qu'il puisse te répondre, tu rajoutes : un oui pourrait me vexer.
il te regarde en arquant automatiquement un sourcil. c'est toujours comme ça avec renji ; tu t'approche trop, tu le regrette après par son regard qui juge. il grimace en te dévisageant de haut en bas avant de se relever. il n'a franchement pas calculé la distance entre vous deux mais il sait qu'elle est assez infime pour pouvoir sentir ton souffle sur ses lèvres et vice versa. un sourire et il te pousse contre les étagères pour venir totalement se coller à toi. te vexer comment? et encore se regard qui te dévisage. renji joue avec les franges de ta veste, ça l'occupe et ça le détend d'une manière ou d'une autre car, après tout ce qu'il a entrevue de toi, il sait que tu ne fais pas dans la tendresse. vous êtes enfermés, collés, il n'est pas assez con pour ne pas se poser de question sur ta phrase. vos yeux rentrent à nouveau en contact. lui il réfléchit parce qu'il essaye de se sortir de cette situation, mine de rien ; le con. mon câlin ne t'as pas suffit? j'veux dire, va pas t'imaginer qu'on va baiser toi et moi. ouais tu connais malheureusement ça de lui. renji c'est un peu comme un mauvais film mais avec une putain de bonne publicité derrière ; il t'embrasse, te caresse et te touche même mais arrivé au moment de faire tomber les vêtements, d'être en face à face, il se dégonfle.
il semble selon toi que ton tendre et malicieux ami ne te connaissance pas toutes tes parcelles. voit-il la profonde noirceur de ton âme ? arrive t-il à ressentir à quel point ton aura est possédé de cruauté ? ton physique enfantin est la raison de ces troubles sur ta personnalité. les gens s'imaginent des saloperies sur ton compte, mais ils ne s'imaginent même pas à quel point s'anime ta cruauté. oui parce que derrière ce voile d'un corps si maigrelet se cache le diable lui-même. aussi jeune, ton imagination s'endiable à des vices incontrôlables.
une vague d'hormones réactionnaires met en ébullition ton sang qui se vivifie dès que ton compagnon te plaque contre les étagères. il semble vouloir jouer avec ton impatience. il veut te faire chavirer, se faire désirer. baiser ? lui et toi ? que s'attendait-il en envoyant ce message ? en t'accueillant dans cet entre qui amène vers l'au delà ? ce qu'il n'a pas compris, peut-être pas réfléchi, c'est qu'il s'était jeté à la gueule du loup dès son message envoyé. il n'est plus possible pour lui de retourner en arrière. maintenant que tu l'as entre tes griffes, tu comptes l'emprisonner jusqu'à ce que ton désir se fâne et te lasse. il embrasse, il te touche. il vous rapproche, il vous unis. mais il ne semble pas assez puissant. ébranlé par sa fugacité, il se sent peut-être oppressé ou alors incapable de pouvoir continuer. vient-il de se rendre compte de son entrée dans l'arène ? il a voulu pénétrer dans le jeu et t'invitant en ce début de soirée. maintenant, il est obligé d'y rester et de continuer. tu es comme le lion qui prend en chasse le guerrier.
c'est trop tard darling, tu ne peux plus reculer. ta mesquinerie se dévoile à travers un sourire. les yeux remplient de sadismes traverse ceux du blondinet. tes mains viennent capturer ses poignets d'une force à peine pensable (venant de toi). tu échanges les rôles. son corps se retrouve plaqué contre les étagères. tu colles parallèlement ses bras tout en les maintenant en hauteur. ta bouche sans gêne vient susurrer quelques à son oreille comme il te l'avait fait quelques minutes plus tôt. j'vais te faire jouir comme jamais. tes lèvres se posent contre son lobe pour permettre à tes dents de le mordiller. ta langue s'y frotte mollement. pendant ce temps, l'une de tes mains vient agripper délicatement le cou du blondinet. elle se serre petit à petit. de plus en plus tandis que tes lèvres s'abordent aux siennes. ta langue s'encombre dans sa bouche vicieusement. tes lèvres endiablées s'emparent de lui. tout ton corps veut l'immobiliser. entreprenante, ton autre main vient se poser contre le torse du jeune homme, tâtant ce que la nature lui a donné.
et d'un geste brusque tu arrive non seulement à renverser les rôles mais aussi à lui arracher un gémissement de surprise. tu apprendras que renji n'est pas difficile ; il suffit de montrer un peu les crocs pour qu'il fonde. parole tenue, il te tendit sa peau pour que tu y pénètres un peu plus tes canines et bouge ses hanches pour venir un peu plus te toucher. dans cette pièce si petite pour vous deux, la chaleur vous inonde et renji sent bien que tu n'es pas prêt d'arrêter ta folie. tu le touche et il est loin d'être insensible. ce soir, ce petit blondinet drogué va accepter tes avances pour la première en trois semaines de drague constante. tu lui dévoile déjà la fin de vos accords de corps sauvages, il ne faut pas le décevoir. lors de ce baiser suave, emplit de sous entendus libidineux, renji arrive à se défaire de ton emprise mais il ne te pousse pas pour autant, il ne te rejette pas alors qu'il te trouve bien entreprenant. violemment, ta veste se retrouve par terre et quand vos yeux s'électrisent de votre contact, il te dit ; fais gaffe à ce que tu dis eiji, t'es pas le premier qui me passe entre les jambes. un sourcil arqué. un rire. il te cherche, te titille parce qu'il sent que ça va être bon comme ça. ses maigres bras viennent t'entourer la nuque, il t'embrasse et retire son sweat pour que tu y découvre encore une couche à enlever ; son débardeur blanc. bien que tu le voyais confiant, pendu à tes lèvres, à l'intérieur de lui c'est tout autre chose. à vrai dire, il est flippé à l'idée de enfin te donner son corps.
les rôles s'inversent. il te prend -presque- par surprise. tout à coup, ce garçon qui semblait incertain semble maintenant entreprenant. il s'emballe : des baisers langoureux, son corps sous la pression sexuelle s'ondule contre le tient. tu n'es pas le premier, oui. et sûrement pas le dernier à lui passer entre les cuisses. par contre, tu seras peut-être le premier à lui laisser des marques. le souhait de lui laisser des traces sur son corps t'écrases. tes sentiments s'entrechoquent entre la violence, la gourmandise, la passion, la taquinerie et l'obscénité. c'est le dawa, le gros foutoir.
il se dévêtis. petit à petit, son corps s'abandonne entre tes mains, entres tes lèvres. sauf que sa progression est beaucoup trop longue. tu veux accélérer les choses parce que l'étape des vêtements n'est pas la plus intéressante. alors sans te soucier de son aise, tu prends de nouveau les devants en interrompant votre baiser pour dégager son débardeur blanc qui finit par être jeté à l'aveugle salement. la vue devient plus claire dorénavant. tu le fais reculer légèrement d'une main. le regard obsessif se braque sur son corps d'apollon. cette vue te rend toutes choses. il est certain que son anatomie est plus robuste que la tienne. mais peu importe la matière, tu en seras toujours le propriétaire. les décisions hâtives et extravagantes viendront de ta pensée malfamée. sur cette lancée, tu te démunis de ta ceinture pour ensuite, la tendre brutalement jusqu'au claquement. tu te donnes en spectacle pour essayer de faire comprendre à ton dévoué ce qui risque de lui arriver. toutefois, tu viens à te débarrasser de cet objet en le lâchant simplement, les doigts écartés. trop précipitées, tes mains travaillent à ouvrir les boutons et la braguette de ton jean hors de prix. ton corps se hâte à passer des étapes. le pantalon ouvert, ton corps s'empresse de rappeler son compère. tes lèvres viennent se confondre aux siennes et se mélange l'écume salée de vos bouches aimées.
le mouvement est donné. chaque minute, chaque seconde te fais entrer dans un état de transe. renji s'en donne la peine en même temps. sa bouche qui procède à faire des vas et viens contre ta verge te fait frémir comme un dingue. putain, qu'est-ce que c'est bon. tu planes par le bien procuré par ses lèvres voluptueuses. instinctivement, une main fait son chemin au sein de sa chevelure platinée. elle se resserre sous l'exaltation de ses actions et vient suivre ses balancements. ta lévitation te fais perdre le contrôle de ton corps. ton visage tombe petit à petit en arrière pendant que ta main suit toujours la cadence.
une envie de prode te prend. l'envie du trop. alors, ton autre main se glisse dans la poche où tu avais rangé une boite de medoc. tu en prends un et jette la boite plus loin. reji semblait déjà défoncé à ton arrivé. tu veux l'accompagner dans son délire.
un gémissement te prend. de temps à autre, c'est plus fort que toi. tu ne peux te contrôler. ton corps parle tout seul. tu es dur. quand il te regarde en pleine fellation, ça te fait de l'effet. tes lèvres se détendent par le vertige. t'en veux encore plus. tes deux mains s'accrochent à sa chevelure et se permettent d'accélérer le rythme de ses vas et viens.
tu lui indique son rythme, sa cadence. lui il est présent simplement pour te dire que ta fellation est bien réelle, que tu n'es pas en train de planer. alors il s'exécute en te regardant encore un peu plus profondément avant de lui-même avancer ses lèvres pour la sentir totalement dans sa bouche. ça lui arrive même de gémir doucement. soit parce que tu lui donne trop soit parce qu'il se dit que c'est la drogue qui remonte à son cerveau et qui lui libéré tout son corps de frissons insoupçonnés. en tout cas il s'applique, ne voulant pas te laisser pantois quand tout se sera finit ; parce qu'il faut quand même que tu partes sans avoir de regrets. ainsi il exécuta ses quelques derniers gestes encore très prononcés pour te faire venir et un sourire une fois qu'il fut détacher de toi, ses mains tombant le long de son corps. la tête relevée sur toi. toujours. et on ne t'as pas appris à partager? il t'indexe la boîte que tu viens de jeter délibérément. la pauvre. quant à lui, il se relève et se recoiffe doucement en s'essuyant le coin des lèvres. ce petit cadeau que tu lui a allègrement laissé je crois que t'as compris que maintenant ça s'arrêtait là pour toi. il te dépasse et restitue ses affaires sans les remettre sur lui. c'est pas comme si tu sais pas comment est renji, depuis l'temps qu'il te fait ce coup là.
il augmente la cadence. tu te retiens de jouir. tu veux garder le liquide un peu plus longtemps. tu veux faire perdurer le moment. t'en veux plus (+). tu veux clairement le sauter le gars. mais, il casse tout ton délire. il interrompe la fellation, s'essuie la bouche et se relève. il parle de la boite que t'as balancé plus tôt. il commence à reprendre ses fringues. sauf que t'es pas d'accord avec lui. d'où il pensait que votre petit entretien allait se couper maintenant ? tu vas clairement lui faire comprendre, que pour toi, ce n'est que le début. alors, tu te précipites vers lui pour donner un coup dans ce qu'il vient de regrouper. tu fous tout en l'air. en même temps, tu claques ses mains et tu t'en branles complètement de la douleur. s'il souffre, tant mieux. une main vient le pousser au niveau de son épaule gauche. tu crois pouvoir te barrer encore comme ça ? un coup de tête en l'air. t'es vénère. dans la suite des choses, tu le pousses encore violemment contre les étagères. il tire une sale gueule parce que t'as dû lui faire mal. agressivement, tu le retournes en appuyant son visage contre une barre de fer pendant que ton autre main, retient son bras en arrière. j'vais t'enculer mec et cette fois-ci, tu n'vas pas t'échapper. dis-tu à voix basse près de son oreille. tu le lâches sec pour lui défaire son bas (pantalon et sous vêtement). tu n'fais pas dans la tendresse. d'emblée, après avoir mouillé de salive ta main pour humidifier ton organe génital, tu lui enfonces à moitié ta queue par derrière. c'est encore trop sec. ta main vient presque étrangler son arrière cou afin de l'immobiliser. j'vais bien te l'enfoncer. grognes-tu en tentant quelques vas et viens rugueux.
il pensait être tiré d'affaire une fois de plus. eh dire qu'il s'était trompé sur toute la ligne avec toi. à chaque fois il avait réussi à partir au pire moment pour toi, mais là, tu semble vraiment convaincu et renji lâche un hoquet de surprise quand tu claque violemment ta main contre ses vêtements. il fronce les sourcils mais ta parole le happe. tes gestes aussi. l'étagère fait un bruit sourd à cause des objets dessus. tant mieux, elle cache le cri de renji quand son dos rencontre la forme. à croire qu'il est doué qu'à ça ; il cri encore quand tu le retourne mais ris par la suite quand il entend tes paroles. sa tête par en arrière et il gémit quand ton corps s'approche du sien. ton autre parole le fait encore rire alors que, clairement il n'est même pas en mesure de rire. entre deux gémissements et suffocation, ses yeux se concentrent sur l'étagère à quelques centimètres de lui. profite écoute.... pour l'instant... je sens rien. ses doigts agrippent le poteau et sans compter son gémissement non retenu, renji sourit. bien entendu qu'il te dit ses mots pour t'attiser. disons que c'est une manière à lui pour te dire que cette fois-ci seulement il peut aller jusqu'au bout de tout ce que vous avancez depuis votre première rencontre. la MD remonte à la tête à chaque coups de reins contre sa croupe. il tente de se cambrer pour te donner un peu plus envie. se serait con de partir sans avoir contribuer pleinement à ton bonheur personnel.
après toute ta violence envers son corps, renji paraît apprécier ton comportement. tu l'entends rire et vois son corps se cambrer lors de ta pénétration. le creux formé dans son dos t'excites. tu y plonges une de tes mains parce que tu as envie de toucher. tout son corps te démange. la fureur de te l'approprier.
il ne sent rien ? ça t'ébranle. t'es pris d'une sensation d'agressivité. tu vas lui faire sentir, sentir à quel point tu peux le pénétrer. à quel point tu te l'ai approprié. alors, tu viens prendre appuie en t'accrochant à l'une de ses épaules. et tu prends ton temps pour rentrer complètement. tu veux qu'il la ressente. tu fronces les sourcils parce que c'est sec, parce que ça te fait un peu mal. tu gémis aussi, parce que c'est étroit et que c'est bon. tu touches le fond. et là, tu reprends tes vas et viens en augmentant au fur et à mesure le rythme du battement. puis de temps en temps, tu ralentis et à d'autres, tu speed. tu t'amuses, tu t'acharnes. tu ressens en même temps les effets du medoc qui te montent au cerveau. y'a des vagues tout là-haut. tu entres dans un état de transe bientôt. avec tous ses mouvements que tu enchaînes, les uns après les autres, la sueur dégouline contre ta chair brûlante.
bientôt la pièce deviendra trop petite pour vous deux. la chaleur ça vous emporte et bientôt renji manque de souffle parce que t'es clairement en train de lui faire du bien. lui aussi la musique douce lui monte à la tête, il se sent voyager alors qu'il bouge quand tu lui donne tes coups de reins. ses doigts agrippent mollement l'étagère, c'est presque s'il peut crier ton nom. au final, sa "menace" t'avais plutôt motivé on dirait. lui aussi s'adonne d'ailleurs à quelques mouvements avec ses hanches. renji se sent comme si jamais il te lâche, il pourra tomber par terre comme une pauvre merde. se cambrant un peu plus, parce qu'il en veut encore plus de ta part. au final, t'as bien réussi à le rendre dingue de toi. peut-être que tu te fait aider de la drogue qu'il a ingurgité ou peut-être que depuis le début il en avait envie. quelques minutes plus tard, renji finit par lâcher un long râle de satisfaction, crispant ses doigts sur le meuble. ses yeux se clos un instant, le temps de prendre conscience des étoiles qu'il a tout là-haut. néanmoins, il arrive à te pousser doucement gémissant une dernière fois avant de se retourner et de remonter son bas. finalement, il tomba par terre et soupira en pliant ses jambes presque contre son torse. puis, après sept secondes de clairvoyance, renji finit par rire tout en s'allongeant par terre et te regardant. au final, t'as réussi à m'avoir. tu veux une médaille pour ça?
votre moment dure un petit instant tout de même. tu finis par le remplir de ton précieux liquide blanc. votre petite affaire vient de se terminer par cette explosion de surexcitation. renji commence à se rhabiller et t'en fais de même. tu remontes ton froc et parcours la petite pièce pour reprendre tout ce que t'as lâché auparavant. ton attention vient se recadrer sur le faux blondinet qui s'est allongé. garde ta médaille pour plus tard. ce n'est que le début de notre aventure bébé. dis-tu d'un air froid. t'approchant de lui, tu lui donnes une petite tape sur la cuisse droite pour l'appeler à t'écouter. j'me casse. tu vérifies une dernière fois tes poches, peur d'oublier quelque chose. puis, tu te diriges vers la sortie avant de rajouter: merci pour la baise. un signe militaire en guise de salue et tu quittes l'hôpital, tout léger parce que tu viens de te vider. t'as bien apprécier le moment partager avec renji. dans ta voiture, tu penses à le recontacter pour repasser un bon moment, ou du moins pour le rebaiser avec plus d’agressivité.
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) suivit d'un peu moins catholique si tu comprenais bien la signification (
). il t'attendit, assis sur les marches. il t'attendit un peu trop longtemps et lorsque tu montras enfin ta tête, il courut vers toi et sauta pour que tu l'attrapes. ses jambes s'entouraient dextrement autour de ta taille et sa tête avança vers ton oreille pour te susurrer ses plans pour ce soir. on a pas beaucoup de temps alors suis moi et ne fait rien de... chelou, comme à ton habitude, narvalo. il descendit de tes hanches et te tira jusqu'à l'entre de l'hôpital. ici c'était le sanctuaire, il y avait tout à la porté de Renji et Dieu savait qu'il en abusait un peu trop et parfois pour te faire plaisir aussi avec ses nouveaux arrivages. une fois arrivé devant une porte, il te força à t'arrêter et ouvrit la porte, la caverne d'Alibaba. cadeau. puis il t'indexa les moindres médocs ou autre, c'était free, t'avais apparemment tout compris et Renji s'asseyait sur un carton en te regardant, tout heureux. c'était aussi à cause de la Musique Douce qu'il n'avait pas arrêté de se prendre tellement le travail était chiant comme la pluie. Il était heureux pour toi puis lui aussi l'était, bizarrement. 
