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time ft. keishi

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Mar 19 Juil - 14:00
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Meguro n’a jamais été un quartier de prédilection pour kanto. Trop pimpant, trop grand certainement. Pourtant, depuis que ren l’avait adopté, c’était différent : on ne pouvait pas dire que le professeur manquait pour vivre aussi bien. Et il ne semblait pas montrer trop de difficulté à s’occuper du garçon. Cela allait faire un an peut-être plus maintenant que l’étudiant ne galérait plus pour trouver un toit au-dessus de sa tête. Naturellement il lui arrive encore de découcher chez des amants quand ils désirent que le jeune homme reste à leur côté le temps d’une nuit. Que fait kanto à meguro ? il vient rendre visite à un homme dont il ne connaissait même pas l’existence il y a quelques temps. Un homme qui trône dans sa tête depuis quelques semaines maintenant : un ami de rei, qui avait parié sur lui lors d’un combat que kanto avait remporté avec difficulté mais remporté quand même. Un homme qui se faisait remettre en place par un autre et, depuis cette vision, s’en est enclenché une série d’évènements semblables à celui-ci : keishi avait convié autoritairement mais sans froideur, le petit garçon à venir chez lui de ce pas, ce que le petit n’a pas refusé au vue de la possible urgence de la situation. Kanto a enfilé un tshirt trop grand et un short avant de souffler une nouvelle fois sous la dissimulation d’une légère plaie dans un maquillage maladroit. Il monte dans la résidence de keishi, vérifiant l’état de son visage à l’aide de son téléphone. Il ne sait pas vraiment pourquoi il se fait autant de soucis sur son apparence pour un homme dont les liens sont aussi ambigus et imprécis qu’une vague floue palliée sur un paysage sans défauts. Kanto hausse les épaules, légèrement las avant de toquer à la porte et il pense soudainement à son attrait, pouvoir de séduction : celui qu’il n’a pas encore réussi à justifier sur l’homme qu’il a déjà vu plusieurs fois. il ne se forcera pas et ne le forcera pas pour plaire, il va simplement offrir sa douceur à quelqu’un qui en manque ? mais ça il ne le sait pas encore. Keishi a l’air aux premiers abords puissant mais pas que : il intimide réellement kanto. Il pense donc que c’est pour cette raison que le gosse prend soin sans en faire trop de sa possible image : il n’est ni élégant, ni garçon de caractère mais il sait plaire : naturellement il plait.
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Ven 22 Juil - 17:55
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Colère, fureur, dépit. Le tout en même temps donnait un drôle de mélange, loin d’être agréable. A cela s’ajoutait le whisky qui déferlait dans le corps tendu, encore et encore. Et pourtant ce soir, l’héritier n’arrivait pas à sombrer dans l’ivresse, même son liquide ambré préféré le trahissait, se foutait de sa gueule. Violente dispute avec son père. Ce dernier avait appris pour l’argent dérobé que Keishi avait du recherché avec Atsushi. Il avait appris pour les manières de faire du cousin. Il avait aussi vu la côte de l’hôtel chuter cette semaine et Keishi en avait pris pour son grade. Fort heureusement, il n’y avait personne dans la rue où le père hurla, ivre mort, sur son fils né juste pour hériter. Il lui faisait honte, paraît-il. Le père accablait le ciel, le maudissait de lui avoir offert un fils aussi indigne de lui. Il hurlait à la mort, contre son propre sang, contre ses deux fils qui foiraient tous ses plans. Et l’ainé, bien que blessé, garda la face haute, le visage relevé alors que le cœur lui, se baladait dans les tréfonds de la tristesse. « Si tu n’es même pas capable de remplir le rôle pour lequel tu es né, tu ne sers strictement à rien Sato Keishi ! Sato… tu ne devrais même pas te nommer ainsi, indigne. »  Les derniers propos du père, le couteau qui déchiquetait tout sur son passage sans pour autant tuer, qui blessait juste assez pour faire souffrir à vie. Keishi aurait pu le subir tranquillement, comme il savait si bien le faire si la visage de Kanto n’était pas apparu dans son champ de vision à ce moment là.

Il faisait les cent pas, sans jamais s’arrêter, complètement stressé, tendu. C’est pourquoi il avait fait venir Kanto chez lui. L’héritier ne souhaitait pas lui faire du mal, mais il fallait bien qu’il trouve un moyen pour que le jeune homme n’en parle jamais à personne. Ils ne se connaissaient pas depuis longtemps, il fallait sonder cet étranger perturbant. Perturbant parce qu’il attirait Keishi comme pas permis, au point où il pensait souvent à le voir, chose qui n’arrivait pas souvent au travailleur. La demeure était vide, et trop grande pour que Keishi ne se sentît pas seul. Enfin, il entendit toquer à la porte, l’ainé avait laissé le système de sécurité désactivé par fainéantise et pour que Kanto vienne avec plus d’aisance. Il ouvrit la porte d’entrée et le visage neutre, comme à tout jamais, il invita silencieusement le jeune homme à se déchausser et à entrer à l’intérieur. Keishi le guida jusqu’au salon où, au bar, il lui servit un verre. « Tu veux quoi ? » Pour lui, sans surprise, ce serait whisky, sans glace. Le jeune homme donna son verre à l’invité avant de s’avachir sur le canapé, le regard planté sur son plafond, les lèvres plongées dans l’ambre de l’élixir magique. « Tu n’as rien vu, tout à l’heure. » Il savait Kanto loin d’être idiot, ce dernier savait de quoi il parlait alors Keishi se permettait simplement de donner un ordre, efficace et clair. « Rien vu du tout. » Et ils n’en parleraient pas plus, du moins, pas de l’initiative du plus âgé. Enfin, il termina son verre d’une traite avant de le poser sur la table basse. « Mets-toi à l’aise. »
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Mar 16 Aoû - 12:31
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L’accueil était des plus glaciales, et kanto avait le don de trouver ça dommage venant d’un hôte de l’envergure de keishi. Le plus petit s’était rendu compte de son importance lorsqu’il l’avait vu se faire humilier par son propre père, discernant le mot « entreprise » ou bien « affaire familiale » et au vue de l’endroit où ils habitaient : quel travail cela devait être ! le japonais pénétra alors dans la maison, retirant d’une traite ses baskets démodés avant de s’avancer dans le salon, n’osant toucher à rien sous peur de casser toutes ces œuvres d’arts. En parlant d’œuvres, il y en avait une qui semblait à la fois en colère et stressée. Kanto ne voyait pas trop la raison de cet état : disons que ça ne lui apporterait pas grand-chose à lui, de balancer sur tous les toits ce qu’il a vu. L’enfant ose poser son fessier sur un canapé avant de lâcher un « - vodka cola. » fébrile. Il fixa l’adulte se servir une quantité importante de whisky avant de commencer à le menacer. Le gosse eut envie de sourire : il avait donc raison ; le fils à papa avait peur de voir sa fierté redescendre d’un cran à cause du petit guerrier. Cependant, pour s’amuser légèrement de la situation, le marmot ne répondit pas tout de suite, allant chercher lui-même son verre. Cela lui faisait étrange de se trouver en position de force. Il attrapa une bouteille et versa le contenu dans son verre avant de secouer doucement la tête : il réfléchissait comme ça lui arrivait souvent en ce moment, surtout depuis qu’il avait rencontré keishi lors de son combat et que son regard tâché de sang avait croisé celui du fier homme. Keishi était un garçon séduisant, et dont les traits étaient ici tirés par un songe, un songe dont kanto pourrait être le remède. Lui qui désirait en secret franchir la chambre du riche entrepreneur pour se glisser dans son dos : il pourrait lui proposer des services très spéciaux en échange d’argent de poche pourquoi pas ? le gamin afficha alors un sourire discret mais pas suffisamment pour que son hôte ne le remarque pas. cependant, il ne savait pas vraiment comment le rassurer et persister chez lui car, s’il lui assurait qu’il se tairait : keishi n’aurait qu’à lui demander de partir et l’affaire était clause, mais, le petit n’avait pas envie de ce scénario. Alors il se hissa sur le tabouret collé au bar et croisa les bras sur le meuble « - je serai plus détendu si mon hôte arrêtait de psychoter de cette manière. » il se stoppa avant de reprendre, tentant d’être aussi confiant que possible dans son timbre de voix « - je pourrais ne rien dire. C’est certainement ce que je vous aurais lâché si j’avais eu envie de me débarrasser de vous et de votre air sévère. Mais … » l’enfant planta une canine pointue dans sa lèvre sucrée de produit anti-gerce. « - mais je ne peux m’empêcher de répondre : monsieur vous n’avez qu’à me faire taire. » il lui offrit un sourire doux : c’était maintenant quitte ou double, soit keishi entrait dans son jeu un tantinet pervers et laissait kanto se mettre à son service seulement pour la journée ou pour le reste du temps, soit il se moquerait de lui et le renverrait pourrir dans son trou en lui faisant certainement du chantage pour le faire taire.
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Mar 23 Aoû - 17:42
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Keishi rejoignit le canapé alors que le cadet alla finalement se servir directement son alcool sucré. L'héritier préférait ça pur, fort et même douloureux. Il aimait quand, la gorge brûlée, il ne pouvait penser à rien d'autre qu'à cette sensation désagréable. Keishi aimait ne penser à rien, et en ce moment, dans son esprit, se déroulaient trop de maux et de questions, il haïssait ce genre de situation. Assis tel un pachat dont l'aura écrasait les alentours, le brun observait le petiot qui s'installa comme s'il était chez lui. Il aimait ça, ce naturel que possédait Kanto, et cette grâce discrète qui se montrait légèrement à chacun de ses gestes, à chacune de ses poses. Il était comme une de ses œuvres d'art que Keishi admirait silencieusement des heures durant. La façon dont le plus jeune s'exprimait avait d'ailleurs don d'émoustiller l'ainé. Bien qu'il le vouvoyait, Kanto semblait casser la barrière de la politesse que la société asiatique avait installé et ce pouvoir intriguait énormément le directeur autant qu'il chauffait légèrement cette partie du corps vraiment sensible chez les hommes. Quel était donc ce sourire qu'affichait le jeune homme ? Allait-il vouloir le faire chanter ? Serait-il aussi mauvais ? Keishi n'arrivait pas à se faire à cette idée. Kanto lui semblait pur, innocent. Un innocent jeté en plein dans le gris de la société, perdu dans le rouge des coups et rongé par le bleu de la solitude... Une âme pure au corps souillé... « Monsieur vous n'avez qu'à me faire taire.  » Une vague de frisson parcourut son corps alors qu'un coup de chaud l'obligea à passer sa main dans la douceur de ses cheveux noirs. Trop faible face à ce petit, Keishi le voulait rien que pour lui en ce moment même. Il cédait peut-être trop vite, mais rien qu'avec ses mots, le jeunot arrivait à le faire flancher. « Et comment dois-je m'y prendre ? » demanda-t-il un peu moins sérieux qu'avant, le regard brillant, néanmoins, la question était quelque peu rhétorique, parce que Keishi voulait déjà un peu guider le jeune homme vers une situation précise. Il attendit un petit moment avant de lui ordonner de lui servir à boire. « Sers moi un whisky et rejoins-moi. » Une fois l'injonction exécutée, Keishi saisit son verre et en but quelques gorgée, sans autoriser Kanto à s’asseoir. Puis il posa le verre plus loin avant de saisir le poignet du plus jeune pour le tirer vers lui. Il le fit s’asseoir sur ses cuisses sans aucune gêne. L'une de ses mains vint jouer avec le col du garçon, faisant mine de le remettre en place – mais ça n'était qu'un prétexte pour effleurer sa peau et observer sa réaction. L'autre vint prendre entre ses fins doigts le menton du Japonais pour remonter son visage afin de leurs regards se croisent. « Alors ? Comment je dois faire ? Une idée ? »
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Mer 28 Sep - 15:20
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Kanto ne se rendait pas forcément compte qu’il devait peut-être marquer des points auprès du directeur dont il ignorait en fait presque tout. Mais son naturel était ainsi, et peut-être était-ce ce qui le perdait le plus souvent : souhaiter découvrir un corps avant un esprit et s’adonner à certains plaisirs qui marqueraient certainement cette peau déjà tant abimée. Mais le japonais, même si sa fragilité traduisait une fatigue devinée, ne pouvait s’empêcher de vivre une existence sans douleur ou humiliation : dakota, rei, les hommes qui se battent. Et keishi ? était-il de ce genre-là ? la réponse importait peu étant donné la situation avantageuse dans laquelle s’était fourré kanto. Cet homme riche et grave devenait de jour en jour une obsession injustifiée, un objet de convoitise sans fin et sans faille. Alors oui, l’enfant était autant dans la spontanéité que dans la séduction, et il adorait ça. Ses doigts féminins attrapèrent la bouteille d’alcool en cristal avant de remplir de moitié le verre de sa majesté. Le gamin avança alors, les deux collations dans les mains, vers son hôte à qui il tendit la boisson avant de tomber sur ses cuisses plutôt confortables. Kanto cacha un sourire, bien trop maladroitement pour ne pas être repéré, sous un air étonné alors que ses yeux se fermèrent de moitié, fixant le visage demandeur de keishi, on aurait pu dire qu’il le défiait du regard. L’enfant pencha la tête sur le côté opposé à celui du plus âgé quand ce dernier s’aventura dans son cou : endroit sensible et marqué du garçon alors que son visage se fit ramener vers. Si proche. Et cette proximité faisait fantasmer le marmot qui songeait à être là, dans la même position mais sans tissu qui recouvrait son corps frêle et blanchâtre. Maladif. « - faites uniquement ce que vous avez envie d’assouvir avec moi. » : violence, injures, sexe, tout ça à la fois ou simplement discuter ou encore le mettre dehors en le payant une somme considérable ou non pour le faire taire. Si seulement keishi pouvait deviner qu’il était en son pouvoir de l’avoir à sa merci en quelques gestes ou promesses menteuses. L’enfant était si crédule. Kanto ne l’embrassa pas tout de suite, malgré son envie débordante qui se traduisait par quelques tremblements. Il voulait, en effet, que ce geste vienne de son ainé, alors il attendrait. Le pion laissa alors ses doigts jouer leur rôle naturellement et ainsi s’adonner au déshabillement de l’enfant qui se sépara de son grand pull. l’étudiant n’était pas vraiment fier de son corps mais il n’y prêtait pas d’attention, ou plutôt tentait de se le convaincre. Alors, le torse nu et fébrile, kanto passa une jambe de chaque côté de keishi pour s’installer à califourchon sur lui, le poussant alors à le toucher et à peut-être le désirer s’il ne se trouvait pas repoussé par cet aspect aussi enfantin.
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