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be my superhero ~ (ft. yuko)

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Mer 30 Mar - 18:48
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be my superhero
yuko & haru

TENUE + Deux jeunes femmes assises l’une face à l’autre, souriantes, bavardes alors qu’elles partageaient un repas dans un bon bistrot non loin du campus. Après avoir passé quelques heures à la bibliothèque, à tergiverser sur les sujets qui leur plaisaient et à avancer mutuellement dans leurs cours – Yuko montrait un intérêt pour ses matières plus ‘logiques’ et l’aînée appréciait ce partage. Ça ne l’aurait pas dérangé de n’aider que l’autre brune, gentille et jolie, elle la supportait et pour cela Haru l’avait invité à manger ce soir. « Nagase-chan, cet endroit te plait ? » Nagase. Parce qu'elle n'osait pas encore l'appeler par son prénom, elle connaissait les règles et les manières, tout de même. Tête penchée sur le côté, la douce enfant espérait que son amie soit contente. Elle savourait son plat de nouilles avec un engouement qui ne laissait que deviner son amour pour la nourriture, même si elle préférait nettement les desserts. C’était la première fois qu’elles osaient se voir en dehors du campus – même si ce n’était qu’à un kilomètre à pied – et Haru pensait pouvoir l’appeler ‘amie’ à présent. Certes, elle ne savait pas grand-chose de sa vie, mais elle en connaissait l’essentiel à son sens, peu lui importait qu’elle soit la fille d’un riche homme d’affaire ou d’un mécanicien. Jusqu’à maintenant, elle n’avait vu qu’une jeune femme sociable et sympathique, pas toujours polie mais, ça lui donnait son charme et elle était amusante. Intéressante aux yeux de cette fleur innocente, ce lys blanc qui avait rencontré une rose, belle, mais épineuse.

Ainsi Haru n’était pas très bavarde lorsqu’elle mangeait, mais plutôt concentrée sur ce qu’il se trouvait dans son assiette en prenant garde de manger correctement – même si inévitablement, elle se mettait toujours de la sauce aux coins des lèvres, toujours. « Tu as un plat préféré ? Pour moi, c’est la tarte aux fraises. » Et avec le printemps qui approchait, elle s’en donnerait à cœur joie. Quelques minutes passèrent et elle arriva enfin au bout de son plat, posant ses baguettes dans le bol vide et poussant un long soupir de satisfaction. Dehors le ciel était déjà sombre malgré l’heure qui n’affichait que dix-neuf heures trente, parce que le soleil se couchait toujours tôt à Tokyo. « Je t’invite Nagase-chan. Je me souviens des prix et j’ai le compte ! » Et en effet, elle avait déjà sorti ses yens pour ne pas laisser le choix à Yuko de s’interposer entre elle et le serveur qui vint tout récupérer – en apportant l’addition qui ne servit finalement à rien. « La prochaine fois ce sera toi. Tu voudras une prochaine fois, hein ? » C’était pour elle une question rhétorique, car Yuko n’était pas détestable avec elle, c’est donc qu’elle l’appréciait. Elle ne se posait pas assez de questions, toujours trop crédule et trop naïve, à faire confiance aux sourires et aux mots gentils. Cela dit, Yuko avait joint les actes à la parole, il n’y avait à priori aucun faux jugement. Pourtant, son grand-frère lui dirait le contraire, car lui était bien trop méfiant. Elle se leva, prête à suivre sa camarade jusqu’au dehors. Elle ne savait même pas son âge, en fait. Elle avait l’air plus âgée, Haru la traitait donc comme une aînée.

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Lun 4 Avr - 23:51
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haru&yuko
ootd + t’aimes pas trop l’université. tu viens jamais, ou presque. tu te présentes qu’aux cours que tu préfères. la littérature c’est bien, mais les trucs abordés un peu moins. toi t’aimes lire, t’aimes les histoires, t’aimes t’exprimer. t’as pas le temps de faire l’élève modèle qui sèche zéro cours. t’as juste le temps de venir un minimum pour garder ta bourse, pour dire à maman et papa que tu travailles bien à la fac. par contre, pour assister aux cours de koizumi sensei, ça t’as le temps. en même temps, sa gueule est pas moche ça vaut le déplacement. l’université c’est pas un truc qui t’intéresse vraiment, non, toi c’est surtout l’argent qui t’intéresse. et pourtant, sans l’université t’aurais jamais croisée haru. haru, c’est la poupée qui ne doit pas être brisée. haru, c’est l’innocence, la douceur et la pureté. haru est trop précieuse, trop ignorante des horreurs de ce monde que t’aimerais bien rester à ses côtés rien que pour t’incruster dans sa bulle. // de base, la bibliothèque c’est pas ton délire. la bibliothèque, c’est pour les super intelligents, les assoiffés de savoir, les gens qui passent leur vie à étudier. m’ouais, pas ton truc.  pourtant pour haru, tu pourrais faire n’importe quoi. voilà que ça fait plusieurs heures que t’as jouer les rats de bibliothèques avec elle. d’ailleurs, elle t’as proposé d’aller au resto avec elle. t’as pas pu refuser. elle te demande si l’endroit te plait. t’as cligné les yeux plusieurs fois vers elle puis t’as porté ton regard vers ce resto. à vrai dire, t’y avais jamais mis les pieds. niveau nouilles, tu connais que celui où tu travailles, ça va pas plus loin que ça. t’avais pas envie de faire la difficile, pas envie de la faire attendre un plus dans le froid alors t’as répondu un simple oui avant de la pousser à l’intérieur. // une fois à l’intérieur, tu t'empresses de terminer ton bol de ramens. parait que les pauvres ont toujours cette manie de manger super vite de peur que le plat disparaisse, tu sais pas, pour toi c’est normal de manger comme ça. t’as zéro gêne, zéro classe, zéro retenue. c’est comme si tu venais de manger pour la première fois de ta vie. à ce moment, tu te fichais du regard des autres, t’avais tellement faim que tu pouvais dévorer un passant sans éprouver aucune moralité. pendant que tu finissais tes nouilles, tu commences à entendre un début de phrase. tu t’arrêtes alors dans ta chasse aux miettes de nouilles restantes et écoute ton amie, par simple politesse. elle te demande ton plat préférée et te dit qu’elle, adore les tartes aux fraises. à cette petite anecdote, tu lui souris. tu sais, je suis pas compliquée mais je dirais que le poulet ne m’a jamais trahi depuis que je suis née. contrairement à haru, toi t’es plutôt salée. à part le chocolat noir, les glaces ou bien les fruits tu préfère t’acheter des plats salées déjà préparés -en partie parce que c’est largement moins cher-. mais après tout, tu te dis que les tartes aux fraises ça correspond tellement à haru. // pendant que t’étais en train de finir, tu t’inquiétais un peu pour l’addition, t’étais pas sûre de pouvoir payer pour haru et toi que t’as commencé à trembler tes mains en direction de ton sac. puis t’as même pas eu le temps de bouger plus qu’haru t’arrêtes avec son visage candide pour dire qu’elle paye. tout de suite, t’as les larmes aux yeux. instinctivement tu la prends dans tes bras, émue par le geste. putain haru-chan, je t’aime t’es trop mignonne. elle a beau t’appeler par ton nom, toi tu t’en fous, tu l’aimes bien, alors on se pose plus de questions tu l’appelles par son prénom c’est aussi simple que ça. elle te dit alors que la prochaine fois ça sera à ton tour et c’est en lui faisant un grand sourire que tu acquiesces. « promis ! je t’emmènerais à la meilleure pâtisserie de tokyo s’il le faut. » t’as beau ne jamais avoir d’argent, tu t’efforces toujours à dépenser ton argent pour les autres, c’est comme ça. tu peux pas t’empêcher de te sacrifier pour ta famille et ici pour haru. après tout, haru elle ressemble pas mal à ton petit frère yasu alors c’est peut-être pour ça que t’as envie de la chouchouter. // une fois sortie, tu te portes volontaire pour raccompagner ton amie mais sans faire attention tu bouscules à un groupe d’hommes. sur le coup, t’arrives pas à trop comprendre ce qu’ils essaient de dire, le blabla doit ressembler à mais qu’est-ce que vous faites à cette heure-là mes jolies ? vous voulez qu’on vous raccompagnes ? sur le coup, tu réfléchis pas tu prends la main d’haru et la met derrière toi. faudrait surtout pas que la poupée se brise, surtout par ta faute.


SORRY:
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Sam 16 Avr - 1:13
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be my superhero
yuko & haru

TENUE + Elle se sentait bien avec Yuko, elle ne la mettait jamais mal à l’aise car justement, elle était celle qui avait baissé les barrières de politesse en premier. Cela dit, à force des jours, c’était devenu naturel pour Haru de l’appeler par son nom plutôt que par son prénom directement. Peut-être que ça finirait par lui venir, mais peu lui importait en réalité, car elle valait plus qu’un nom. Nagase était une jeune femme passionnée et intéressante à sa manière, et même si elles avaient des tempéraments différents, elles arrivaient à trouver des terrains d’entente notamment à travers la littérature. Même si Haru prétendait aider la plus jeune, c’était plus souvent cette dernière qui, à travers les œuvres qu’elle étudiait, donnait indirectement des cours à la plus grande et cette petite amitié leur allait ainsi. Celle qui portait le printemps pour nom divagua sur quelques sujets au cours de la soirée, sur l’endroit qu’elle avait choisi ou le plat préféré de son amie et la conversation allait bon train. Elles apprenaient de nouvelles petites choses sur l’autre en savourant tranquillement leur plat de ramens – enfin, Yuko mangea si vite qu’elle fit rire sa camarade, toute aussi enjouée et qui tenta même de suivre son rythme. C’était un coup à faire une indigestion après, mais elle ne pensait jamais aux conséquences la petite. ~ Ainsi lorsqu’elles terminèrent de manger et qu’il sembla que la journée touchait enfin à sa fin, Haru se proposa de payer et elle ne manqua pas l’expression de joie et de soulagement chez son amie. Tandis qu’elle revenait, l’addition payée, elle se vit prendre dans un câlin spontané de la part de la nippone et elle referma les mains dans son dos, agréablement surprise, elle qui appréciait ce genre d’attention. « Ce n’est pas grand-chose. » Ce qui l’avait surprise également, fut l’enthousiasme et la sincérité avec lesquels Yuko avait prononcé ce « je t’aime » assez poignant, sorti du cœur pour exprimer sans doute le bon geste de Haru. « Tu es une bonne personne, je t’aime aussi ! »

Quelle joie dans son petit cœur simple que d’avoir trouvé une personne qui aimait sans complications. Même amicalement, Haru aimait facilement toute personne ayant bon cœur avec elle. Haru, on ne pouvait pas dire qu’elle détestait beaucoup de monde, en fait, car elle réussissait à trouver des excuses aux plus méprisables. Elle était un peu trop indulgente, Haru, ignorante du monde d’en dessous, celui où des jeunes de son âge peinaient à rembourser leurs prêts, où d’autres arpentaient les trottoirs pour payer leur loyer et où les plus friands d’adrénalines se détruisaient un peu plus chaque jour. Un train de vie qu’elle ne connaissait pas et qu’elle ne comprendrait sûrement pas. De la violence elle n’en connaissait que le mot, et de ce qu’elle témoignait à travers la fiction, elle ne s’y fiait pas. Bien sûr, elle savait que la société n’était pas à l’image qu’elle s’en faisait autrefois, mais elle continuait à ne voir que les beaux côtés. Pour elle, un sourire pouvait faire la différence et que pourrait-il lui arriver, à elle, si aimable ? Que de naïveté que de croire que de simples ‘non’ et ‘désolés’ la sortiraient d’affaire. Alors lorsque les demoiselles sortirent du restaurant et qu’une bande de messieurs, devant avoir une dizaine d’années de plus, les abordèrent de façon assez malpolie, Haru pencha simplement la tête. Une Yuko réactive se plaça devant elle, mais pourquoi se braquer si vite lorsqu’elles ne se voyaient poser qu’une question plutôt anodine. Non ?

« Oh mais, il n’est pas si tard et nous allions rentrer. » Il fallait toujours qu’elle se sente obligée de répondre, même quand la question servait juste de décoration. Oui parce que, ce qu’elles faisaient dehors à une heure tardive, ils s’en tapaient. « On connaît le chemin, mais merci quand même. » Encore une fois. Et puis, elle les remerciait ? Les hommes ne trouvèrent qu’à rire, mais visiblement, ils ne prenaient pas ses paroles de la manière escomptée. Haru s’était juste montrée polie. « Hé, ta copine se moque de nous ? » Et puis elle remarqua dans le ton de leur voix, qu’ils semblaient avoir forcé sur la boisson, ces individus-là. Puis franchement, elles ne vivaient pas dans le meilleur quartier de la ville, question barjos, y’avait de quoi faire. Mais jusqu’à maintenant et depuis qu’elle vivait ‘seule’, Haru évitait de traîner dans les rues une fois la nuit tombée. Ou du moins, jamais seule et ici encore, elle était accompagnée. La main de Yuko, elle la serra un peu plus fort et s’approcha d’elle assez pour lui chuchoter à l’oreille. « Pourquoi ils ne comprennent pas les ‘non’. Deux fois que ça m’arrive Yuko, mais eux là, ils me font un peu peur. » Forcément, ils n’avaient pas une tête d’étudiants trop confiants et lourds sur les bords. Eux, leurs regards la mettaient mal à l’aise et elle tira sur le bras de son amie, la prévenant silencieusement que deux de ces bras cassés s’approchaient. « Toi là, au regard de braise ! Aller…juste un bout d’chemin, c’pas sûr pour les dames à cette heure, v’savez pas ? » Qu'il lança visiblement à Yuko, parce qu'elle était plus consciente, plus réaliste et que son regard devait en dire bien plus sur ses pensées que celui de Haru.


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Lun 25 Avr - 3:33
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haru&yuko
ootd + haru était si innocente, si douce. elle avait sa propre vision du monde. t’avais l’impression qu’elle avait la conscience d’un enfant mais peut-être que tu la sous-estimais un peu trop. mais t’avais pas envie de briser sa bulle, t’avais envie d’en savoir plus sur son innocence. en partie pour le rôle que t’as décroché mais aussi pour découvrir comment la vie pouvait être simple. t’étais toujours là à te préoccuper des moindres détails de ta vie que ça te rongeais sans que tu le saches vraiment. d’ailleurs c’était tellement ironique de t’invertir dans un rôle si innocent, si niais alors que lorsque aucuns regards, aucunes caméras n’étaient portées sur toi, t’étais déjà là à coucher le premier homme venu. t’ignorais comment t’avais pu tenir le coup depuis tout ce temps. peut-être que tes proches te donnaient une certaine forte, et qu’haru en faisait partie. t’avais l’impression d’être la plus mature d’entre vous, mais t’as cette habitude d’agir comme une enfant parfois, tu le fais qu’avec les gens avec qui tu te sens à l’aise. et c’est en remerciant ton amie de payer l’addition que tu te rends compte que t’es pas si mature que ça finalement. tu te dis qu’haru a beau être innocente, c’est pas une gamine pour autant. elle est plus jeune que toi même si t’as l’impression d’être son aînée parfois. tu lui lances un énorme sourire jusqu’à qu’elle te dise que tu es une bonne personne. ce compliment, tu le mérites pas. tu te considères comme un monstre. t’aurais pu en être fière si t’aurais pas sombré, mais à ce moment là, t’entends ton coeur se serrer. tu effectue un pincement de lèvre, t’as envie de pleurer. tu respires un instant, t’oses pas relever les yeux parce que tu sais qu’elle est sincère envers toi. pourtant elle a tort. tu serres tes poings en fixant le sol. m-merci beaucoup haru, je te retournes le compliment. t’as envie de lui dire que non, que t’es tout sauf une bonne personne. mais t’as pas envie qu’elle t’assures que si, qu’elle te redonne confiance en toi, ça te feras encore plus de mal qu’à l’heure actuelle. les larmes perlent le long de tes joues, elle pensera que t’es touchée et c’est pas plus mal. t’as de la chance que les gens soient si naïfs. alors tu lui souris, yuko t'es qu'un monstre. // mais t’as pas le temps d’angoisser. à peine sortie, à peine avoir mis un pied dehors, à peine avoir respirer une bonne bouffé d’air frais. ces lourds sont là à penser pouvoir te mettre ton amie et toi dans leur lits. pathétiques. ces personnes devraient pas exister sur terre mais tu sais qu’on a besoin de n’importe quoi pour la peupler. t’as beau être devant haru, tu sens qu’elle a pas peur, non. elle leur parle sans la moindre gêne, tu sais qu’elle ne comprend pas la gravité de la situation. tu sais aussi que ce n’est pas avec ses propos qu’ils vont vous laisser tranquilles. le groupe vous encercle et tu sens même pas une goutte d’alcool t’envahir. haru commences à te dire qu’elle a un peu peur, tu sens sa main se serrer à la tienne que tu commences à perdre ton calme. on peut dire qu’elle les a provoqué. mais aujourd’hui ça sera pas le jour où la vie de haru va basculer. aujourd’hui ça sera pas le jour où vous allez vous faire agresser. tu serres à ton tour la main de la brune et tu lui réponds. restes calme haru, tout va bien se passer. tu détournes le regard de ton amie mais tu finis par tomber sur les yeux d’un des gars. il commence à prendre possession de ton visage et hausse les sourcils. hé, réponds quand je te parle. T'ES SOURDE OU QUOI ?! à vrai dire, tu les écoutais tellement pas parler depuis tout à l’heure que t’as sûrement causé une merde pas possible. les deux autres garçons vous interceptent chacune un bras et vous obligent à avancer, suivant le leader. le seul point positif est que ta main droite est toujours collée à celle d’haru. tu t’étais jamais fait embarqué dans ce genre de situation que tu sais pas quoi faire pour t’en sortir. surtout que là t’es pas toute seule, ni avec n’importe qui. t’es la seule qui sera capable de vous sortir de ce pétrin. tu t’essaies de te débattre pendant au moins une bonne dizaine de minutes mais en vain, tu sais que la force masculine l’emporte toujours sur la tienne. lorsque tu relèves la tête, tu te rends compte que vous êtes déjà aux alentours de kabukichō. tu commences sérieusement à avoir des frissons car tu sais qu’il y’a un love hotel pas loin et que même si t’es qu’une putain c’est pas avec ces garçons pas gosses de riches que tu comptes passer la nuit, surtout avec haru. dire que tu lui avais dis que tout allait bien se passer..


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Jeu 9 Juin - 19:06
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