ishii keiko (✧ p r i m a d o n n a

m y i d ☽ surnom : la menace, celle qu'on convoite, admire, moque, mais surtout jalouse, salit, cache sous notre lit. cette déesse de l'émancipation, de l'affranchissement des normes. elle est le karma, un revers amer de la main en pleine gueule quand on ne sait la garder fermée.  ◊ âge : les années defilent, se ressemblent, se traduisent en vagues souvenirs d'antan, de vulgaires deja vus, et rappels de notre propre existence a chaque nouveau calendrier a empiler sur les vingt-quatre autres.  ◊ lieu et date de naissance : elle partage son existence avec la science, la déchéance de ce maitre au regard astral, rendant son dernier souffle le vingt-quatre mai pour avoir affirmer le soleil comme centre de l'humanité. hokkaido, cette bouffée de vie, de nature, a été son berceau, son oxygen. ◊ nationalité + origines : juste une autre étincelle dans ce vaste néant, nippon parmi les nippons. ◊ métier, études: les talons déambulent, le sourire cousu a ses levres baignant dans les clichés, les flashs incessants. mannequin, on l'aurait vu porter des costumes, représenter le concept de masculinité, pourtant, ce sont les diamands, la soie, les robes luxurieuses qu'elle expose sous les projecteurs. ◊ côté argent : did you see my bag ◊ côté coeur : son coeur est pris, s'est vu dérobé par une personne qu'il n'aurait probablement jamais imaginé a ses cotés, l'aimant ainsi, plus qu'une simple amie. damon et elle, c'est une équation étrange, écrite et effacée au crayon a papier sur un brouillon, a la recherche maladroite d'une quelconque formule.  ◊ orientation sexuelle : ils sont beaux, tous, ces corps, musculeux, suaves, courbés, féminins, différents, comme elle. keiko aime et admire la beauté sans différents, embrasse sa pansexualité avec fierté. ◊ hobbies : jouer a la ds (particulierement animal crossing et the legend of zelda), manger, shop en ligne, s'enjailler seule a la maison passé 22h, prendre des bains pour les bath bombs et les shampoo glitter, juger les gens h24, procrastiner en gamant, abuser du caprisun, sortir juste pour montrer ses fringues ◊ signe particulier ? : un piercing a la lèvre inférieure. transgenre, son apparence est présentement androgyne, féminité embrassant non encore completement ses traits, mais quand bien meme particulierement visible.

a lil more ☽ fière, consciencieuse, déterminée, impulsive, sensible, compléxée, endurante, forte, sociale, rancunière, provocatrice, assertive, dominante, lunatique, capricieuse, mature, simple, optimiste, bornée, susceptible, drole, positive

je suis égoïste, impatiente, et peu sûre de moi. je fais des erreurs, je perds le contrôle, et parfois je suis difficile à gérer. neanmoins, si vous êtes incapable de me gérer quand je suis dans les pires moments, alors vous ne méritez pas les meilleurs.

PERSONALITY TYPE : ESFP-T (L'AMUSEUR) 72% extraverti ♡ 28% introverti 49% intuitif ♡ 51% observateur 32% pensée ♡ 68% sentiments 5% jugement ♡ 95% prospection 42% assuré ♡ 58% prudent

ALIGNMENT : TRUE NEUTRAL lawful good - 18 ♡ neutral good - 21 chaotic good - 16 ♡ lawful neutral - 24 true neutral - 27 ♡ chaotic neutral - 22 lawful evil  - 11 ♡ neutral evil - 14 chaotic evil - 9

about me ☽  #keywords: dysphorie, luxe, talons a fleurs rouges, bath bombs, paillettes, or, œstrogène, nintendo ds rose, lipstick rouge, vêtements en soie, fishnets, recherche du moi, non conformisme, les 80's



(s p r i n g) renaissant du froid, des dagues menaçantes perchées au dessus du cou, elle tisse son nouveau départ, croissance en son fil. elle panse les écorchures, de corps, de cœur, relève timidement le regard, bercé dans des flots amoureux, au toucher doux. elle aime, de tout son coeur, comme personne d'autre peut aimer, sa main, constamment tendue vers autrui, d'autres âmes tout aussi méritantes.  elle est l'oreille, l'épaule, la bouche cousue, le bras qui relève, et enlace. fille du printemps est telle l'élément qui l'entoure, simple, tant fragile que solide comme le roque, une touche de beauté éphémère. (s u m m e r) l'autorité rugit, son pied clame présence et respect. les sourcils se lèvent, narquois, répliquent face à des pointures plus grandes voulant l'écraser. volonté en tant que sol, ambition-oxygène, keiko est reine, fierté brûlante en ses orbes. elle ne joue pas pour jouer, elle joue pour gagner. tic tac tic tac, la poudre s'amuse avec le feu, se propage à toute vitesse, s'enflamme en un clin d'œil, et explose sans crier gare. son essence est violente, sa colère bruyante, ses mots percent, tout autant qu'ils offensent. la vérité fait mal, mais il faut l'entendre. la reine ne passe pas par quatre chemins, elle déverse, accuse, critique, remet en question, sait d'ores et déjà ce qu'elle veut faire sien, impatience dansant au rythme de ce cliquetis dangereux qu'on peut considérer malsain. spontanéité et impulsivité s'embrassent langoureusement au son des tambours, sur cette balade, celle qu'on nomme danse macabre, hymne de guerre sans égal.  (a u t u m n) fille de politique, son doigt pointe les injustices, se tient aux côtés de la discrimination, des victimes, des malchanceux, de ses confrères. elle protège, mais elle attaque, grandit, s'expand telle une galerie amassant les perles du monde entier. keiko se découvre, s'adonne aux changements, ces effrayants interférants. elle laisse la chance la guider sur des mers qu'elle espère seront prospères, et l'aideront à grandir, toucher des horizons toujours plus lointaines. les genoux écorchés, les joues rosées, agressées par les coups, les poisons, les mots-venins, le gamin grimace, les dents acérées. elle tient bon, de sa carapace en fer forgé, balaye les postillons, les injures, les faiblesses représentatives de ses agresseurs, renaît de ses cendres, apaise les maux, et décolle de plus belle. intouchable, persévérance à l'épreuve de toute balle, toute arme, keiko est un bataillon austère, à l'armure unique. sa structure est complexe, pas autant que le mécanisme interne. or il n'est pas méconnu, que tout élément possède sa faiblesse. (w i n t e r) elle les sent vibrer dans ses pores, crier, à l'intérieur, telle une sirène, une alarme. l'oreille portée, réflexions en marche, elle remue, tremble, vulnérable. elle est trop rapide, pour peser le pour du contre, écoute ses tripes, la nervosité d'avoir fait le mauvais choix l'étranglant, nouée tel un vêtement trop serré autour du cou. corps exposé, mis à nu face aux démons acérés, elle les laisse l'humilier, pendant un temps, le temps d'une faiblesse, d'une humanité. les larmes vivent un instant, meurent dans le suivant. les genoux à terre, les mains liées, pardons sont susurrés, timides, faibles, incertains. ils se demandent si cela en vaut la peine, l'effort, s'il est vrai, que tout le monde peut être sauvé. les cicatrices embrassent ses maux, ses déchirures. les ombres craignent la façon dont le rideau se relève, lentement, mais surement. les peines saignent, mais le coton apaise, avec des murmures, une chaleur rassurante, une promesse de seconde chance.

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