Le deal à ne pas rater :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : où l’acheter ?
Voir le deal

 :: anciens rp Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

Comme des gosses || U. Renji

«Invité»
Invité
Anonymous
Mer 15 Juin - 1:23
Invité
Comme des gosses
with Usami Renji

Arrivé hier soir, tard dans la nuit, Aoki avait pris le premier vol direction l'Australie pour assister à la fameuse course de ferrari qu'y était organisée. Un événement qu'il n'aurait pour rien au monde louper, même pas le travail l'aurait empêché d'y aller, si bien qu'il avait emmené avec lui son ordinateur pour travailler et comptait de toute façon rentrée à Tokyo une fois la fin de la course.

Les lunettes sur le nez, le dos accolé à la carrosserie noire de la voiture qu'il avait louée, le directeur finissait tranquillement sa clope tout en profitant du soleil. Le temps était au rendez-vous au plus grand plaisir de celui-ci, qui en avait profité pour s'habiller plutôt confortablement avec un bermuda jean, un polo classe, blanc, avec le logo de l'entreprise NLux' positionnée au niveau de la poitrine gauche et au pied une paire de sneaker lacoste d'une édition limitée. Une fois l'entrée passée, il avança doucement, une bouteille en main afin de s'hydrater un minimum sous cette chaleur qui allait vite devenir pesante dans quelques heures. 

Les yeux balayant rapidement les lieux, Aoki ne perdit pas de temps pour choisir une place de choix alors que les sièges commençaient déjà à être pris d'assaut. Une fois sa place choisit, il attrapa son portable pour faire une selfie de lui et un snap à ses potes. Cela fait, il rangea son portable dans sa poche pour ouvrir sa bouteille et commencer à boire une gorgée. Reposant la bouteille entre ses deux pieds, il ne fit pas de suite attention à la personne qui prit position à ses côtés. Les places commençaient à se remplir de plus en plus, la course allait bientôt débuter.

Regardant sa montre pour connaître l'heure, Aoki laissa doucement ses yeux regarder un peu autour de lui, puis il s'arrêta sur cette personne présente à ses côtés. Un autre asiatique. À travers ses verres foncés, il regardait le visage de cet homme. Plus il le regardait et plus il avait l'impression de connaître cette personne. Tournant le visage pour ne plus le fixer, il se mit à réfléchir, tout en fronçant légèrement les sourcils. Ce type lui disait vraiment quelque chose. Le japonais le regarda à nouveau et ce ne fût qu'une question de secondes avant qu'un nom sorte de sa bouche.   « Renji ?! » Aoki espérait sérieusement se tromper, car ce mec était bien la dernière personne qu'il souhaitait voir ici. Lorsque ce type tourna la tête, il grimaça. C'était bien lui. « La poisse. » Quelle était la probabilité pour qu'il tombe sur lui en Australie ? Précisément à cette course et encore plus juste à côté de lui. Techniquement très faible... Techniquement. Comme quoi...
«Invité»
Invité
Anonymous
Mer 15 Juin - 14:34
Invité
Comme des gosses
with Nomura Aoki
born handsome
Je n’ai jamais eu l’occasion de visiter l’Australie. Pourtant, il y a tout qui me fait rêver : la nature est immense, le pays du surf, un retour à l’anglais qui me manque tant, les filles sont également très jolies. Je le répète à chaque fois mais j’ai vraiment du mal avec le Japon. Il y a trop de codes, comme l’inclinaison, ou encore les codes de politesse. J’ai appris récemment au cours d’une de mes mésaventures, qu’il faut accepter les cadeaux à deux mains, ne jamais les refuser et encore moins déchirer l’emballage à la hâte. Si les japonais pouvaient vivre un peu plus dans l’instant et un peu moins dans les détails, ils se porteraient nettement mieux. Mais voilà que je respire enfin ; c’est une façon de voir les choses. Car ici, l’air y est sec et il fait extrêmement chaud. Je n’ose pas regarder mon téléphone affichant les 40°C à l’ombre. Je me contente d’enfiler mes lunettes de soleil et d’attraper mon sac de fortune que j’ai pris pour mon court séjour ici.

Je grimpe dans un taxi qui me dépose aux pieds de mon hôtel et j’ai juste le temps de jeter mes affaires et de repartir. La raison de ma venue n’a rien à voir avec le boulot. Bien que je sois d’un ordinaire bourru de travail, je ne pouvais pas passer à côté d’un tel événement. Car aujourd’hui a lieu une course exceptionnelle de Ferrari, course organisée spécialement pour les grands amateurs de ce sport. Le jour où j’ai reçu le carton d’invitation, je savais que peu importe la charge de travail, je ne pouvais pas ne pas m’y rendre. En chemin, j’achète une bouteille d’eau et je lève les yeux vers la foule qui s’entassent au niveau des caisses. La plupart sont venus pour parier et jouer gros. J’ai également de mon côté un gros problème et c’est ce qui explique ma présence au Japon. Je suis un grand parieur. Ayant l’esprit de compétition, j’ai toujours poussé mes paris très loin. Aujourd’hui, j’ai tenté de résister. Mais se rendre à une course de cette ampleur juste pour la beauté du sport est très rare dans ce milieu. Je montre mon carton d’invitation, le guichetier m’accueille avec un fort accent australien qui ne me fait pas tout comprendre du premier coup. That’s ok mate. I’ll find my way., finis-je par répondre. Il ne reste que peu de places mais je me fraye un chemin jusqu’à trouver un siège relativement bien place.

Les gradins sont cachés du soleil. Mais on sent toujours cette chaleur presqu’étouffante. Je remonte mes lunettes et observe la piste. On peut apercevoir certaines voitures. Je m’occupe pour ne pas regarder mon voisin qui n’a de cesse de me fixer depuis déjà plusieurs minutes. Je n’ai pas spécialement envie de faire un brin de causette. Mais je sursaute presque lorsque je l’entends prononcer mon prénom. Je me retourne, fronce les sourcils. C’est pas vrai c’est Aoki ! Merde, tu fais quoi ici ? Quelle question con, mais c’est sous l’effet de la surprise. Je ne savais pas qu’il était fan de course. A vrai dire, cela fait plusieurs années que nous ne nous sommes pas adressés la parole. Je retire mes lunettes, pour être sûr que je ne suis pas en train d’halluciner. Mais même avec les années, je l’aurais reconnu n’importe où. C’est dingue de ne jamais croiser une personne qui habite dans la même ville été de la croiser à l’étranger. Quoique, il n’est peut-être pas au courant que je bosse au Japon. Alors ? Toujours le plus petit de la famille ? Je souris en remettant mes lunettes. C’est plus fort que moi, il a toujours fallu que je taquine les autres. Son petit frère a toujours été plus grand en taille que lui et à l’époque j’aimais l’embêter sur ce détail technique.

«Invité»
Invité
Anonymous
Ven 17 Juin - 10:24
Invité
Comme des gosses
with Usami Renji

Ses yeux parcouraient les lignes de cet homme, commençant par sa tempe et doucement glissant jusqu'à sa mâchoire. Cet homme, Aoki avait l'impression de l'avoir déjà vu quelque part et encore mieux , il avait l'impression de le connaître plus qu'une simple connaissance. Ce ne fût qu'une question de minutes de réflexion pour mettre un nom sur ce visage. Usami Renji. Soit l'homme à cause de qui il avait faillit passer devant la barre. Ce sale type, qui autrefois, était son ami, mais qu'aujourd'hui n'était plus qu'une personne qu'il détestait. En prononçant ce nom, il espérait sincèrement que cette personne lui dise qu'il s'était trompée. Pas de chance pour lui, il s'agissait bien de Renji.

« Ça se voit pas ?! Je bronze. » dit-il ironiquement, rivant ses yeux sur les ferraris qui commençaient doucement à s'installer au lieu de regarder cette face qu'il détestait. À peine Renji eut le temps de finir sa phrase qu'Aoki lui répondit cash :   « Le petit il t'emmerde.  » Parler de sa taille était toujours un sujet sensible, il n'était pas réellement petit, mais face à son petit-frère si. Shia faisait une très bonne tête de plus que lui alors qu'il était le plus jeune et sérieusement ça l'énervait. Oui ça l'énervait qu'il soit le plus vieux et le plus petit. Bien que par le passé, ça ne le dérangeait pas que Renji l'embête à ce sujet, ce n'était plus le cas maintenant, car par le passé ils étaient amis.

Les places se remplissaient, si bien qu'il ne restait plus aucune place libre autour de lui. Pas de chance pour lui, il allait devoir supporter Renji pendant toute la durée de la course. D'ailleurs celle-ci allait débuter. Toutes les voitures sur la ligne de départ, la voix du présentateur de la course provenant des hauts parleurs présenta les différents concurrents présent.   « Et toi tu es toujours aussi lâche ? » Sourire moqueur sur les lèvres, le japonais continua à fixer les voitures projetées sur un grand écran pour voir de plus près les bolides.   « Tu as encore mis quelqu'un dans la merde pour sauver ton cul. » Comme il avait fait avec lui. Sauver sa peau et le mettre dans la merde alors qu'il était le fautif de cette histoire. Le pire dans tout ça, ce n'est pas vraiment au fond qu'il l'ait foutu dans la merde, mais qu'il ne semble pas culpabiliser de l'avoir fait. Une amitié partie en fumée, mais qui lui a permis d'ouvrir les yeux sur la vraie nature de Renji. 

« On parie ? » Le japonais était joueur, très joueur et non pas qu'au lit. Les paris, les défis, il adorait cela et encore plus avec une mise en jeu, sinon ce n'est pas drôle. « À moins que tu sois trop lâche ou peureux pour accepter. » Petit sourire sur le bout des lèvres, le décompte sonna.
«Invité»
Invité
Anonymous
Ven 17 Juin - 12:10
Invité
Comme des gosses
with Nomura Aoki
born handsome
Donc tu es toujours le plus petit …, dis-je avec une pointe d’amusement dans la voix. Mon regard se porte de nouveau sur la piste de course. Aoki a toujours été très sensible sur le sujet ; le fait que son jeune frère le dépasse a toujours soulevé un certain complexe. C’est amusant et de l’entendre réagir de façon si susceptible me fait penser au temps où nous passions notre temps à nous battre. Car nous sommes deux compétiteurs et il nous arrivait fréquemment de nous mesurer ; gentiment, bien sûr. Aujourd’hui, nos relations sont plus venimeuses et je sais que la faute est entièrement mienne. A l’époque, je n’avais pas eu le courage d’ouvrir la bouche, de le défendre face aux accusations de nos amis de l’époque. Tous avaient accusés Aoki, alors que j’étais responsable et bien sûr je n’ai rien fait pour faire retomber les accusations. Je soupire sans m’en rendre compte et mon regard s’assombrit une fraction de seconde quand il reprend la parole. Heureusement pour moi, mes lunettes de soleil l’empêchent de lire l’expression de tristesse qui passe sur mon visage. Je mérite les attaques acerbes de mon ancien ami. Mais je suis trop con pour demander pardon. Je n’ai pas forcément besoin d’agir en personne, tu sais. Au lieu de ça, je maintiens ce rôle d’enfoiré. Mais j’ai toujours été très égoïste, j’ai toujours fait passer mon confort avant le bonheur des autres. Aoki n’était pas ignorant sur le sujet ; disons qu’il fermait les yeux et je n’étais pas comme ça avec lui.

Je pose mes coudes sur mes cuisses, me servant de mes mains comme appui pour mon menton. Chacun leur tour, les pilotes défilent sur la piste, suivi par des acclamations, plus ou moins tonitruantes pour certains, du public venu les voir s’affronter. Le silence s’installe entre nous et je ne prends pas la peine d’engager une quelconque discussion. Je pourrais, pourtant, trouver pleins de sujets. Mais étrangement, je n’ai ni envie de parler du passé, ni de le charrier. C’est lui qui, curieusement, reprend la parole et je souris à sa provocation. Ce qu’il ne sait pas, c’est que je suis un grand malade de compétitions et de paris. La part de risque est toujours grisante et l’amas du gain est un sentiment de totale satisfaction. Je ne lui accorde aucune attention. Je ne suis pas en train de réfléchir car j’ai déjà ma réponse. Je finis par pivoter la tête dans sa direction, le sourire moqueur aux lèvres. Regardez-le. Voilà qu’il se met à causer comme un grand. Je ris, mais au fond, je commence à apprécier l’évolution d’Aoki. Je me redresse, m’appuyer contre le dossier, le regard toujours fixé sur lui. Les paris, ce n’est pas pour les enfants. Si tu dois avoir l’autorisation de papa, maman, très peu pour moi. Je me demande ce qu’a été sa vie après l’incident, car nous avions rompu tout contact à ce moment. Quelles ont été les sentences de ses parents ? L’ont-ils cru quand ils leur disaient ne rien à voir à faire dans cet accident ? Je croise les bras sur ma poitrine. La foule est toujours autant enthousiaste. Les pilotes s’occupent de leur voiture. La course ne va pas tarder.


«Invité»
Invité
Anonymous
Lun 20 Juin - 15:47
Invité
Comme des gosses
with Usami Renji

Aoki préférait ne pas poser ses yeux sur lui, se concentrant plutôt sur ce qui l'entourait ou ce qui se passait sur le circuit. Voir la face de ce type l'insupportait. Quand il le voyait, il avait juste envie de lui envoyer son poing en espérant bien l'amocher pour abîmer sa belle gueule et exploser ses lèvres souriantes. Oui l'envie ne lui manquait pas, mais il se retint. Il n'allait pas non plus créer un bordel monstre à cause de ce type et se faire virer du circuit à cause de lui. S'il devait lui en coller une, ça sera pour la prochaine fois et dans un endroit beaucoup moins peuplé. S'il devait s'attirer des ennuis, au moins cette fois-ci ça sera à cause de lui-même et non à cause d'une tierce personne.

Continuant à regarder la piste tout en écoutant le présentateur présenter chaque participant, le sous-directeur lui proposa de faire un pari. Autant rendre un peu plus amusant ce moment et même gagner. Car oui, Aoki comptait bien gagner, sinon sa fierté en prendrait un coup et il serait encore de plus mauvaise humeur. Enfin quand ne l'est-il pas ? 

Comme il s'y attendait un peu, Renji continua à le chercher. Petit sourire sur les lèvres, se frottant doucement la lèvre inférieure avec le pouce, il lui dit : « Je suis plus vieux que toi. » Même si ce n'était que de quelques mois, Aoki était d'avril, tandis que Renji était de juillet, soit trois mois et demie de différences. Au fond c'était peu, mais Aoki restait néanmoins le plus vieux. « Si tu as trop peur de parier avec moi, ne trouve pas d'excuse et dit le simplement. » Même si certaine parole de ce type l'énervait, le japonais essayait néanmoins de garder son calme et laissait juste ses paroles filer. « Si tu veux je te laisse même choisir en premier sur qui tu veux parier. Honneur aux femmelettes. » dit-il avec ce même ton moqueur. À ses yeux Renji était une femmelette... Un homme faible et sans courage, même pas foutu de savoir ce que c'est d'être responsable, de payer ses fautes et non les mettre sur le dos d'un innocent.

Oui même après quelques années Aoki avait la rage et lui en voulait. Sûrement parce que Renji était un ami qu'il appréciait à l'époque malgré son côté égoïste. C'est sûrement pour cela que le japonais ne pouvait lui pardonner, car la trahison d'un ami fait bien plus mal que celle d'un parfait inconnu. « De l'argent ? Une voiture ? » Pour l'argent Aoki n'avait pas à se plaindre, il vivait très bien sans se soucier de quoique ce soit. Il n'en manquait pas et en perdre un peu non plus. Une voiture ?Tssss... De la rigolade pour lui, il pourrait même parier l'un des terrains qu'il a en sa possession.
«Invité»
Invité
Anonymous
Dim 17 Juil - 16:55
Invité
Comme des gosses
with Nomura Aoki
born handsome
Qu’il me fasse remarquer qu’il est l’ainé m’amuse. On croirait un enfant. Dans le fond, je ne déteste pas Aoki ; c’est même plutôt le contraire en vrai. Mais, comme je l’ai dit, je suis trop fier pour revenir en arrière. Alors je ne fais que sourire à sa simple réplique. Non, je n’ai jamais eu peur de parier. J’ai déjà perdu des millions sans sourciller. Ce sont plutôt mes parents qui seraient effrayés à l’idée de me voir replonger. Aoki ne le sait pas encore, mais j’ai un sérieux problème de jeu. Par moment, il m’arrive d’arriver à me sevrer. Mais à d’autres, la tentation est trop forte. Comme aujourd’hui. Tu n’es pas obligé de faire autant de bruit juste pour prouver que tu as de l’argent, tu sais ? Je pose mon menton sur la paume de ma main et observe les pilotes se mettre en place. Je change de pilotes pour mon choix de pari avec Aoki, parce que j’aime prendre un peu de risques. Avec ma main me servant d’appui-menton, je désigne simplement le pilote affichant le numéro 13. Celui-ci me paraît très bien. Gato Hibaru. Un pilote relativement jeune, à peine passé pro. Il n’est pas encore une star dans sa catégorie ; certains joueurs présents dans cette course ont fait plus leurs preuves. Mais il est relativement bien considéré par les plus seniors, référencé comme jeune potentiel. Je décide donc de miser sur lui.

Aoki discute de récompenses. Aucune de ces choses ne m’intéressent ; parce que c’est trop facile pour lui. C’est simple de me signer un chèque, de passer un coup de fil et de me livrer une bagnole, de me céder un lopin de terre. Tout ça, c’est la facilité de notre milieu. Nous sommes habitués à baigner dans tout ce fric, cette opulence oisive. Je me frotte le menton, à la recherche d’une idée fumante. Voilà des années que nous ne nous sommes pas adressés la parole. Je suis devenu encore plus fou qu’à l’époque. J’ai encore moins de limite que j’en avais lorsque nous étions adolescents. La raison pour laquelle je suis au Japon aujourd’hui, c’est parce que j’ai dépassé l’une de ces limites. Je suis très bien véhiculé, je te remercie. Un vendeur, chargé de victuailles, passe à côté de moi et nous demande si nous souhaitons quelque chose. Je sors quelques billets et demande deux bières avec des cacahuètes. J’adore ces trucs. Je file une chope à Aoki et me cale sur mon siège inconfortable. Trois jours. Je te demande trois jours de ton temps. Sans bosser, sans téléphone, sans contact avec ton personnel ou quiconque d’extérieur. Ca devrait te faire du bien. Je souris en coin, me foutant de ma propre gueule. Surtout qu’il resterait avec moi et ça ça ne risque pas de le détendre. Mais si je demande ça, ce n’est pas pour passer du temps. Juste un moyen supplémentaire de le faire chier, de le voir stresser à l’idée de ne rien pouvoir contrôler. Comment le monde d’Aoki tournerait sans Aoki ? Oh et bien sûr, tu ne préviens pas en avance qui que ce soit. Je compte sur toi pour ne pas tricher. Et je te laisse choisir ce que tu veux si c'est toi qui l'emporte.




HRPS : sorry mon beau pour le retard ♥
«Invité»
Invité
Anonymous
Jeu 21 Juil - 12:36
Invité
Comme des gosses
with Usami Renji

Va pour le numéro treize, quant à lui il miserait sur le numéro 7. Aoki ne choisissait pas ce pilote parce qu'il portait seulement son numéro fétiche, mais aussi parce qu'il savait de quoi il était capable. Un pilote confirmé qui affichait pas mal de victoire à son palmarès, quelqu'un qui avait de l'expérience sur la piste. « Pour moi ça sera le sept. » Pari lancé, il n'y avait plus qu'à trouver une mise pour rendre le pari plus intéressant. Bien évidemment tout ce qu'Aoki pouvait lui proposer était des biens matériels, même de l'argent, ce n'est pas comme si ça le dérangerait de signer un chèque avec plusieurs zéros. Ce n'est pas comme s'il n'avait pas les moyens de le faire. Petit sourire en coin, une voiture ne semblait en aucun cas l'enjoué, ayant déjà apparemment tout ce qu'il lui fallait. Le japonais n'eut même pas le temps de lui demander ce qu'il souhaitait qu'il proposa lui-même la mise. Trois jours en sa compagnie avec aucun contact extérieur lié à ses amis, sa famille et son boulot... Trois jours avec ce mec ! Non ça ne l'enchantait pas. Renji était bien la dernière personne avec qui il souhaitait passer ne serait-ce qu'une journée. Déjà qu'il allait devoir se le coltiner pendant plusieurs heures à côté de lui.

« Tu crois sérieusement que trois jours avec toi ça va me calmer ?! » Oh non, cela serait même plutôt le contraire. Ça le faisait chier, mais il n'avait d'autres choix que d'accepter pour ne pas passer pour un péteux. « Ok, marché conclus. Si je gagne tu dégages de l'hôtel des Sato. » Comment il savait qu'il travaillait à l'hôtel des Sato ? Parce qu'il y passait presque soixante-quinze pour cent de ses nuits et puis franchement ce n'est pas le genre de truc que Keishi lui aurait caché. Sa demande était peut-être extrême, mais pour lui ça valait les trois jours avec lui. Puis mise à part ne plus le voir dans son champ de vision et ne plus le voir traîner sur les plates bandes de son meilleur ami, il ne voulait absolument rien d'autres de lui. « Tous les hôtels Sato. » Bien évidemment les Sato n'avait pas qu'un hôtel au Japon, même s'il n'en fréquentait qu'un en particulier. « Tu crois sérieusement que je n'étais pas au courant que tu étais au Japon. » Dans le fond, il aurait aimé l'ignorer, mais malheureusement il l'avait vu plus d'une fois à l'hôtel. Par chance ce dernier ne l'avait jamais croisé, car Aoki se démerdait pour l'éviter au maximum, ne souhaitant pas être de mauvaise humeur. Déjà qu'il l'était pas mal en tant normal. « C'est parti ! » dit-il tout en regardant la piste. Le compte à rebours était lancé. Le départ donné. « Que le meilleur parieur gagne. »
«Invité»
Invité
Anonymous
Jeu 25 Aoû - 15:48
Invité
Comme des gosses
with Nomura Aoki
born handsome
On dit que l’espoir fait vivre. Je sais que cela n’aura aucune incidence sur une potentielle réconciliation. A vrai dire, avec le temps, je me suis fait une raison. Même si notre amitié me manque, je suis trop borné pour le reconnaitre et tenter quoique ce soit pour me faire pardonner. Donc je n’ajoute rien, un simple sourire suffit à lui faire passer le message. Là n’est pas l’objectif de toute façon. Je m’apprêtais à reporter mon regard sur la piste, les pilotes chauffant leur moteur. Mais je fus surpris par la réflexion de mon ancien meilleur ami. Je ne pus cacher ma surprise, ma tête faisant volteface vers lui. Comment était-il au courant de mon arrivée au Japon ? Avant que je ne réalise. Mes lèvres s’étirèrent en un rictus. Mais bien sûr. Tu me piste ? Tu en deviendrais carrément adorable, tu sais ? Nul doute que Keishi a dû faire sa mère commère et rapporter à Aoki mon arrivée au Japon. Ce n’est pas vraiment un problème. Tu me rendrais même service. Je ne cachais pas le peu d’intérêt que je portais à celui que je devais appeler « patron ». Mais je ne pensais sincèrement pas qu’Aoki se préoccuperait de ma présence ou non au Japon. Me ferais-je des idées ? Je me contentais simplement de le regarder, les yeux dans le vague, un léger sourire sur les lèvres. Le bruit des moteurs attira mon attention, que je reportai sur la piste, là où les pilotes s’étaient élancés. Bière à la main, je finissais la cannette, les yeux fixés sur la voiture numéro 13. Quand je commence à parier, plus rien d’autre n’existe. C’est comme si ma vie dépendait des paris. Je ne suis pas souvent chanceux aux jeux, mais cela m’allait très bien au début. Pour une fois, cependant, j’ai envie de le battre lui à plate couture. Un mec se met debout devant nous et sans ménagement, je le rassois sur son siège. Plongé dans la course, je ne manque pas d’adresser quelques réflexions à Aoki lorsque son joueur se retrouve mal en point, ou bien à grimacer, le poing dans la bouche, quand le mien prend mal le virage. Aaaah ton joueur va perdre Ao ! Regarde comment il est nul ! Nous revoilà, des années en arrière, à faire les cons sur une course à la con. Jouer les gamins pour savoir qui va gagner. Comme à nos anciennes habitudes où nous nous battions gentiment pour savoir qui l’emporterait sur l’autre.

«Contenu sponsorisé»
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
EMOJIS & CIE  :: anciens rp-
Sauter vers: