La passion brûle tes entrailles depuis maintenant quelques jours. Tu ne te suffis plus. Tu rêves de la doiceur d'une peau contre la tienne. De sa chaleur. Tu fantasmes de lèvres pulpeuses parcourants ton corps. C'est pourquoi tu as donné rendez-vous dans ce love hôtel à Seran. Ce n'est pas la première fois que vous voyez dans ces circonstances. Votre relation consiste à cela. Tu es couchée sur le lit de l'hôtel entrain de l'attendre impatiemment. Le désir brûlant chaque partie de ton corps. Tu déboutonnes déjà quelques boutons de ton chemisier libérant un peu ta poitrine. Seran, où es-tu? Tu fais exprès de me faire attendre comme ça? Tu lui envoie une seconde fois le numero de ta chambre par texto. Tu te relèves et fais les cents pas dans la pièce. Tu rassoies sur le lit dos à la porte lorsque celle-ci s'ouvre. Tu ne prends pas la peine de te tourner , tu sais que c'est elle. "Tu le fais exprès de me faire attendre?" Tu en disant cela tu déboutonnes complètement ton chemisier. Tu te lèves et d'une démarche féline te dirige vers elle. Tu poses ta main sur sa joue et te perd dans son regard. Sa beauté naturelle te laisse sans voix. Tes lèvres font naturellement le chemin vers les siennes. Doucement puis avec plus de véhémence jusqu'à ce que vos langues se rencontrent. Ça t'avait manqué. Comme un aimant ton corps se colle au sien pour ne plus jamais le quitter cette nuit.
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Mar 23 Aoû - 12:04
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Fin d'après-midi, l'hôpital se remplit. Crises de foie et coupures au couteau s’entre-chaînent, l'infirmière s'enfuit néanmoins de son calvaire. Esquintée par cette journée de travail enfin terminée, elle ne pense qu'à une chose: rentrer. Mais une sonnerie familière la fait s'arrêter regarder son cellulaire démodé. Un message texto d'Aiko lui demande de la rejoindre dans un coin qu'elle connaît bien, alors elle retrace son chemin pour l'y retrouver. Sur la route d'autres mots font de bruit, l'informant à diverses reprises du numéro de la chambre, et même de l'adresse du lieu qu'elle a pourtant déjà apprise. Aiko est impatiente; elle la fait attendre. Elle accélère la cadence au risque de suer un peu sous l'étrange chaleur du soleil de dix-huit heure. Le bâtiment se dévoile, son enseigne rosement vulgaire le faisant se ressortir du paysage. Elle y pénètre et se dirige en vitesse vers les marches menant à la princesse qui ne demande que des baisers; le loup est arrivé. Mais une fois la porte fermée, les rôles sont inversés. Princesse devient prédateur, et loup devient proie. La succube s'approche et lui vole un baiser langoureux, baiser qui ne reste sans réponse. Alors que corps et lèvres se collent les uns contre les autres, une main discrète et habile dégrafe un premier sous-vêtement, qui valse désormais seul. Les seins nus d'Aiko s'écrasent contre le torse de sa partenaire qui s'est retrouvée coincée contre le mur sous l'ardeur de la première. Mains montantes aux cheveux, descendantes vers la poitrine, Seran cherche là où il y a de l'espace, là où Aiko lui laisse le temps de toucher. Quand sa langue n'est pas enchevêtrée par celle de la démone, elle essaye de capturer la machiavélique qui ne cesse de s'enfuir. C'est un jeu, celui du chat et du chien, du loup et de l'agneau.
Tu laisses ses mains baladeuses parcourir ton corps bouillant. Le bout de tes seins nues frotte contre sa robe. Tu es en position dominante, elle coincée entre le mur et ton corps. Ta langue s'échappe de sa bouche pour se balader sur son joue puis sur son cou. Tu y laisses un suçon avant d'attaquer de nouveau ses lèvres. Tu veux voir plus de ce corps. Ta main se glisse doucement sous sa robe tel un serpent. Tu caresses sa douce cuisse. A chaque caresse tu t'approches du joyau puis tu rebrousses chemin, faisant petit à petit monter l'excitation et la température. Tu lui enlèves sa robe, vos peau sont maintenant en contact. Tu prends le temps d'admirer ce blanc laiteux, cette pureté. Tu détaches ton corps du sien et diriges vers le lit d'un pas langoureux. Tu fais glisser ta jupe à tes pieds et te retrouve en petite culotte. Tu montes tel un félin sur le lit, le regard plongé dans le sien. Tu laisses ton corps retombé sur le matelas et te retrouve sur le dos. En position de faiblesse, tu l'invites à prendre le dessus. "Seran, fais moi monter au rideau." Tu lui donnes le signal. Tu fermes les yeux, te livrant à elle. Le loup est devenu un agneau. Tu veux te laisser aller. Tout oublier. Oublier les mains de ce gros porc. Laisser la douceur féminine s'emparer de toi.
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Mar 23 Aoû - 22:08
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Des mains habiles, divines traîtresses, s'invitent sous sa robe, se posant sur sa cuisse. Vêtement retiré, la femme démoniaque stoppe ses caresses, ses baisers liqueur de cerises, regarde un instant le corps d'une Seran pétrifiée, qui attend la suite des événements: sa peau est examinée, son corps observé et le loup rebrousse le chemin jusqu'au lit, là où il se couche sous les yeux ébahis d'une femme restée contre un mur. Aux savoureuses paroles prononcées, Seran retire ses bottes et le bandeau qui couvre sa petite poitrine; elle s'approche, doucement, lentement. Elle n'a pas cette sensualité, ce côté félin et prédateur de la langoureuse démarche d'Aiko; elle n'a pas son corps pulpeux, ses hanches larges et ses seins menus. Elle n'est que fine, blanche et plate. Mais arrivée là où s'est couchée la belle, Seran enfourche son corps reposant sur les coussins blancs, et s’assoit sur son dos telle une amazone sur son étalon sauvage. Silencieusement, elle couvre de baisers sa nuque dont elle pousse les mèches de cheveux qui lui barrent la route, puis elle descend vers ses omoplates là où sa peau légèrement rosée est la plus douce, la plus pure; elle baise cet endroit avec tendresse, longeant les bordures de ses os du bout de ses doigts fins. Puis elle continue sa descente le long des courbes que lui offre son dos. Après cela, elle lève la tête, s'appuie sur ses mains postées de chaque côté du corps d'Aiko, pour pouvoir se positionner plus bas, là où ses dents peuvent attraper le haut de sa culotte qu'elle tire et retire dans tous sens pour la serrer et desserrer de la petite fleur de sa partenaire. Se plaçant encore plus bas, elle retrace de bout de sa langue les coutures du tissu qui lui sont accessibles, allant même jusqu'à marquer son passage par quelques lapées divaguant légèrement de leur chemin. Elle reprend avec confiance le circuit des coutures avec son index cette fois-ci, mais elle finit sa course en traçant des spirales au centre de la culotte où l'humidité a imprégné le tissu. Un sourire fier orne le visage de la nouvelle dompteuse, et en un chuchotement lascif elle dit "Retourne toi, j'aime te voir". Ceci dit, ceci fait, une fois Aiko couchée sur le dos, Seran plonge son visage entre ses jambes, les tient bien écartées et commence à caresser de sa langue sa fleur mouillée, encore protégée par un vulgaire textile.
Une sensation de bien-être s'empare de toi lorsque sur ta nuque tu sens ses baisers papillons. Étant chatouilleuse, tu te tortilles un peu. Ses lèvres recouvrent chaque partie de ton dos. Elles te caressent délicatement. Un gémissement t'échappe lorsqu'avec ta culotte elle exerce quelques pressions sur ton intimité. Tu te mordilles les lèvres. Tu te retournes comme elle te la demandé et plante ton regard dans le sien. Tu gémis d'une voix presque inaudible lorsque sa langue vient caresser ton intimité. Il n'y a qu'une fine culotte qui vous sépare. Ta bouche est à moitié ouverte mais aucun son n'en sort. Tes joues sont rouges d'excitation. Tes mains vont se balader dans ses longs cheveux soyeux pour ensuite exercer une légère pression l'invitant à approfondir ses coups de langue. Tu sens l'humidité qui émerge d'entre tes cuisses. Tu effonces la tête dans le matelas laissant échapper un petit cri de plaisir. Tu veux plus! Tu arrêtes tout mouvement de la part de Seran et enlève ta culotte. L'air envahit ta intimité et de réenfouir la tête de Seran entre tes jambes, jouissant une nouvelle fois de ses langoureux coups de langues. Les sensations sont maintenant plus fortes. Tu sens sa langue s'insinuer entre tes lèvres vaginales et arque le dos de plaisir. Ton bassin poussé vers l'avant comme aimanté à Seran. Tu empoignes les draps. La chair de poule envahit chaque parcelle de ta peau. Comme une litanie, tu murmures son prénom " Seran.... Seran.... Seran". Tu l'encourage à aller plus loin. Tu ye caresses les seins. Tu sens tes tétons pointés, signe d'excitation.
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Jeu 25 Aoû - 18:31
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Aiko n'y tient plus et finit par enlever d'elle même sa culotte en un geste supplique, une facilité temporelle à la quête du plaisir. Mais Seran n'en dit rien, observant avec attention la fleur de rose, de tulipe et marguerite danser sous ses yeux, retirer son voile comme les belles bohémiennes argentées ne vivant que la nuit venue. Sous la force envieuse, charnelle, de sa servile partenaire, elle plonge son visage bouillant prêt de la belle lavande arrosée, qu'elle vient titiller du bout de sa langue aiguisée. Alors qu'elle s'active à tournoyer autour de la perle nacrée du bonheur, Seran lève les yeux vers le visage paisible d'Aiko, ne se ridant seulement lorsqu'un feulement sauvage s'échappe de ses lèvres rouges. La main gauche de la première lâche la jambe de la deuxième, et ses doigts doués d'agilité remonte le long de son corps jusqu'à trouver un sein à malaxer, un téton à faire rouler entre le pouce et l'index. Elle vient étreindre un court instant la main de sa camarade de jeu avant de retracer son chemin jusqu'au jardin, là où deux de ses doigts viennent se perdre dans la cavité humide qui a pris le temps de se dilater depuis le début de leurs sensuels ébats. Ils se mouvent du plus profond jusqu'à l'extérieur, là où sa langue s'amuse encore à tourner, sauter, claquer dans un rythme endiablé. Quand la cavité se remplit davantage d'une douce drogue liquide, Seran vient inspirer l'écoulement. Quand la cavité n'est plus qu'humidité légère, Seran fait tout ce qui est en son pouvoir pour que la boisson refasse surface, que la fleur devienne fontaine de jouvence. Mais le tigre, qu'elle est devenue, caché en embuscade derrière les fougères se lève, se dresse, laissant cependant sa patte de chasseur dans la jungle où il est roi. Il se couche sur le corps de sa proie, capture ses lèvres chaudes entre les siennes jusqu'à emprisonner la langue de son heureuse victime. Il dévore son visage par des lapées avides, affamées. Il se love, épouse ses courbes, et finis par abandonner son trône pour mieux attraper la chair tendre de la nuque de ce divin festin.
Ses lèvres sur ta peau brûlante. Ses doigts envahissant ton intimité. Ton corps est réduit à boule de gémissement. Tu bouges ton bassin à l'unisson avec ses doigts qui te donnent tant de plaisirs et chassent les flashback du corps gras et flasque de ton père. Lorsque sa bouche abandonne ton entrejambe pour venir dévorer ton cou, tu empoignes Seran par les cheveux d'un geste à moitié brusque et met fin à tout mouvement. Tu te mets à geboux sur le lit et prend son visage entre tes mains, plongeant ton regard dans le sien. Je veux jouer." Tu lui dis d'un ton langoureux et presque enfantin. Tu sors du lit tel un félin et prend soin de rouler des hanches en te dirigeant vers la porte, à côté de laquelle se trouve l'interrupteur. Tu éteins la lumière, la pièce est plongée dans le noir complet. Tu te déplaces sans faire un bruit comme un fantôme. "Trouve moi avant que je ne te trouve." Tu rases les murs, te baladant dans la pénombre. Et enfin tu t'aventures au beau milieu de la pièce livrée à l'obscurité et au plaisir.
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