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feelings (nanako) ♡

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Ven 15 Juil - 16:59
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⚜⚜⚜ Les cris des enfants désormais lointains. Vacances méritées, fatigue contrôlée. Il peut enfin penser à lui, penser à sa vie : penser à elle. Enfin, il aimerait ne pas à avoir le faire. Ne plus devoir lui courir après. Mais c'est devenu une habitude, quelque chose de si quotidien, qu'il s'en fatigue seul. Elle ne le voit pas. Elle ne l'a jamais vu, comme il aimerait. Parfois il a même l'impression qu'elle se joue de lui ... Mais au final, comment lui en vouloir ? Incapable de porter préjudice à la belle, il soupire vulgairement, râlant comme toujours contre lui-même alors qu'il se trouve penché au dessus de son félin tigré. Posant délicatement sa gamelle au sol en parcourant son échine, le second fut réveillé, se levant de son canapé. Déjà prêt, l'enseignant regarda sa montre. Il devait partir s'il ne voulait pas être en retard. Il ne l'avait pas invité à manger, parce qu'il lui est impossible de rester devant elle pendant plus de deux heures sans la regarder d'une manière qu'il ne devrait sûrement pas. Alors ils en étaient restés à une après midi et peut-être soirée, tous les deux... - Tous les deux. Et son envie de mourir lui revient, alors qu'il attrape enfin son téléphone, ses papiers et ses clés. Un autre soupire et le voilà dehors.  Les beaux-jours se montrent enfin, bien qu'une légère brise se fond encore dans cet atmosphère un tantinet fraîche. Montant dans son véhicule, il envoya alors un dernier message à la nymphe, lui disant qu'il partait. Parce qu'il devait venir la chercher. Chez elle. Comme un putain de couple qu'ils n'étaient pas. (...) Le voilà donc en bas de sa rue. Pas stressé pour deux sous... enfin, intérieurement c'était un peu l'anarchie, comme à chaque fois qu'il l'a retrouvé.  Effort esthétique ? A fort, désespéré qu'elle ne le regarde pas, il s'en fichait. Alors il était naturel ... Ou du moins comme il était lorsqu'il sortait. (Mensonge) Le programme ? Ils iraient sûrement se balader dans leur coin favoris - fleuris. Mangeant tout et n'importe quoi. Lui la regardant. La dévorant à la place de ce qu'il  tiendrait entre ses doigts. Et puis, l'improvisation... Ce n'est pas plus mal. La voyant sortir, il lui adressa un simple sourire en tournant ensuite le visage... Moins il la regardait, mieux il se portait. Pour le moment, du moins. Le temps de s'y faire. A son parfum. A sa voix, son rire. Son touché. Bonjour Nanako.
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Ven 15 Juil - 22:37
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Ootd. Les cheveux ondulant à l'air frais du ventilateur à pied à côté d'elle, les mains humides manipulant les tiges avec adresse, Nanako garde un œil sur l'horloge. A ses premiers jours de fleuriste improvisée, elle passait son temps à se couper, se piquer, s'écorcher. Ses mains étaient un carnage, toujours pansées, mais elle lâchait pas le morceau. Elle était prête à tout pour reprendre la boutique. Les mois d'entraînement intensif quotidien l'ont rendue plus agile encore que ses parents, ont fait d'elle la digne héritière de leur talent. Elle pourrait assembler un bouquet les yeux fermés ou la tête ailleurs. C'est devenu aussi naturel que de respirer. Un message fait vibrer son portable sur le bois délavé du comptoir, Nanako n'a pas besoin de regarder pour savoir que c'est Ren. Elle se presse un peu plus, finit de mettre les dernières fleurs en pot. L'aiguille des minutes dépasse le chiffre six. 17h30 passées, Nanako retire son tablier, attrape son sac, retourne l'écriteau sur le côté "fermé", et comme toujours oublie de laver ses mains qui sentent éternellement les fleurs. Elle passe la porte d'un pas hâté, elle sait que Ren est dehors. Ça fait plus de dix ans qu'il réchauffe sa vie parfois trop difficile pour ses frêles épaules. Parce qu'avec lui, Nanako n'a pas besoin de faire semblant, de trop penser. Il ne l'a jamais mal jugée, jamais déçue, jamais blessée. Il a simplement toujours été là, à ses côtés, dans les meilleurs et les pires moments. Lui et ses bons mots, et son joli sourire, et son cœur doux. Nanako n'aime personne de la même façon qu'elle aime son Ren. Elle a besoin de lui, tout le temps. C'est le seul à savoir l'apaiser entièrement. Bonjour Nanako. Salut Ren. Son sourire s'étire de lui-même à la vue de son meilleur ami. Elle s'installe dans la voiture à côté de lui et dépose une bise sur sa joue lisse. T'as passé une bonne journée ? Toujours la même question, avec la même sincérité. Nanako espère que toutes les journées de Ren se passent bien. Le moteur vrombit doucement alors que la voiture commence à s'éloigner de la petite boutique. Tu m'emmènes où d'abord ?
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Sam 16 Juil - 17:11
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⚜⚜⚜ Salut Ren. La torture pouvait enfin commencer. Le son de sa voix arracha un léger rictus au plus âgé.  Mais... Un baiser sur la joue de monsieur... Une simple salutation, qui pourtant signifiait tant le perdit sans aucune retenue intérieure. T'as passé une bonne journée ? Une hésitation avant de répondre, alors qu'il reprenait la route.   Oui ça va. J'ai été convoqué pour l'année prochaine. Et toi alors ? Un professeur, avec une fleuriste. Un couple basique, à la vie heureuse. Voilà ce qu'ils pourraient être. Le "moi" intérieur de Ren pleurait déjà, en position latérale de sécurité au fond d'un lit... depuis dix ans, il n'avait pas bougé.  Tu m'emmènes où d'abord ? Un sourire, un feu rouge. Son visage tourné vers sa belle. Ah, je ne te dis pas. Mais avant on va manger un petit morceau. Tu sors du boulot, tu dois avoir faim. Parce qu'il connaissait par cœur son train de vie. Ainsi que ses goûts, ses envies du moment. Il lisait en elle... Non pas comme un livre ouvert, mais comme la chose la plus précieuse à ses yeux. (...) Se garant à l'ombre d'un arbre, sortant de son véhicule après avoir récupéré son téléphone et ses papiers, il attendit de l'autre côté de la voiture la demoiselle... Qu'il put enfin juger de haut en bas sans qu'elle ne le capte (comme toujours). Elle était toujours aussi rayonnante, belle. Gracieuse. Un autre soupire, toujours pour lui-même et discret. Lui offrant donc son bras, comme d'habitude (ce qui lui permettait aussi d'avoir une certaine proximité et donc, un certain contact avec elle), le maître d'école entama le pas à travers une grande allée. Belle. Fleurit mais pas trop. Somptueuse mais moderne. L'eau des fontaines bernées la fraîcheur, le soleil maîtrisé par les grands pins ornent les bords. Une balade jugée trop romantique mais qui pourtant, était là anodine. S'arrêtant chez un marchand ambulant - comme il y en avait partout, il offrit une glace à sa princesse, laissée non loin.   Tiens. Un sourire. Magnifique et sincère. Amoureux aussi. mais ça, elle ne le capte jamais non plus !


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Mar 19 Juil - 13:47
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Ootd. Si seulement elle savait, Nanako. Si elle pouvait ouvrir ses putain d'yeux. Oui ça va. J'ai été convoqué pour l'année prochaine. Les mains accrochées au volant, il a les yeux rivés sur la route qui commence à défiler un peu plus vite sous les roues, et Nanako a les yeux rivés sur lui. Elle acquiesce et l'écoute attentivement. Ils se sont vus hier pourtant, et le jour d'avant, et celui encore d'avant. Mais à chaque fois elle est réellement heureuse de le retrouver, comme si ils s'étaient quittés pendant longtemps. Et toi alors ? Et elle alors ? Encore une journée comme les autres, dans sa calme boutique. Rien de bien brillant. C'est pas la vie qu'elle a choisie, mais c'est celle qu'elle accepte d'avoir. Nanako a un pauvre sourire sur son visage, qui s'empresse de redevenir joyeux. Ça fait longtemps qu'elle a décidé de ne plus penser au passé ni au présent. Mais malgré elle, elle ne pense pas au futur non plus. Elle ne sait pas trop où elle va, en fait. Ça va aussi, ce matin j'ai eu un rush pour un mariage, mais cet après-midi c'était tranquille. Elle était bien contente de son travail d'ailleurs. Elle s'était levée deux heures plus tôt pour être sûre de finir à temps, et surtout que tout soit bien réalisé. Nanako donne tout ce qu'elle a, quand il s'agit de la réputation de ses fleurs. Elle soupire et se détend, se laisse glisser un peu plus bas sur le siège auto, en pensant qu'elle va bien profiter de cette fin de journée, avec la personne qu'elle préfère au monde. Pour aller où, d'ailleurs ? Ah, je ne te dis pas. Mais avant on va manger un petit morceau. Tu sors du boulot, tu dois avoir faim. Nanako agite la tête de haut en bas énergiquement en réponse. La dernière fois qu'elle a avalé quelque chose aujourd'hui, le soleil se levait à peine. La voiture ralentit sous le feuillage fourni d'un arbre, Nanako jette un regard aux alentours. C'est le genre d'endroit qui lui font du bien, et avec Ren c'est toujours mieux. Elle descend de la voiture, s'agrippe comme toujours au bras de son meilleur ami et se laisse entraîner. Entre ombre et soleil, au gré du vent. L'été va bien à Tokyo, elle pense. Dans ces moments, son cœur est en paix. Toujours grâce à Ren. Tiens. Nanako attrape le cornet de glace et sourit au marchand en remerciement, puis à Ren, évidemment. Il a commandé pour elle, elle ne sait pas comment il fait pour savoir à chaque fois ce qu'elle veut. Aujourd'hui la glace au thé vert lui faisait envie, la dernière fois c'était la vanille elle croit. Mais elle a pas eu besoin de le dire. Il a deviné. Comme toujours. Après tant d'années ensemble, il y a beaucoup de comme toujours. Parce que l'autre fait partie de soi, et on fait partie de l'autre. C'est comme ça avec Ren. Et que avec lui. Attends Ren, j'ai un caillou dans ma chaussure. Jetant la fin du cornet dans sa bouche, elle se rue sur un banc libre à cloche-pied pour s'en débarrasser. Ren et ses grandes jambes la rejoignent presque aussi vite. Nanako refait son lacet et profite d'un moment d'inattention pour s'allonger, la tête sur les cuisses de Ren. Tu veux bien que je me repose les yeux cinq minutes ? Bien installée, le vent qui file à ses oreilles, les muscles de Ren comme oreiller, elle se laisse rattraper par la nuit trop courte. Elle inspire le parfum réconfortant de son meilleur ami et attrape sa main, pour être sûr qu'il reste là. Comme si il allait partir. Si seulement elle savait...
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Mer 27 Juil - 12:55
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⚜⚜⚜ Ça va aussi, ce matin j'ai eu un rush pour un mariage, mais cet après-midi c'était tranquille. Mais combien de fois c'était-il dit qu'elle serait si belle dans une robe blanche ? Un bouquet qu'elle aurait sûrement préparé avec soin entre ses doigts fins ... Les rêves font vivres, tout comme l'espoir. Lui, cela fait bien longtemps qu'il n'espère plus grand chose. Aveugle comme elle est - ce n'était pas humain. Mais il gardait le sourire, à se dire qu'un jour il verrait en une autre femme ce qu'il voit en elle. Enfin, c'est pas gagné, mais au moins il garde la tête haute. (...)  Débutant sa marche, tranquillement sous la verdure chatoyante, il fut stoppé par la belle, se tournant légèrement afin de pouvoir la regarder à l'entente de son prénom. Attends Ren, j'ai un caillou dans ma chaussure. Un sourire habituel sur le bout des lèvres,  il la suit jusqu'au banc, attendant simplement, s'essayant. Un instant de repos accordé, un moment d’inattention : il sent alors une pression sur sa cuisse avant de voir la tête de la demoiselle joncher la partie concernée. Tu veux bien que je me repose les yeux cinq minutes ? Elle le torture, encore et encore. Encore et toujours - un peu plus chaque jours filants. Et elle, elle ne voit rien. Elle ne voit pas à quel point il souffre depuis tant d'années. Mais patient et digne comme un paon, il subit sans broncher ; se montrant présent lorsqu'elle le désirait.  Oui oui. Repose toi. L'instituteur n'était pas gêné. Il était juste désespéré. Nuance. Et se fut le comble lorsqu'elle lui prit la main. Pourquoi lui faire subir ce genre de chose ? Soupirant pour lui-même, discrètement, il tourna son visage de l'autre côté, se refusant à la regarder plus longtemps : son parfum et son touché l'achevé déjà bien assez. Alors le voilà, ce grand con trop amoureux, aux yeux des autres comme le petit ami parfait ; alors qu'il lui manquait juste le statut officiel et les sentiments de la fleuriste. Pourquoi donnaient-ils envie aux autres alors qu'ils n'étaient rien ? Pas d'eux, pas de nous. Alors oui  : le désespoir. (...) La notion du temps perdu, à travers la chevelure teinté de la plus jeune, étendue sur lui ; celle qui dégage une senteur inexplicable. Son visage aussi. Doux, reposé. Et pourtant cela fait longtemps qu'il l'a regarde dormir innocemment. Il ose  enfin jeter un coup d’œil à sa montre : cela fait une heure et demie qu'elle se repose... Et il commence à ne plus sentir sa jambe, non plus. L'air c'est rafraîchit. Le soleil à décliné son être pour laisser place à sa jumelle nocturne. Et lui, il est toujours aussi perdu. De sa main libre, il vient doucereusement caresser la joue de sa princesse.   Nanako.


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Mer 3 Aoû - 15:27
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Ootd. Oui oui. Elle sourit, et ses yeux s'affaiblissent. Repose toi. Nanako se laisse bercer par les échos de sa voix, douce et profonde. Comment faisait-il ? Depuis toujours, pour être le seul à la faire se sentir bien ? Merci... La fatigue a déjà pris le dessus et rend sa réponse presque inaudible. Elle ferme lourdement ses yeux, les ombres des branches et des feuilles dansent derrière ses paupières closes. Et elle sombre, dans les méandres nébuleuses du sommeil qui l'effraient, dans le vaste, infini inconnu des rêves, où l'on ne contrôle rien, où l'on ne peut rien prévoir. Où personne ne peut la sauver, même pas Ren. Même avec l'esprit en paix, Nanako retrouve souvent ses démons du passé une fois les yeux fermés. Elle a rarement le sommeil tranquille, elle se réveille au moindre bruit. Mais à ce moment, enveloppée de la présence de Ren, sa main toujours dans la sienne, la respiration calme, rien ne semble troubler ses songes. Un trop bref instant plus tard, Nanako sent une main se poser prudemment sur sa joue, caresser ses pommettes, la tirer d'un énième rêve dont elle a déjà tout oublié. Nanako. Elle cligne des yeux plusieurs fois, remarque qu'aucune lumière ne l'agresse, se redresse trop vite et se heurte trop fort au visage de Ren penché sur elle. Une exclamation de douleur et un ou deux gros mots s'échappent de sa bouche, Nanako porte une main à sa tête et frotte aussi fort qu'elle peut. Oh mon dieu, Ren ! Elle oublie le haut de son crâne qui brûle et se jette presque sur son meilleur ami pour vérifier qu'il n'a rien. Je suis désolée Ren ! Je t'ai pas fait mal ? Trop inquiète, elle pose ses mains partout sur le visage fin et superbe, à la recherche de la moindre égratignure, sans se soucier de lui faire mal à nouveau. Et elle la voit, la trace de sang sur son nez. Il lui en faut pas plus pour céder à la panique. Oh mon dieu ton nez ! Ren ! Nanako plonge sa main, son bras, tout au fond de son sac, attrape un mouchoir et le plaque sur le nez de Ren. Je suis tellement désolée Ren ! Ça te fait pas trop mal ? Comme si elle avait déjà vu Ren avoir mal avant. Elle soupire. C'est loin d'être la première fois que ça arrive, et sûrement pas la dernière. Une fois rassurée qu'il va bien, Nanako se calme et lève les yeux au ciel, qui s'est drôlement assombri depuis qu'ils sont partis de sa boutique. J'ai dormi longtemps ? Elle qui voulait seulement se reposer. Elle comprend que le soir commence déjà à tomber. Oh, désolée Ren, j'ai passé la fin d'après-midi à dormir, et en plus je t'ai presque cassé le nez... On peut pas faire pire, comme début pour un rendez-vous. Si seulement c'en était un.
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