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Tonight, i don't feel good FT Ishii Izô

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Lun 9 Mai - 21:53
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Tonight, I don't feel good
Ishii Izô & Miura Hikaru

Il est 3h30 du matin, je suis couché dans mon lit, toujours habillé, je rentre du travail. J'habite dans un appartement de Shibuya minable avec mon père, je l'entends ronfler dans le salon ... nous n'avons qu'une seule chambre et avec sa gentillesse de vieil homme ayant toujours fait passer sa famille avant le reste, il a insisté pour que ce soit moi qui ai la chambre.
Je n'ai pas refuser , De toute façon, lorsqu'il boit, il s'endort là où il est et comme il passe la majeure partie de son temps sur notre canapé, je pense que ça nous arrange tous les deux de le laisser là.
Mon lit est à côté de la fenêtre, elle est ouverte. Je sens une légère brise fraîche me caresser le visage. L'odeur de dehors me rend nostalgique. Le bruit des voitures est lointain, ma chambre donne sur une ruelle très peu fréquentée.
Je suis plongé dans mes pensées, mon regard est dirigé vers le plafond, l'obscurité m'empêche de vraiment fixer un point, je regarde dans le vide.
De temps à autres, je fais un examen de conscience.
Une fois de plus je rentre tard, une fois de plus je n'avais pas envie de rentrer, une fois de plus mon père est avachis sur le canapé, son verre encore à moitié pleins posé sur la table, il sent l'alcool.
Je me demande ou vas mener ma vie, je ne suis même pas sûr que cela m'intéresse vraiment, mais n'est-il pas naturelle pour un être humain de se poser ce genre de question ?
 
J'essaie de me convaincre de temps à autre que je suis quelqu'un de bien, que mes intentions ne sont pas que mauvaise ... mais que peut-on dire d'un homme qui se sert des femmes ? Que peut-on dire d'un homme qui soutien son géniteur alors que celui-ci est clairement pire que lui ? Car oui, je soutiens mon père, je ne vais pas non plus dire qu'il est un héros pour moi, mais je n'ai pas envie de le briser un peu plus, je le laisse vivre sa vie comme il le souhaite et lui me laisse vivre la mienne.
Que peut-on dire d'un homme sans ambition ? Un homme qui se contente de survivre ?
Je me sens un peu seul dans ce monde , mes amis se comptent sur les doigts d'une seule main.

Le froid provenant de la fenêtre me fais frissonner, j'aime cette sensation, je tourne légèrement la tête vers la fenêtre et plonge mon regard dans ce que je suppose être le ciel. Aujourd'hui, un épais tapis de nuage cache les étoiles et la lune, quel dommage..
Soudainement , je me redresse sur mon lit, je suis si bien là où je suis , mais en même temps si mal. Je me lève , et sur un coup de tête j'embarque ma veste et sors , j'avais envie de profiter de la nuit , à ma façon.
Je me dirige vers un combini , à Shibuya ce n'est pas cela qu'il manque et me prend une bouteille de sake. J'ai envie de boire, mais je n'ai pas envie d'aller dans un de ces bars ou les clients parlent fort et se plaignent de leurs si misérable vie constituée de boulot et de femme infidèles ou possessive auprès du barman.
Je me dirige donc vers un petit parc de quartier , à cet heure-ci il n'y a évidemment personne.
Je m'assoie sur un banc un peu à l'écart et ouvre ma bouteille. Je souris ironiquement, regardez-moi un peu, on dirait mon père.  A la seule différence de lui, c'est que donc mon cas, rien ne justifie le fait que je décide soudainement de me descendre une bouteille ... ma vie est-elle difficile ? Pas vraiment, elle est juste différente. Pas forcement agréable par moment, mais pas pire que celle de qui que ce soit. Je suis très calme, assis tout seul je ne sais même pas l'heure qu'il est ... 4h ? Peut-être 5 ? Peut m'importe.
L'obscurité est brisé par l'unique lampadaire en face de moi, il dégage une lumière orangeatre , le genre de couleur un peu sinistre lorsqu'elle n'est là que pour éclairer la nuit ... moi j'aime ça. Je continue de boire et sans vraiment m'en rendre compte , je finis la bouteille en l'espace de quelque vingtaine de minutes.
Je suis saoul , seul sur mon banc, victime d'un désespoir dont je n'ai jamais vraiment connu la cause . Lorsque j'entends quelqu'un me parler, je n'ai pas entendu ce qu'il vient de me dire, il a fallu du temps à mon esprit pour lier le fait que cette personne s'adresse à moi
« Quoi ? »
ma voix est si calme, si détachée.




acidbrain


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Lun 23 Mai - 22:52
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Tonight, I don't feel good
Ishii Izô & Miura Hikaru

Il est l'heure de fermer le bar, de mettre fin aux brèves de comptoirs. C'est le milieu de la nuit, malheureusement c'est pile le moment où on se parle vraiment, où on se parle vraiment sincèrement. Et pourtant c'est le moment où il faut rentrer plutôt que de se confier. Il faut éviter aux gens de penser. Il faut les faire culpabiliser, qu'elle personne sensée boit dans un bar en plein milieu de la semaine à une heure si tardive, qui. Qui d'autre que ceux qui pensent qu'il faut passer à autre chose. Ils ne faut pas qu'ils passent et pensent à autre chose, à autre chose que travailler. Culpabilité, Il y a des horaires à respecter. A contre cœur, je dis aux clients que je ne sers plus. Et la vie, quand est ce qu'on la respectera, c'est ce que je me demande à chaque fermeture. A la fin de leurs verres je ferme à clef. Ils sont encore deux. Deux qui partent se coucher parce que demain ils doivent se lever de bonne heure. Quand est ce qu'on respectera leur sommeil, je me le demande aussi quand certains me disent qu'ils ne veulent pas dormir pour que le réveil ne les réveillent pas. Deux, qui auraient aimé parler sincèrement maintenant que l'alcool dans leur sang leur donne du courage. Courage, c'est ce que je leur souhaite et bonne nuit aussi.

Quant à moi, je n'ai soudainement pas envie de dormir, ni même de rentrer. Le besoin de profiter de quelque chose dont nombreux sont privés. Ce quelque chose c'est juste de pouvoir marcher dans les rues désertes en pleine nuit sans penser au lendemain. Sans se dire qu'on est déjà demain. Déambuler, profiter de chaque pas, dans ma bulle. Il fait plutôt frais mais j'en ai rien à faire. Je ne suis pas de ceux qui se plaignent du temps. Qu'il vente, qu'il pleuve ou qu'il neige, rien ne devrait nous empêcher de vivre. Vivre. J'aperçois un parc pas loin, je m'y rend et m'assoie sur un banc. Je lève la tête pour contempler la lune. Je pense à certaines personnes, à celles que j'aimerai voir avec moi ici. A celles qui me manquent, à celles que je dois revoir. Au revoir au parc. Je me relève après m'être allumé un joint. La nuit, la brise sur le visage et marie-jeanne aux lèvres, rien de mieux pour profiter de la solitude. Je décide de traverser le parc. Sombre parc. La substance illicite circule dans mon corps en libre service. Je suis bien, je me sens bien, je continue à marcher.

Je vois quelqu'un sur un banc, c'est rare à cette heure ici, je m'approche pour aller lui parler. Peu importe si je le connais ou pas, je ne m'arrête pas à ça. Je le connais. Je le connais bien, Hikaru. Hikaru dans un sale état, je lui parle il me répond un quoi, comme s'il était dans une bulle aussi. Une bulle d'alcool. Combien de temps vais-je continuer à voir toutes les personnes qui ont une place particulière dans mon cœur céder aux boissons alcoolisées ? Je glisse mon cône de marijuana, ou ce qu'il en reste, entre mes doigts. Je m'installe à côté, le vent souffle, je souffle, de la fumée s'envole de ma bouche. Comme toujours dans ces cas là, je ne demande pas si ça va, je ne demande pas ce qu'il se passe. Je suis présent, simplement. Simplement je dis « C'est une belle nuit pour boire. » J'esquisse un petit et rapide sourire. « Pas pour boire seul, t'aurais dû m'appeler. » Pas de reproches, rien de tout cela, tout ça pour dire que j'aurai pu être présent avant, mais bon, je le suis maintenant.  

acidbrain


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Jeu 26 Mai - 22:53
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Tonight, I don't feel good
Ishii Izô & Miura Hikaru

Je tente de boire encore une gorgée , mais rien ne viens, ma bouteille est vide. Je fais une petite moue et pose le récipient vide a terre , à mes pieds. Je la reprendrais après afin de la jetter... ou alors, n'y a-t-il pas des gens payés pour ça ? Je suis avachis sur le banc ... à quoi bon bien se tenir ?
Je me rends compte de qui est la personne qui s'adressait à moi lorsque celle –ci me répond en s'asseyant à côté de moi. Les yeux à moitié ouvert et un fin sourire ironique je le regarde ... Izô , ça me fait toujours plaisirs de le voir. Il est mon plus vieil ami et sans doute celui que je préfère. Avec lui , parler reste naturel, comme si je ne devais plus faire semblant. Je sens l'odeur de son joint ... je ne sais toujours pas ce qui me retiens encore de goutter au soit disant délice de cette plante qui semble soulager les esprits. Le mien a-t-il besoin de soulagement ? Je suppose que oui , sinon je ne serais pas assis ici avec plus d'alcool par litre de sang que dans le corps d'un SDF russe. Je réfléchis beaucoup trop je trouve ... mais je ne peux rien y faire.
Une belle nuit pour boire ? Tu l'as dit l'ami ! Mais ce ne serait que moi , toutes les nuits seraient bonnes pour boire. La raison qui me pousse à ne pas succomber chaque nuit est certainement cette envie de ne pas finir comme mon père. Boire avec lui , j'avoue que je n'y avais pas pensé sur le coup , voulant avant tout profiter de la solitude que je pouvais trouver à cet heure-ci , à cet endroit.
Mon esprit est embrumer par un voile fictif qui m'empêche de vraiment y voir claire. L'alcool fait cela aux être humains. Et c'est sans doute ce qui nous pousse à consommer alors que la grimace sur notre visage nous montre que cela n'est pas bon du tout lorsque l'on affonne un verre.
Je me redresse maladroitement et m'étire avant de me réinstaller. Je fixe le sole , le regard un peu dans le vague.  
« J'avais envie d'être seul »
je dis ça calmement , sans aucun reproche en ce qui concerne sa présence actuelle. Ce que je préfère avec Izô ... c'est qu'il ne va pas chercher a savoirs plus que ce que je ne lui en dis. Comme si nous savions aussi bien l'un que l'autre que lorsque les mots ne veulent pas sortir naturellement ... c'est qu'ils n'ont pas besoin d'être sortis.
« Tu sors du boulot ? » je ne sais même pas pourquoi je pose la question , alors qu'au final je connais la réponse. Lui et moi avons tous les deux une vie plus active de nuit ... il bosse dans un bar et moi dans un club . deux endroits essentiellement fréquenter lorsque le soleil dort et que la lune se réveille.
«  des anecdotes à raconter ? »
ma voix est un peu lasse , elle reflète bien mon taux d'alcoolémie . Des anecdotes , lorsque tu boss dans un milieu ou la plupart des gens que tu croises sont en manque d'attention et prêt à te raconter n'importe quoi pour que tu t'intéresses un minimum à leur vie nul ... il y en à souvent pas mal des anecdotes. Et même si t'en a rien à faire de leur vie ... tu écoutes quand même, parce que ça fait partie de ton travail.
Je lui demanderais bien s'il veut bouger ... mais pour aller ou ? Car si nous sommes là tous les 2 ... c'est forcement qu'aucun de nous n'as envie de rentrer.  


acidbrain


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Sam 16 Juil - 20:11
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Tonight, I don't feel good
Ishii Izô & Miura Hikaru

 La nuit, ne pas dormir pour continuer à vivre. La nuit pour apprendre à vivre, la nuit pour se laisser vivre. Se laisser aller, à nos rêves, à nos déceptions, à nos dépressions. Surtout à elles, comme si le jour il fallait sauver les apparences, ne rien laisser apparaître. Attendre la disparition du jour, l'apparition du soir, du noir. Le noir, moi je le trouve beau. Le soir, pourquoi devrait-il être toujours plus triste que beau ? J'ai les yeux qui se perdent dans le vide de la bouteille. La bouteille qui ravage mon vieil ami, qui ravage ce qui lui reste de famille. « On a jamais envie d'être seul. » C'est une certitude, une affirmation. Une vérité qui me fera rester jusqu'à ce que ma présence ne soit plus une nécessité auprès de lui. Je comprend ce qu'il veut dire par envie d'être seul, je comprend la solitude. Je comprend que certains se complaisent en elle mais ce n'est qu'une illusion. Croire à l'illusion qu'on est mieux seul, parce qu'on l'est bien trop souvent et qu'il faut se faire une raison. Une raison pour pouvoir la supporter, la raison, se dire que la solitude on la choisie.

Changement de sujet. « Ouais, à l'instant. » Si ça ne tenait qu'à moi j'y serai encore. Encore là bas à servir des verres à tous ceux qui ne pensent plus qu'ils veulent être seuls. Les clients, ceux qui sont isolés du reste de la société alors qu'ils n'ont rien demandé. Ou du moins pour la plupart d'entre eux. « Une anecdote ? » Question rhétorique, je réfléchi juste. Je continue à fumer tout en me perdant dans mes pensées. Les clients qui ont défilé toute la soirée au bar défilent maintenant avec leurs histoires dans mon esprit. Et puis c'est le bouton pause, pause sur un visage. Une jeune femme au sourire joyeux et au regard triste. Une histoire banale parmi tant d'autres. « Ce soir il y a une fille seule qui s'est posée au comptoir. Elle ne parlait pas, observait les gens mais je voyais bien qu'elle voulait que quelqu'un vienne lui parler. Alors tu vois c'est ce que j'ai fais. Elle m'a dit qu'elle était déjà venue une ou deux fois avec deux potes qui se sont éloignés du quartier. Elle voulait revenir mais personne avec qui venir et puis ce soir elle a craqué. La boule au ventre elle est rentrée et à commandé. On a échangé quelques mots, elle a terminé sa bière et elle est partie. Un simple sourire comme au revoir. » Une latte de plus contamine mes poumons. « Je me demande si elle trouvera la force de revenir, peut être qu'à force d'essayer quelqu'un viendra lui parler ? » Question qui sonne dans le vide, il n'y a qu'elle qui aura la réponse. Peut être, un jour. Peut être un jour.

C'est toujours dur de voir les autres s'éloigner. De devoir tout reconstruire avec d'autres. Je suis bien content de voir que la personne qui connait le mieux mon histoire, qui sait par quoi je suis passé est encore là. Là assis sur un banc à côté de moi. Je ne suis pas très expressif, bonheur intériorisé. Je ne sais pas extérioriser et pourtant nous en sommes là. Des années après, déjà. « Tu te souviens quand on restait au bar après la fermeture ? Viens je t'offre une autre bouteille. » Est ce une bonne chose de l'inciter à boire vu son état ? Ne devrais-je plutôt pas lui dire qu'il est temps de le raccompagner ? Non et non. Je ne suis pas de ceux qui cherchent à savoir, c'est dit et redis mais je ne suis pas non plus de ceux qui font la morale. Si ce soir il a voulu boire alors je l'accompagnerait et je l'arrêterai s'il va trop loin.

acidbrain


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Dim 31 Juil - 19:42
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Tonight, I don't feel good
Ishii Izô & Miura Hikaru

Jamais envie d'être seul ? Il a peut-être raison ... mais je n'ai pas toujours envie d'être avec certaine personne. Et ce soir, j'étais seul avec l'odeur de mon paternel enivré. Je préférais largement être seul ici avec ma propre odeur d'homme bourré qu'avec la sienne. Et puis , je profite bien mieux de l'air frai dans ce petit parc isolé que dans ma chambre obscure.
Sa présence à lui ne me dérange pas , avec lui , je peux être seul a 2. Je ne ressens aucun dérangement en ce qui concerne le fait qu'il soit prés de moi... au contraire. Sa présence me semble agréable , la présence d'un pote.
J'écoute sons histoire avec attention... quand je pense que je passe ma vie entouré de femmes , à jouer les séducteurs ,à sourire , à ne pas être seule mais beaucoup trop entouré. Lorsque j'entends une de ses femmes glousser mon nom, me répétant sans cesse qu'elles ont passé une bonne soirée grâce à moi, que je suis un gars bien et que me parler est agréable. Quelle hypocrite je fais , alors que leurs paroles glissent sur moi sans que je ne prenne la peine de les gober , alors que chaque compliment qu'elles me font ne semble pas réelle dans mon esprit , je continue de jouer , de faire semblant , de les convaincre que mon attitude n'est due qu'au fait que je les trouve intéressante ... comme je mens bien ! Cette femme, je n'aurais certainement jamais été vers elle ... pas parce que je juge , enfin peut être que j'ai tendance à juger les femmes un peu facilement ... mais surtout parce que je ne suis pas le genre de type à aller aborder des femmes dans des bars ... j'en vois trop des femmes.
« Elle reviendra sûrement , les femmes sont souvent persistantes »  
Et voilà , encore des amalgames ... j'ai toujours fait ça , persuadée qu'elles sont toutes les mêmes. Au final , j'y connais quoi ? Pas grand chose ... mais je n'ai pas envie d'en savoirs plus , pas envie de me jeter. Les filles du clubs me suffisent , ainsi que la barrière mentale que je mets entre elles et moi.

Est-ce que je me souviens de ces instants avec lui ? Évidemment ! Comment les oublier ! Moment d'intime complicité , lui et moi contre le monde entier. deux âmes , pas identiques , mais si ressemblante voguant dans les méandres d'une réalitée surréaliste. Notre monde à nous ... un monde éloigné de celui-ci et pourtant plongé dedans.
Il me propose de boire alors que je suis déjà bien éméché , serais-ce une bonne idée ? Boire jusqu'à outrance ? Je lui souris , il me met de bonne humeur, je me lève soudainement , j'ai toujours bien tenu l'alcool
« Aller , c'est moi qui offre »
Pupille complètement fermée , lueur d'ivresse dans le regard , je ne vais pas boire pour me morfondre cette fois , je vais boire avec mon ami, car il est mon ami le plus proche.
La plupart des gens auraient essayés de me convaincre de rentrer ... pas lui , lui il me propose de boire encore. Et juste pour ça , j'ai envie de rester raisonnable. Mais un petit verre de plus n'as jamais tué personne.  
Au final , tout seul dans mon lit , c'est peut-être tout ce dons j'avais besoin ? Un ami, quelqu'un avec qui passé la nuit ? Alors que le soleil se lève dans quelques heures et que nous pourrons aller nous coucher en même temps que la Lune, j'attends qu'il se lève pour marcher lentement vers la ville qui ne dort jamais.
« c'est cool que tu sois tombé sur moi , tu rentrais chez toi ? »
question fade , simple , juste de quoi discuté.  

acidbrain


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