Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

 :: anciens rp Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas

run, run, bunny run (yuuri)

«Invité»
Invité
Anonymous
Jeu 16 Juin - 0:33
Invité
run bunny run

« Je vais finir par regretter ça... » C'est drôle que tu te dises ça, quand même, toi la tête brûlée qui ne fait que des décisions qui vaudraient mieux ne pas être prises. Toujours la première à te jeter dans la gueule du loup, tu ne te fais même pas chier à peser le pour et le contre et te demander si ça en vaut la peine. Pour toi, c'est une évidence : il le faut, le monde a besoin de toi.
Le plus drôle dans tout ça, c'est que la décision que tu regrettes n'est pas celle de t'être mêlée des affaires d'un gang dangereux. Tu n'as aucun remords quant à ton apparition soudaine dans leur domaine, sapée comme une princesse prête à niquer des mères. Tu ne regrettes pas non plus le cassage de gueule intensif que tu t'es reçu, ni la course-poursuite qui a suivi quand t'as décidé de te barrer parce qu'on a besoin de ton héroïsme ailleurs (c'est ce que tu te dis pour ne pas admettre ta défaite, en vrai t'as surtout pas envie de mourir.)
Ce que tu regrettes vraiment, c'est de ne pas avoir pensé à te réfugier ailleurs que chez lui. Dans le feu de l'action, t'y as pas pensé, ça t'est paru comme une évidence vu qu'il vit dans le coin. Mais maintenant que t'es devant la porte de son appartement, tu l'entends déjà te faire la morale ou se foutre de ta gueule pour la raclée que tu t'es prise - ou les deux en même temps, il en serait bien capable - et t'as plus qu'une envie, celle de dégager.
Mais tu peux pas prendre ce risque, si ça se trouve les loubards t'attendent toujours en bas de l'immeuble alors t'as pas le choix. Soupirant profondément, t'essuies ta bouche sanglante du revers de ta main avant de frapper à la porte, espérant malgré tout qu'il soit là parce que t'es quand même bien dans la merde.
«Invité»
Invité
Anonymous
Ven 17 Juin - 1:21
Invité
equivalent exchange ft. mami

La porte s’ouvre et j’ai l’impression d’avoir trainé une météorite sur quarante-cinq kilomètres sur mes épaules alors que je mets un premier pas dans mon appartement. Une odeur familière presque empoisonnante de lavande fumée m’accueille et j’en relâche une grande inspiration. Il me faut peu de temps pour m’accommoder à l’obscurité de l’antre ; la luminosité de la demi-lune de ce soir suffit à ma survie. Je profite de l’ambiance discrète pour filer hors de mes vêtements qui avaient un peu pris la couleur de la poussière de la librairie et un peu l’odeur de la friture du soir des ruelles.

Contemplé dans le miroir, mon visage a pris la fatigue et mon insomnie y trace des ombres ; la fin de semaine se voit sur le blanc de mes yeux, entre mes sourcils pressés. Une douche plus tard et la tignasse encore mouillée collée à ma nuque, j’enfile le bas de mon pyjama, et rien de plus. J’évacue l’odeur passée de la lavande sur le rebord de la fenêtre conte l’air frais nocturne – l’échange équivalent qu’on dit. Un petit post-rock instrumental trop bas pour être entendu de la salle de bain mais assez haut pour me bercer, même debout, rien de plus.

Et je suis là, debout, sec, comme un lampadaire au mauvais endroit. Avant même d’avoir le temps de me poser des questions sur la situation actuelle ou de compter le nombre d’heure que j’espérai acquérir en sommeil ce soir, mon oreille se tend au cognement sur la porte et je ne connais personne qui viens toquer ici un peu avant que vingt-trois heures ne sonne.

Mais elle est là, dressée comme sortie d’un Disney post-apocalyptique et j’en réserverai la salle entière pour sa sortie au cinéma. J’ai du mal à voir son faciès avec l’absence de lumière. J’ai du mal à poser mon regard sur le sien mais j’arrive à tracer la vulgarité de ses traits, pour pas changer, et la rougeur à la commissure de ses lèvres. Mami,  ça remonte à y’a quelques années, à la rue à ses histoires de sang et de poings dont la provenance m’échappe encore et toujours. Mami, c’est beaucoup de choses mais ça se résume à l’horreur qui m’accapare et la peine qui me surprend chaque fois qu’elle débarque ici, amochée et détestable, toujours de ses robes les plus roses de son maquillage le plus livide et j’ai finis par trop bien reconnaître la différence entre rouge à lèvre et tâche de sang.

« Bonsoir, je peux vous aider ? » Je m’accoude sur l’encadrement de la porte. « C’est payant les visites ici. » Et je suis certain que si je la faisais payer pour le nombre de fois où elle frappe à cette porte, j’aurais assez pour lui payer une niche en or massif sur le palier.
«Invité»
Invité
Anonymous
Ven 17 Juin - 3:14
Invité
run bunny run

Plus t'attends sur le seuil, plus t'as envie de te barrer. Maintenant que t'es au calme, relativement à l'abri des enflurés qui te pourchassaient, t'as le temps de réfléchir à ce que t'es en train de faire et tu te dis que te prendre une leçon de vie ou des moqueries à cette heure de la nuit après avoir du traverser tout le quartier à la course, ça te fait pas vraiment envie. Mais c'est pas comme si tu pouvais te permettre d'aller voir ailleurs, tu n'as pas non plus envie de te refaire casser la gueule dès que tu mettras un pied dehors et de toute façon, t'as la flemme. Tu penses avoir assez couru pour la journée.

Tes coups se font donc de plus en plus forts, essayant à tout prix de faire suffisamment de bruit pour attirer son attention. Si ça se trouve il est en train de dormir, ça t'étonnerait pas vu son allure de vieux – il a déjà les cheveux blancs et la manie d'engueuler tout ce qui bouge, peut-être qu'il a l'habitude de se coucher à 20h aussi. Cela dit ça t'est égal et tu continues de frapper comme une forcenée, jusqu'à ce que la porte s'ouvre enfin et que tu te retrouves face à Yuuri et son regard condescendant dont il te toise presque toujours. À peine cinq secondes que tu le vois et t'es déjà en train de rouler des yeux, ton visage bleui par les coups se tordant en une grimace moqueuse en réaction à sa grande gueule. « Gnagnagna. Si j'avais du fric j'en dépenserais sûrement pas sur toi, allez bouge. » Tu n'attends pas sa réponse pour le bousculer et te faufiler à l'intérieur, abandonnant tes chaussures pastel à l'entrée comme si c'était chez toi.

Tu te diriges aussitôt vers la cuisine, fouillant le frigo à la recherche de quelque chose de froid pour soulager ta mâchoire douloureuse. « Ugh, t'as pas des glaçons ou un truc du genre ? » demandes-tu en te massant exagérément la mâchoire histoire de ne pas avoir à admettre que tu as mal. « Ce serait sympa que tu me donnes un truc à porter histoire que je foute ma robe à la machine à laver. J'ai pas envie de l'abîmer, j'ai quand même du faire le trottoir pendant toute une semaine pour pouvoir me la payer. Même si je sais que tu préférerais que je reste en sous-vêtements, j'me trompe ? »
«Invité»
Invité
Anonymous
Ven 17 Juin - 4:23
Invité
equivalent exchange ft. mami

C’est à peu près toujours le même schéma à partir du moment où je me fais bousculer de la porte et Mami rentre inopinément dans l’appartement sans prêter garde à ce qu’on appelle l’intimité. Je pourrais être en pleine expression sexuelle avec on sait pas trop qui qu’elle ne se serait jamais gênée pour faire son chemin vers le frigo et pourquoi pas prendre place en tant que spectatrice. Je referme la porte derrière moi et esquive un frisson nocturne. Je regarde Mami se mettre à son aise trop rapidement et c’est comme si je me retrouvais invité à sa place.

Le schéma suit toujours et je la rejoins au frigo pour l’éviter de chercher trop longtemps et y foutre un bordel monstre. A défaut d’avoir retrouvé mes sacs de glaces qu’elle a dut me voler il y a quelques jours – elle avait gueulé parce qu’il n’y en avait qu’un, alors j’ai dû assouvir les désirs de Princesse Salope et m’en fournir un deuxième juste pour qu’il disparaisse après sa visite. Il m’en faudrait cinq pour la plaie qu’elle est, honnêtement – je sors deux Magnum chocolat blanc du compartiment négatif et tourne les talons d’un quart face à elle et son faciès enflé et peu glamour. S’en est devenu trop habituel pour que je continue d’exprimer ouvertement mon inquiétude sur ses blessures et même si je suis toujours inquiet, l’insouciance règne sur mon visage fatigué.

« Y’a que ça, ose pas te plaindre. » J’écrase alors brusquement l’entièreté de son visage entre les deux glaces et je lance une petite prière intérieure pour ces deux sacrifices. Je la laisse se soulager le visage et je me serai volontiers branler sur ce qu’elle me dit mais en connaissance de cause, j’essaye de ne pas reproduire cette erreur. Je m’en vais lui chercher un vêtement et reviens avec le plus aléatoire des t-shirt qui ai pu me tomber sous la main et lui dépose sur le crane avant d’aller m’étaler sur le sofa. « Oui tu te trompes ! Les sous-vêtements ne sont qu’artifices, apprenons à vivre sans ! Ou tu pourrais tout aussi bien être en combi de ski que j’en aurais rien à taper. » J’essaye de rapidement revenir sur mes mots parce que c’est surement le genre de propos que Mami prendrait à la lettre et je préférai éviter quelconque incident dans l’enceinte de cet appartement…

Un soupir m’échappe et j’envoie une pensée nostalgique à mon lit que je pensais retrouver il y a un moment. Il m’échappera surement ce soir. « Comment t’as finit ici sinon ? Tu te faisais encore poursuivre par des clients qui ont choppé des herpès ? » Un ricanement m’échappe et je compte mes respirations avant de me faire casser la nuque en cinq. Je crains quelque peu Mami, et c’est exactement ce qui me rend plus à l’aise avec elle.
«Invité»
Invité
Anonymous
Lun 27 Juin - 8:00
Invité
run bunny run

Tu viens à peine de franchir le seuil de son appart que tu tires déjà la gueule. En même temps c'est normal, lui non plus n'attend pas que tu te remettes de tes émotions pour commencer à se foutre de ta gueule. Au point où t'en es, tu ne te plains même pas tellement t'es habituée. Tu te contentes de lui répondre avec une grimace en balançant tes chaussures avant de te diriger vers sa cuisine à la recherche de glaçons, pressée de soulager tes blessures qui te font de plus en plus mal même si tu dissimules ta douleur plutôt bien. C'est peut-être pour ça que Yuuri te fait autant chier, il serait peut-être moins agaçant s'il voyait que tu avais mal – quoi que non, t'es certaine que même si t'étais éventrée, il se plaindrait juste d'avoir tes entrailles sur son tapis ou un truc du genre.

Tu grognes comme un chien pressé de se défaire de l'emprise de son maître lorsqu'il te sandwiche brutalement le visage entre deux Magnum, cela dit tu ne te plains pas cette fois car leur froideur fait un bien immense à ta tronche meurtrie. Ce n'est pas la seule chose qui te soulage ; dès qu'il quitte la pièce en se parlant à voix haute, tu roules des yeux et soupires profondément, profitant du silence avant qu'il ne revienne le perturber avec son sens de la répartie à la con. « Ferme ta gueule sale con ! » Le tien n'est évidemment pas meilleur, mais le violent coup de pied que tu lui fous au tibia suffit à compenser. Tes joues à présent moins douloureuses, tu jettes les glaces sur le comptoir le plus proche et te sers te mains à présent libres pour retirer ta robe sans plus attendre, te retrouvant rapidement en sous-vêtements dans sa cuisine ; pas le temps de niaiser, tu as trop hâte de te glisser dans quelque chose de plus confortable pour perdre ton temps à te changer loin des regards. Et tu ne vas pas mentir, le t-shirt trop large que tu viens d'enfiler est tellement plus douillet. (Surtout qu'il sent super bon.)

« J'étais en train de faire le bien dans le monde en le débarrassant de déchets humains, » réponds-tu fièrement en le rejoignant au salon, posant ta robe soigneusement pliée sur le premier meuble que tu trouves sur ton chemin, « mais je crois que j'aurais du commencer par toi. » Tu te laisses tomber de tout ton poids sur le sofa, écrasant au passage les jambes de Yuuri, décidée à envahir son espace qu'il le veuille ou non – chose que tu fais tout le temps, faut croire que si ta vie était un jeu vidéo il s'intitulerait sans doute Mami Passion Parasite. « Pousse-toi, je suis mal assise là. » Ton cul de princesse se fait enfin une place et tu t'installes confortablement, tes jambes étalées sur les siennes. « Y a quelque chose à manger, j'espère ? Ou alors tu vas commander un truc ? Je suis crevée après tout ça, j'ai besoin de protéines et tout pour m'en remettre, comme toute championne qui se respecte. » Tu te prépares parce qu'il t'arrive souvent d'avoir faim pendant la nuit, et tu ne comptes pas rentrer chez toi alors elle risque d'être très longue.
«Invité»
Invité
Anonymous
Mer 29 Juin - 5:31
Invité
equivalent exchange ft. mami

L’appartement ne s’est jamais habitué aux changements brusques de volume sonore résonnant entre ses quatre murs dès que la présence de Mami est annoncée. L’atmosphère change du tout au tout et ma tension a tendance à chuter aussi tôt la première injure. Ça arrive bien vite et ça me fait lâcher un sourire puis un soupir de peine. Connasse. Malgré ça, sa présence et ses robes trop roses me permettent de décompresser et d’oublier que le monde tourne trop vite et à contre sens.

Je rejoins scrupuleusement ce groupe d’individus qui fantasment sur les femmes vêtus ne serait-ce que d’un t-shirt trop large, les genoux rosés au grand jour et les coups de vents trop frais sur leurs cuisses. Je n’y avais jamais réfléchit, mais maintenant sous mes yeux, j’assume ce penchant digne de film semi-romantique. Je me fais petit sur le sofa alors que Mami vient s’y installer tel le dernier des clubs Med. Ca m’arrive d’avoir de l’autorité, surtout entre mes murs, mais ça en devient difficile quand mon interlocutoire est prête à me griffer les veines et ronger mes os pour me faire taire. Merci mais je vis sans prise de risque.

Alors j’accueille ses jambes sur les miennes et y reposent mes bras après avoir attrapé la télécommande et allumé la télé sur la plus aléatoire des chaines qui puisse être. « Tu peux te faire des œufs ou manger tes tiffes avec un coulis de ta connerie, si ça te parle plus. » Mais au final c’est toujours plus divertissant de la faire chier alors j’ai du mal à la fermer. « Ok PAS TAPÉ MAMI. On commande. T’appelle, je paye. » Et si j’avais une horreur, c’était celle d’appeler n’importe quel restaurant pour commander un repas. Nul n’a besoin de connaître ce que je vais ingurgiter et dégurgiter qui finira dans les égouts de Tokyo. Alors généralement je prends la peine de me faire chier jusqu’à aller sur place et le ramener ici, mais avec deux guibolles de catin sur les genoux, j’ai du mal à m’imaginer bouger.

Je compose alors le numéro soi-disant mémoriser d’un quelconque restaurant alors qu’un épisode de Pokémon tourne en fond et je viens de prêter attention que Mami me voit encore une fois dans le plus sexy de mes attirail tiré de la même série. « Tient, c’est  un restaurant chinois, prend ce que bon te semble mais j’ai pas des milles et des cents à dépenser dans de la bouffe. Ta bouffe. » Je jette un dernier coup d’œil à l’écran du téléphone et le numéro en attente d’être décroché. Un numéro composé au hasard, finalement. J’ai jamais eu possession de n’importe quell type de prospectus de restaurant, comment je pourrais en connaître le numéro par cœur ? Mami n’a pas besoin de le savoir, et une expression neutre sur mon visage ne trahit pas mon jeu.
«Invité»
Invité
Anonymous
Jeu 7 Juil - 0:16
Invité
run bunny run

Se trouver dans la même pièce que Yuuri n’est pas forcément la plus agréable des situations, mais c’est déjà beaucoup mieux que se faire pourchasser par des brigands qui n’hésiteront pas à te déchiqueter s’ils parviennent à te mettre la main dessus. Alors tu te mets à l’aise, tu fais comme si t’étais chez toi – chose que tu fais en toute circonstance, à vrai dire -  et tu retrouves rapidement à squatter le canapé de Yuuri, tes jambes confortablement étalées sur les siennes. T’attends pas non plus de te faire prier pour lui réclamer à manger, affirmant que t’as besoin de récupérer des forces pour mieux sauver le monde et que l’avenir de la planète repose donc sur les talents culinaires de Yuuri. Cela dit il te propose de commander et même si t’es déçue de ne pas pouvoir le voir en soubrette s’affairer dans la cuisine comme une femme au foyer pour ta personne, tu acceptes son offre parce que t’as faim et que tu kiffes le chinois, de toute façon. (et parce que c’est rare de voir Yuuri être gentil, aussi)

Tu le laisses donc composer le numéro et saisis le combiné de tes deux mains comme une enfant comblée, attendant avec impatience qu’on te réponde à l’autre bout du fil. Quelqu’un décroche et c’est tout ce qu’il te faut pour te lancer dans ta commande qui témoigne de ta faim colossale. « Oui bonsoir ! Alors euh, je vais prendre quatre rouleaux de printemps, un poulet Général Tao et euh… des crevettes à la pékinoise ! Non non, pas des crevettes à la pékinoise, du riz frit au porc plutôt. Et est-ce que vous avez du Wonton ? J’ai trop envie de Wonton. » Tu éloignes le combiné le temps de demander à Yuuri ce qu’il veut – parce que t’es peut-être une sauvage, mais pas une sauvage sans manières – et t’es presque aussitôt agressée par la voix qui réagit enfin au téléphone. Tu n’arrives pas vraiment à déchiffrer ses cris inintelligibles, tu comprends juste « putain de blague », « pas chinois » et « va te faire foutre sale conne ».

Ces mots suffisent à t’envoyer dans un état de choc et de déception ultime. T’es même pas vexée par les insultes, non, t’as l’habitude d’entendre bien pire que ça. C’est surtout le fait que Yuuri se soit encore joué de toi alors que tu croyais que tu pouvais lui faire confiance, pour une fois, et tu le fixes d’un regard meurtri par la trahison. « Très bien, je vois. » Sans plus attendre tu quittes le canapé d’un saut et pars chercher tes affaires avec fureur. « Je croyais que pour une fois je pouvais compter sur toi mais non, faut croire que tu dois absolument te foutre de ma gueule chaque fois que tu me vois, hein ? Alors puisque c’est comme ça, j’me casse. » Tes cris se faisant entendre depuis là où tu es, tu enfiles maladroitement tes chaussures, ta jolie robe à présent pendue à ton bras. Tu ne comptes même pas te changer, trop vexée et en colère pour y penser, ta main déjà posée sur le poignet de la porte. « Je rentre chez moi, et si les autres enculés m’attendent toujours en bas bah... tant pis, j’vais me faire casser la gueule. J’y laisserai peut-être ma peau. J’allais dire “et t’auras ma mort sur la conscience” mais je suppose que t’en as rien à branler, hm ? Allez, salut ! »
«Contenu sponsorisé»
Contenu sponsorisé
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
EMOJIS & CIE  :: anciens rp-
Sauter vers: