Le mépris est une chose que tu ne cautionne pas. Alors tu toises du regard les hommes que tu croises. Tu les supporte pas, et tu n'as qu'une envie : leur faire ravaler leurs rictus. Mais t'es pas là pour ça. Parce que t'es entouré de trois amis qui te traîne presque par les épaules. Mais toi, toi tu ne rêves que d'une chose : rentrer chez toi, passer ta nuit à attendre un message de celui à qui tu penses et ne pas bouger. Mais ils n'ont pas prévu ça, eux, à rire déjà sous les effets nocifs de l'alcool. Boisson dont tu t'es à peine délecté. Tu n'étais pas d'humeur. Et ça t'arrive, de temps en temps. Personne le comprend. Parce qu'on t'as toujours vu comme le petit ange qui dit jamais non, qui rend service à qui veut l'entendre et le mec trop gentil qui sourit même quand il a mal. T'as pas envie de faire n'importe quoi de ta soirée, de finir mal, la tête dans la cuvette de toilettes inconnues et dégueulasse. Mais c'est ça, de ne pas tenir l'alcool. Alors t'as pris qu'un verre, histoire de fêter l'coup - mais de fêter quoi d'ailleurs ? T'en savais rien. Et t'as pas envie non plus d'te poser la question une seconde de plus. Car de toute manière ... T'es pensées sont déjà ailleurs. Sur ce bâtiment là, en face de toi. Tu sais, que c'est là-dedans qu'ils te traînent. Mais il le savent, que t'aime pas ça. Que t'aime les femmes, mais pas celles-là. Et puis au fond, tu peux pas leur en vouloir. Ils savent pas, que tu l'aimes à lui. Que c'est lui, et pas "elle". Et ça, ça t'met le stresse. Si tu en rejette une, ils vont se douter de quelque chose. Et t'as pas l'droit. Même de dire que ton cœur va ailleurs, parce que ça remonte toujours trop loin. Un soupire à peine audible sort de t'es lèvres charnues et tu pénètres enfin dans le cabaret, les mains dans les poches. Tu les suis parce que de toute manière tu ne connais pas les lieux : se perdre, serait très désavantageux, Dieu sait sur qui tu pouvais tomber. Ils prennent encore quelques verres et t'en colles un dans les mains. Tu hausses les épaules et tu t'assoies sur la banquette au milieu de tous. Tu portes l'objet à t'es lèvres avant de poser les yeux sur la scène en face de toi. Et tu restes bloquer, retirant lentement ce dernier de t'es pulpes. Mais qu'est-ce que...
She says, "You don't want to be like me
Don't wanna see all the things I've seen."
I'm dying, I'm dying
She says, "You don't want to get this way
Famous and dumb at an early age."
Lying, I’m lying
The boys, the girls, they all like Carmen
She gives them butterflies, bats her cartoon eyes
She laughs like God, her mind's like a diamond
Audio tune lies, she's still shining
Like lightning, ohh, white lightning
#Teampink
Mer 25 Mai - 0:47
Yamashita Elly
All In
Tenue + Ce soir est un soir assez spécial, pas pour toi mais pour ce groupe de jeunes ayant payés une somme assez conséquente au patron tout en exigeant la meilleure danseuse c'est-à-dire toi afin de faire un show digne de ce nom à l'un de leur ami pour fêter un événement spécial, tu ne te rappelles plus quoi mais de toute manière tu t'en fiches, t'as juste envie de l'émoustiller suffisamment pour qu'il se souvienne de toi et tes formes pulpeuses. Minuit, tu t'es entraînée toute la journée comme à ton habitude lors d'un show privé et, attendant derrière ce rideau, tu entends le groupe arriver tandis que les barmans accueillent les garçons, les dirigeants alors vers leur banquette attitrée. Bien entendu, il y a également du beau monde à côté mais ce soir, Hinami est exclusivement à ce jeune homme qui ne sait absolument pas ce qui se trame dans son dos. La musique se lance tandis que les rideaux se lèvent, tu es derrière ces barreaux que tu tiens fermement tandis que ton corps descend le long de ces derniers, bougeant sensuellement au rythme de la musique. Bien entendu, tu n'hésites pas à jouer avec tes formes, tes fesses glissant lentement contre l'une de ces barres métalliques et froides tandis que tu sors de cette cage, continuant sur cette scène cette chorégraphie sexy. Tu ne cesses de fixer le garçon tout en lui adressant des sourires lubriques tandis que tu te diriges pas à pas vers lui. À présent, tu es face à lui, tu en profites alors pour l'attraper par le col afin d'approcher ta bouche de son oreille afin de lui murmurer quelques propos salaces avant de le repousser sauvagement contre la banquette, montant alors à califourchon sur lui. Ton bassin se met alors à se mouvoir tandis que tu joues sensuellement avec tes cheveux. Ce n'est que le début de la soirée et le beau brun n'est pas prêt d'être au bout de ses surprises. Puis, te relevant après avoir attiré son attention, tu grimpes sur le comptoir face à lui tout en ondulant ton corps, accompagnée de quelques danseuses derrières toi afin de rendre le tout plus attractif. Tu continues tes provocations et tes allusions sexuelles dans tes mouvements, n'hésitant pas à jouer avec l'élastique de ta propre culotte tout laissant échapper un petit rire inaudible.
Et tu t'rends compte que t'as fait une connerie, d'accepter de quitter ton appartement, d'accepter de te laisser traîner dehors. Ils te félicitaient pour la fin de ta carrière en tant que guitariste, fraîchement reconvertis en professeur de musique. Mais si seulement ils savaient pourquoi t'as fait ça, ils te cracherais tous à la gueule. Abandonner un avenir rayonnant à travers le globe, une notoriété suprême ... Pour une seule personne. Par amour et compassion. Pour pouvoir tenter un avenir incertain aux côtés d'un homme dont tu n'es même pas sûr de pouvoir garder. T'es qu'un p'tit con qui au fond à donner une chance à un autre - celui qui t'a remplacé. Ce n'est pas plus mal, c'est c'que tu t'dis. Mais quand tu vois cette femme mouver son corps devant ta gueule, ça t'dégoûtes. Tu peux pas le nier ouais, c'est une belle femme. Une très, belle femme. Mais toi t'en veux pas. T'en veux pas, tu ressens aucun désir... Et plus elle se rapproche, et plus tu te sens en danger. Et tu sais pas quoi faire. Tu paniques intérieurement, elle est devant toi et elle attrape le col de ta chemise. Ton cœur rate un battement, tu voudrais la repousser mais les autres te regarde, alors tu contentes de serrer ton verre entre t'es doigts et tu fermes les yeux sous ses mots dégueulasses. Repoussé, ton dos heurte la banquette et tu manques de renverser ton verre. Tu le lèves un peu histoire que cela ne se fasse pas. Et tu le bois d'un trait. Pour oublier, pour te faire sortir d'ici. Parce que tu n'as envie que d'une chose, c'est de partir en courant, appeler Hiroki et le supplier de venir te voir. Mais tu l'sais très bien, que tu ne feras jamais ça. Le drame. Elle te monte dessus, à califourchon. Et tu écartes t'es bras par réflexe. Tu la regarde... Elle et son corps trop dénudé... Et t'as envie d'lui vomir dessus. Parce que malgré sa beauté, son corps parfait et ses courbes alléchantes, tu vois autre chose. Oui, tu vois les microbes, les saletés, les maladies peut-être ? T'en sais rien, et tu veux pas savoir. Mais ce côté là de la vie te fait être parano et tu l'assumes (pas trop). Elle touche t'es cheveux, c'est le comble. T'as envie d'lui d'dire d'arrêter d'le toucher, parce que de toute manière, même avec ses mouvements du bassin... Tu band'ras pas. Elle s'écarte et tu sens un énorme soulagement se pendre à ton corps ; mais extérieurement, rien de tout cela se voit. Tu restes impassibles et quand bien même tu prends l'un des verres de l'un de t'es amis que tu bois sans conséquences. T'as juste envie d'mourir, alors autant boire un peu pour faire passer les choses avec plus de facilités. Mais hors de question d'te bourrer, parce qu'elle pourrait profiter d'ton corps ... Et ça tu refuses. Personne te touches, parce qu'il est là. Autant dans ton cœur que dans ta petite tête brune. C'est elle qui t'as touché, et t'as l'impression déjà d'avoir été infidèle. Et t'as envie d'pleurer, pauvre petite chose. Non, non, non... Des murmures, quand tu l'as vois jouer avec les élastiques de sa petite culotte. Mais malgré tout, tu détourne pas ton regard... Parce que tu veux pas qu'les autres se doute de quoi que se soit... Ouais, c'est ça. Et puis tu supportes pas les allusions sexuelles auxquelles elle peut prétendre... Et puis concrètement, t'es au bout d'ta vie.
She says, "You don't want to be like me
Don't wanna see all the things I've seen."
I'm dying, I'm dying
She says, "You don't want to get this way
Famous and dumb at an early age."
Lying, I’m lying
The boys, the girls, they all like Carmen
She gives them butterflies, bats her cartoon eyes
She laughs like God, her mind's like a diamond
Audio tune lies, she's still shining
Like lightning, ohh, white lightning
#Teampink
Mer 25 Mai - 22:29
Yamashita Elly
All In
Tenue + En vérité, il y a là un véritable défi face à toi. Oui, après des années dans ce domaine, tu arrives à savoir si un homme est émoustillé par ce qu'il se trame devant lui et là, le jeune garçon n'est vraiment pas emballé par ta prestation mais ce n'est pas grave, au bout d'un moment, il craquera probablement. Tout les hommes finissent par craquer, tu le sais. Alors, tu continue tes mouvement de hanches aussi sensuels soient-ils, excitant alors sa petite bande de pote qui étaient totalement éméchés seulement ils ne t'intéressent absolument pas, ce show ne leur est pas réservé. Les néons et la plaque tournante juste en dessous de toi parviennent à mettre tous tes atouts en valeur tandis que ta danse se fait de plus en plus sexy, tes cheveux parfaitement frisés ondulent le long de ton corps et les froufrous servant à cacher tes seins restent tout de même bien trop petit pour ta poitrine mais peu importe, c'est justement le but. Voyant qu'il n'y avait toujours pas de résultat, tu avais alors décidé de passer à la vitesse supérieure, usant de tes talents en danse afin de continuer ta performance grâce à cette barre de strip-tease tout en glissant sensuellement le long de cette dernière, te relevants en faisant bien entendu attention à ce que ta jolie paire de fesses aussi naturelles et bombées soient-elles soient mises en avant. Si il n'y avait absolument aucunes réaction de la part du garçon, ce dernier était obligatoirement gay et ses amis ne le savaient pas sinon ils le l'auraient pas traîné de force ici. Peu importe, ils ont payés alors tu danse et tu souris aussi lubriquement que possible, c'est ton métier après tout. Bougeant plus énergiquement cette fois-ci, tu avais de nouveau décidé d'aller d'avantage plus vite, attirant l'oeil d'un bon nombre de clients présents alors que ces derniers avaient un show devant eux tandis que tu te fais plus sexy et belle que jamais. Ton corps ondule au rythme de la musique tandis que tu t'approches de nouveau tu jeune homme tout en allant directement sur lui, ta bouche allant à son oreille, lui murmurant alors ces quelques mots : « Sois t'es pd, sois t'es un véritable coincé du cul pour ne pas réagir à ça. » Puis, mordillant légèrement le lobe de son oreille dans le but de le provoquer, tu te lèves de nouveau afin de continuer ta prestation aussi sexy et sensuelle soit-elle.
Tu la voit se trémousser devant ta petite gueule. Elle n'est qu'à toi et ça t'en a conscience. Elle n'est là que pour satisfaire ce qu'un homme normal aurait souhaité... Mais toi, t'es pas si normal que ça. Mais tu te cris qu'il faut que tu fasses un effort, aussi surhumain soit-il. Qu'tu lui montres qu'elle est belle, qu'elle a un corps à en faire fantasmer plus d'un ... Mais pas toi. Et ce détail te ronge, parce que tu t'dis qu'elle a pas mérité ça. Qu'elle, elle est là pour se rendre désirable. Sa petite tenue trop osée t'arrache un soupire discret et solitaire. Bien qu'être avec un homme n'arrange pas les choses, tu n'as jamais eus d'attirance pour la vulgarité et les choses sales. Mais ce n'est pas pour autant que tu détournes ton regard de sa chaire. Et lorsque tu te sens observé par t'es acolytes, tu oses balader ton regard un peu plus personnellement sur la nymphe. Elle se frotte à cette barre, tu la suis de t'es pupilles. Parce que malgré tout, c'est beau. C'est de l'art, en quelque sorte. Ah oui Isao, essaie de trouver des excuses à cette pauvre petite qui ne sait faire que ça, qui attise en toi du dégoût et une nausée sans pareil lorsque tu penses à toutes les merdes qui seraient susceptibles de traîner sur ses vérités. Elle s'approche de nouveau. Ton souffle ce coupe un peu parce qu'elle est bien plus proche que précédemment. Et tu oses. Ô oui, tu oses par le grand des soutiens céleste, poser ta main droite sur sa hanche. Courbe divines à la douceur sans pareil. Sois t'es pd, sois t'es un véritable coincé du cul pour ne pas réagir à ça. Et tu restes de marbre face à cela. Tu ne dois rien montrer, rien dire en ce qui concerne ta seconde attirance - qui au fond, ne concerne qu'un seul homme. Tu n'as jamais été attiré par d'autres que lui. Cherche l'erreur Isao : t'en est une à toi tout seul. Elle se redresse, tu retires ta main sous une caresse en suivant son mouvement. Elle reprend son show. Tu reprends ton contrôle pour ta motivation à lui montrer qu'elle peut te faire un quelconque effet. Mais lorsque tout cela sera terminé, que vas-tu faire ? La rejoindre ? Lui dire qu'elle est magnifique mais que tu n'es pas libre ? Un homme aussi fidèle n'existe pas, elle doit bien le savoir. Mais peut-être croira-t-elle à un miracle ? T'es dans une merde inconsidérée, parce qu'il est hors de question de coucher avec elle pour garder ton image. Pour deux points, qui le premier soupçonne les traits révélés plus hauts et le second ... Ah, la paranoïa. Elle termine majestueusement. Et toi, t'es là à la fixer alors que les lumières se tamisent peu à peu, laissant finalement place à un noir agréable et calme, en contraste avec ce qu'il venait de se passer. Etat atmosphérique qui ne dura pas, car elle fut remplacer par des demoiselles un peu plus jeunes sûrement, quelque chose de plus banal, disons. Et tu prends encore un verre, le buvant d'un trait alors que t'es amis se mettent à rire en te voyant te lever. Pour eux, tu allais la rejoindre pour, vulgairement dit "te la faire". Mais il n'était pas question de cela. Tu le savais. Et elle aussi, au fond. Elle l'avait vu dans t'es yeux. Le respect que tu lui donnais malgré ton dégoût. Le vigile te laisse passer et tu rejoins l'arrière pour finalement tomber sur la loge de la danseuse, tapant doucement contre le bois de la porte. Tu n'entres que lorsque tu y es autorisé. Et tu te retrouves dans son monde. Dans son univers. Et tu te sens inconsciemment en danger.
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Jeu 9 Juin - 19:56
Yamashita Elly
All In
Tenue + Ton corps se trémoussant majestueusement sous les néons du podium sur lequel tu t'étais élancé, ton corps mis en avant, tu avais tout d'une nymphe. Les yeux de ce garçon n'osant s'aventurer sur ce qu'il avait devant lui, la déduction n'avait été que trop simple pour toi, toi l'enfant de la rue qui avait été élevée non pas par ta famille mais cette domestique qui, à cette époque ou tu n'étais qu'une gamine candide et pleine de rêves et d'espoirs, exerçait cette même profession que la tienne actuellement. Elle avait été ton modèle durant des années et, désormais, l'élève avait dépassé le maître, ton corps brillait parmi ces jeunes filles comme un astre dans ce ciel étoilé. Cet inconnu, s'abreuvant sur ce siège en compagnie de sa troupe de fidèles amis l'accompagnant dans sa virée nocturne, ne semblait pas être à son aise alors que ton corps se déhanchait sensuellement non loin de lui, ces vêtements épousant parfaitement les courbes de ton corps si merveilleusement bien foutu. Une idée s'était mise à germer dans ton esprit et, après plusieurs tentatives, la conclusion avait été la bonne lors de ta petite confession à l'oreille de ce dernier, réagissant comme tu l'avait souhaité. Égaré, ce dernier tentait de paraître plus qu'intéressé par ta charmante poitrine malgré son dégoût apparent, toi même reconnaissant les regards de ces hommes avides de ce pêché de chair qu'ils tentent de commettre, sans succès. Le show se termine, les lumières qui faisaient de toi la star de la soirée s'éteignent petit à petit, laissant place à l'obscurité, te laissant alors le temps de t'éclipser vite fait bien fait, tes talons aiguilles foulant les sol tandis que tu te hâtais de rejoindre ta loge afin d'ôter cet accoutrement pour te glisser dans de plus amples vêtements. Seulement, le bruit d'un poing battant contre cette porte boisée te surprends légèrement mais peu importe, tu laisse l'inconnu rentrer, quel qu’il soit. « Ah, c'est toi. » Un léger soupir traversant tes lippes, te voilà désormais dans ton plus simple appareil devant lui, enfilant par la suite des sous vêtements avant de reposer ton attention sur le gamin qui, lui, semblait totalement perdu dans ton univers, celui des strass et des paillettes, celui dans lequel tu t'y plaisait quoi que l'on puisse te dire. « T'es venu là pour faire croire à tes potes qu'on va baiser et les laisser dans leur illusion ? J'avais bien remarqué au bout d'un moment que ce qui ne t'intéresse pas sont les paires de seins mais plutôt les mecs. » Enfilant alors une légère robe, te voilà désormais dos à lui, tout près de son corps tandis que, dans un geste particulièrement tendancieux - si le jeune homme était d'avantage attiré par la gente féminine, tu avais mis tes cheveux devant tes épaules afin de laisser libre accès à ton dos nu. « Tu veux pas fermer la fermeture éclair de ma robe ? Ca sert à rien que je reste là, je préfère rentrer chez moi et dormir plutôt que de rester plantée là, à moins que tu avais une faveur particulière à me demander. »
Tu t'rends compte que ton monde est beaucoup trop opposé au siens. Tu regardes un peu la pièce dans laquelle tu te trouves. C'est trop ... Trop tout, pour toi. Trop amorphe dans la luxure, tu tournes ton visage vers elle lorsque tu entends sa voix. T'es venu là pour faire croire à tes potes qu'on va baiser et les laisser dans leur illusion ? J'avais bien remarqué au bout d'un moment que ce qui ne t'intéresse pas sont les paires de seins mais plutôt les mecs. Elle n'aurait pas eut tord si cela n'avait pas été toi en face d'elle. Tu n'étais pas le roi des cons et dégrader l'image de cette femme à ton profit... Tu soupires, vulgairement, ton dos appuyé à la porte. Non, ça j'en ai rien à foutre. Parce que ça t'énerve, aussi, la manière dont elle ose s'adresser à toi alors que jusqu'à présent ton manque de respect n'avait été que physique. Tu veux pas fermer la fermeture éclair de ma robe ? Ca sert à rien que je reste là, je préfère rentrer chez moi et dormir plutôt que de rester plantée là, à moins que tu avais une faveur particulière à me demander. Tu la regarde, elle. Non loin de ton corps. Et tu attrapes le bout de sa robe, remontant doucereusement la fermeture. Je suis venu m'excuser. Tu attends qu'elle se retourne pour la regarder. Elle est belle. Son corps, aussi. Tu ne peux pas le nier. Elle est attirante. Mais tu te dois de révulser t'es pulsions masculines. Parce que ta prestation était belle. (...) Je sais. Je laisse penser le contraire. Tu laisses un blanc, alors qu'au final tu lui souris. D'un point de vue artistique (et c'est le seul que tu retiens ce soir) c'était merveilleux. Je ne suis pas attiré par les hommes, et si je n'avais pas de savoir vivre je serais déjà en train de te toucher, et plus si affinité. Mais je n'aborde pas les femmes de la sorte. Tu dois sûrement te demander pourquoi est-ce que je n'ai pas réagis face à toi. Et elle était dans ses droit, n'est-ce pas. C'est parce que ça me répugne, la manière dont une femme peut être mise en avant simplement avec son corps. Tu retrousses un peu t'es lèvres, haussant les épaules. Maintenant elle sait, que ton attirance pour les femmes est fondée sur leur personnalité et non leur physique, que tu ne supportes pas ce manque de respect jugé sur la gente féminine. Tu finis par te décaler, légèrement, ouvrant la porte. Alors j'ose espérer te revoir dans d'autres circonstances. Tu laisses planer le doute. Tu laisses planer les efforts et l'incompréhension. Parce que t'es obligé, de jouer avec le feu.
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