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remember me + usami renji

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Dim 1 Mai - 18:18
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 ❝ remember me ❞
usami renji ~


Ce n'était pas tous les jours que je gagnais un concours. Oui, c'est moi qui ai reçu le cadeau du jeu auquel j'ai juste participé à la sortie d'une boutique de luxe dans laquelle j'apprécie traîner depuis que je suis arrivée à Tôkyô. Ce matin, je me réveille donc dans un immense lit moelleux après une soirée bien arrosée avec des amies la veille. Je m'étire, frotte mes yeux, baille et décide finalement de m'enfoncer un peu plus dans les draps. Il faut que j'en profite, mon appartement étudiant n'a pas autant de confort. J'ai même l'impression que la taille de ce lit fait à peu près les mêmes dimensions que mon logement entier. Si j'exagère ? A peine. Et pourtant, tous les soirs, je vais travailler dans un restaurant afin de financer mes études et mes fins de mois. Mais, aujourd'hui, je n'ai pas envie de penser à ça. Aujourd'hui, je vais être traitée un peu comme une princesse, non ? Je me redresse, décroche le téléphone et commande mon petit-déjeuner en anglais. Cet hôtel parle plusieurs langues, et comme j'ai un peu de mal avec certaines prononciations japonaises, je préfère rester sur mes bases plutôt que me retrouver avec un jus d'ananas à la place de l'orange. Le temps que cela arrive, je file me glisser sous une bonne douche chaude, profitant des jets d'eau massant. Je n'imagine pas un seul instant le prix que cela m'aurait coûté si je n'avais pas gagné...
C'est tandis que je termine de me sécher les cheveux que l'on frappe à la porte. Le petit-déjeuner servit, je m'empresse de remercier le serveur et attaque immédiatement toute la nourriture qui s'étend devant mes yeux. Après la soirée que j'ai passé hier, manger de cette manière me fait du bien, même si, bien sûr, je n'arrive pas à tout terminer. Le reste de la mâtinée, je la passe à travailler mes cours parce que oui, c'est le week-end, mais le lundi arrive toujours trop vite. Ce n'est que lorsque je reçois un message sur mon téléphone portable que je lève la tête, relâche la pression et appelle mon amie. Nous discutons un long moment, revenant bien évidemment sur le jeune homme bien trop insistant et vulgaire qui m'a alpagué, plus que bourré et j'en viens à rire même si je l'ai trouvé irrespectueux. Pour un nippon d'ailleurs, c'est bien étonnant. C'est seulement vers treize heures que je descends au restaurant de l'hôtel, vêtue d'un jean noir retroussée, d'un top doré à fines bretelles surplombé d'une veste de costume et j'ai enfilé une paire de ballerines toutes simples. Mes cheveux sont juste lâchés mais, à côté de certaines autres clientes, j'ai l'impression de faire tâche.
Je m'avance, on m'attribue quand même une table comme tous les autres. J'ai une vue dégagée sur l'ensemble de la salle et, surtout, sur la rue piétonne de Minato. Le quartier riche par excellence dans lequel je me vois bien travailler à la fin de mon master. J'espère que j'obtiendrais un stage dans le coin histoire de m'en faire une idée. Quelques secondes s'écoulent puis un garçon, un maître d'hôtel, s'avance vers moi pour me proposer la carte et me parler des plats du jour. Je ne peux m'empêcher de me révolter dès ses premiers mots.

« Toi ! je m'engorge dans ma langue natale. Tu pourrais au moins t'excuser pour hier au lieu de venir là comme une fleur m'apporter ta carte. »

Je ne suis pas du genre à me donner en spectacle, mais je suis rancunière et ce jeune homme ne passera pas au travers du filet.



© Code de Phoenix O'Connell pour Never-Utopia
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Dim 1 Mai - 19:26
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 ❝ remember me ❞
charlotte & renji ~


Quand j’ouvre la porte des cuisines, l’ensemble du personnel se fige quelques secondes, avant de reprendre une activité normale. Aujourd’hui est un grand jour, nous accueillons un représentant politique indien. Il est très important d’être irréprochable et je ne tolèrerais aucun faux pas pendant son séjour. J’ai mis les meilleurs pour s’occuper de sa suite et de lui. Nous avons passé un mois à étudier ses habitudes alimentaires, ses allergies, pour ne commettre aucun impair. Je passe et goûte quelques plats, au hasard. Nous ne devons pas léser nos clients également. Si la présence exceptionnelle d’une personnalité est un événement et une aubaine pour nous, s’occuper du confort de nos clients « habituels » est aussi une priorité. Avant de sortir des cuisines, je donne quelques directives aux chefs de cuisine.

La tension est palpable ce matin et j’avoue que moi-même je suis un peu stressé. Ce travail est l’opportunité pour moi de me racheter aux yeux de mes parents. J’aurais accès à ma pleine fortune une fois qu’ils auront été satisfaits de mon comportement pendant cette année. Même si ça ne m’empêche pas de mener ma vie nocturne en parallèle. Je m’avance jusqu’à l’accueil et salue avec les hôtesses et hôtes notre invité de marque, m’inclinant respectueusement. Je m’exprime dans un parfait anglais, puisque c’est ma langue natale, lui demandant s’il a fait un bon séjour. Il semble être très satisfait et les hôtes prennent le relais, tandis que je me tiens à quelques centimètres, observant le tout d’un œil méticuleux. C’est moi le chef d’orchestre ici et si la moindre chose se passe mal, c’est ma tête qui saute. J’appelle les bagagistes et ils se saisissent des valises de chacun des arrivants. J’avance avec eux, échangeant sur des sujets anodins. Sa venue est strictement politique. Nous avons même reçu un appel du Gouvernement pour nous occuper correctement de ces invités. Autant dire que nous avons tous une pression monstre, sans ajouter la présence des journalistes. Les invités souhaitent se reposer et après un check rapide des différentes suites, je referme les portes derrière moi, leur indiquant de ne pas hésiter à nous solliciter si besoin. La pression se relâche quelques secondes. Je refais le nœud de ma cravate et descend les marches de l’escalier principal, saluant quelques clients que je reconnais. A nouveau, je donne quelques instructions, par ci, par là, avant de me diriger vers le restaurant. Il est déjà plein à craquer. Nos nouveaux invités auront le privilège d’avoir la terrasse qui leur est réservée, celle qui donne une vue incroyable sur Tokyo. Mes yeux parcourent la salle et je remarque une cliente que je ne reconnais pas, habillée simplement. Je m’amuse de ses ballerines, de son jean retroussé, ses cheveux un peu défaits, un peu en pagaille. C’est dommage, si elle faisait un peu plus attention à elle, elle pourrait être très belle. Ça m’amuse et je me décide à aller la servir. Je me saisis d’une carte et m’approche de sa table, me penchant pour la lui tendre, des deux mains. Je déroule le menu du jour et lui demande ce qui lui ferait plaisir, quand elle se met à me crier dessus en anglais. Je me racle la gorge, légèrement gêné par cette effusion de voix. Beg your pardon, Madam ? Do I have the pleasure to know you ? Je clignote des yeux, perplexe. Visiblement oui, puisqu’elle me demande de m’excuser. J’avoue, même si je la regarde attentivement, je ne la reconnais pas du tout.



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Lun 2 Mai - 19:09
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 ❝ remember me ❞
usami renji ~


Je ne peux pas me tromper. Je le reconnaîtrais entre mille, surtout que la veille n'est pas bien loin. Son regard, son visage, c'est bien le jeune homme qui m'a accosté de manière un peu trop brusque. Même s'il s'exprime avec un anglais parfait, je ne me laisse pas démonter.

« Oui, on se connaît, je lui réplique. à moins que tu aies oublié la manière pitoyable dans lequel tu as terminé ta soirée, hier ? Ivre mort, si je peux me permettre. »

Je me moque des pairs d'yeux qui se tournent dans notre direction, alarmées d'entendre parler aussi fort dans cet hôtel où tout semble si calme. Je ne suis pas du genre à être gênée et l'air que prend le maître d'hôtel en face de moi a le don de m'exaspérer plus qu'il ne peut sans doute l'imaginer. Néanmoins, je décide de me calmer en lui prenant des mains la carte qu'il me tend et je lui fais signe de me laisser choisir tranquillement ce que je désire. Je n'ai pas besoin de lui pour comprendre le menu, surtout que, par chance, il y a la version japonaise et la version anglaise. J'imagine que mon manque de tact n'a pas dû plaire à beaucoup, mais cela m'est égal. J'ai agi sur le coup de la surprise et de la colère de le retrouver là. Est-ce que cela lui prend souvent de presque agresser quelqu'un pour vouloir l'aborder ? Je plains toutes celles qui ont pu tomber dans son piège. Il n'a que l'apparence d'un japonais de ce que je peux constater.
Reprenant peu à peu mon sang-froid, j'appelle un autre serveur pour qu'il vienne prendre ma commande. Je lui demande un morceau de viande avec une spécialité de légumes et, bien sûr, un petit verre de vin pour accompagner le tout. J'espère que je ne passe pas pour une cliente capricieuse, car ce n'est pas comme ça que je suis. Je soupire, entame le verre qu'on m'a apportée et ose jeter un œil au maître d'hôtel qui accompagne plusieurs clients sur la terrasse. J'ignore qui ils sont, mais je n'ai pas besoin de leurs identités pour me douter qu'il s'agit sans doute de grands noms. Je ne compte pas le mettre dans l'embarras pour son travail, alors je préfère me taire dans un premier temps, patientant jusqu'à ce qu'il vienne déposer mon repas devant moi.

« J'ai vu tes invités, je lui annonce. Je ne te mettrais pas aussi mal à l'aise que tu me l'as fait hier, même si ça me démange, mais je veux des excuses de ta part. »

Rancunière, oui, mais pas biatch. Je le fixe droit dans les yeux avant d'attaquer le plat qui se présente devant moi. Tout comme le petit-déjeuner, c'est délicieux, mais je suis incapable de tout engloutir. En revanche, mon verre de vin est bien passé. J'attends désormais mon dessert, une pâtisserie au thé vert matcha. C'est pour l'originalité de la chose que je l'ai choisie - je ne suis pas certaine d'aimer le goût.



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Dim 8 Mai - 19:29
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❝ remember me ❞
charlotte & renji ~


Je me noie dans la perplexité. Clignant des yeux, signe manifeste que je ne comprends rien à ce qu’elle me raconte, je reste d’abord silencieux. Apparemment, nous nous connaissons. Mais je n’ai aucun souvenir de la demoiselle, ce qui est un peu inquiétant … pour elle. A moins que nous n’ayons pas couché ensemble, ce qui me paraitrait quand même très étonnant. Parce qu’elle est loin d’être vilaine à regarder. Ça me paraitrait fout de l’avoir vu sans avoir tenté quelque chose. Mais je n’ai pas très envie de poursuivre cette conversation, car elle n’est pas très discrète. La moitié des personnes assises dans le restaurant nous fixe sans gêne et je dois me faire violence pour me rappeler que je suis sur mon lieu de travail, que je suis supposé me tenir convenablement pendant un an. Et puis, je déteste me faire remarquer de cette façon, quand quelqu’un essaie de m’humilier. Je retiens un soupir d’agacement quand elle m’envoie balader de la main. Je serre le poing, me forçant à m’incliner avant de me retirer. Si je ne portais pas mon uniforme de travail et si mes employés ne me fixaient pas avec des yeux interrogateurs, je me serais fait une joie de la remettre à sa place. Je me retire vers les cuisines, prétextant une envie irrémédiable de contrôler une énième fois si tout est en ordre. Mais je ne rends personne dupe. Avec le temps, ils ont appris à m’analyser. Quand je fais les cent pas, marchant sans but, c’est que j’essaie de me calmer. Je finis par ressortir, me dirigeant à l’extérieur, allant m’enquérir des invités prestigieux qui n’hésiteront pas à faire scandale au moindre faux pas. J’ai appris à me méfier des regards doux et des sourires complaisants. Cela cache trop souvent un caractère dédaigneux et qui n’hésitera pas à vous écraser à la moindre occasion. Je me force en sourire, mais les mots et l’audace de la jeune femme en tenue débraillée me trottent dans un coin de la tête. Il a fallu que l’indien se racle la gorge pour me faire retrouver mon professionnalisme. Là encore, je m’incline – stupide mœurs asiatiques – et me retire à la demande du politicien. Comme j’ai commencé à m’occuper de sa table, le serveur me tend son plat que je dépose lestement devant elle. La façon dont elle me parle – très américaine d’ailleurs car très familière – me fait hérisser les cheveux sur la nuque. Maintenant, rien qu’à l’entendre, elle m’agace. Je me penche légèrement, comme si je remettais quelque chose à sa place. Trop aimable de votre part. Mais le fait que je ne me souvienne pas de vous ne relève pas de mon fait … Mais plutôt d’un manque de, hm, comment dirais-je ? d’intérêt pour votre personne.



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Jeu 12 Mai - 22:27
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 ❝ remember me ❞
usami renji ~


Je pense que je ne saisis pas tout à fait la place du jeune homme dans cet hôtel, mais une chose que je saisis particulièrement, c'est qu'il ne semble pas prêt à faire d'efforts pour s'excuser de son comportement de la veille. Tandis que j'attends mon repas, je rage toute seule de mon côté, jetant un coup d’œil de temps à autre à ceux qui font bien trop de bruit de l'autre côté de la salle. De quelle origine sont-ils ? Une chose est certaine, vu leurs tenues et leurs prestances, ce sont des célébrités d'où ils viennent. Je soupire, bois la fin de mon verre de vin puis mon serveur revient avec mon repas dans les mains.

« Comment est-ce que tu te permets ça ? j'explose du tact au tact. Jusqu'à dernière nouvelle, je suis sensée être une cliente, alors la moindre des choses est que tu t'adresses à moi correctement. Même si j'ai gagné ce weekend, je ne vais pas hésiter à me plaindre au patron. »

Et tant pis si je passe pour une riche qui, elle, se permet de râler autant. Je ne supporte pas l'air supérieur qui est affiché sur le visage de mon interlocuteur et, surtout, je ne comprends pas pourquoi il s'évertue à ne pas me reconnaître. D'accord, je ne suis pas mise sur mon trente-et-un, mais je ne suis pas si différente de la veille tout de même !
Mon regard se porte finalement sur mon plat que je commence à déguster pour tenter d'oublier ces moments désagréables. Puis, un sourire se trace sur mes lèvres.

« Puisque tu es encore là, apporte-moi donc un autre verre de vin. »

Je me contente de lui adresser cet ordre sans même le regarder ou le remercier. Je ne sais pas si mon malaise comparé, j'espère bien jouer mon jeu. Lui, quelques heures plus tôt cette nuit, n'a pas non plus pensé à être plus poli avec moi. Peut-être que cela lui remettra les idées en place et lui permettra de se remémorer ce qu'il faisait ce soir-là. Même s'il avait l'air bien saoul, tout de même, qui l'est assez pour ne pas se remettre en tête le visage d'une personne ? Plus j'y pense, et plus il m'agace. Il vaut mieux que je me concentre sur mon repas et sur mon téléphone portable puisque je viens de recevoir un message d'une amie.



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Sam 4 Juin - 23:33
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❝ remember me ❞
charlotte & renji ~


Décidément, il est facile de la voir s’emporter. Même si elle hausse le ton et que nous attirons de nouveau l’attention de certains clients, je garde mon calme et une attitude neutre, doublé d’un visage fermé. Même si intérieurement je meurs d’envie d’exploser de rire. Visiblement, selon ses dires, nous nous serions déjà rencontrés. Toujours selon ses dires, je n’aurais pas eu le meilleur des comportements. Elle exige des excuses car je l’aurais mis mal à l’aise. Ce n’est pas trop mon genre, de m’aplatir sans raison. Parce que, accordons-nous bien, je n’ai aucun souvenir de cette fille et encore moins de mettre mal comporté. Mais je ne dis mot, pour le moment. Je note simplement l’information qu’elle a laissé échapper. J’aurais pu le deviner à sa façon de s’habiller. Mais elle vient confirmer mes suppositions. La demoiselle ne fait pas partie de la haute catégorie. Elle aurait gagné ce séjour. Un pari ? Un cadeau d’anniversaire ? Aucune idée et je m’en fiche pas mal. Je me contente de me redresser, m’inclinant légèrement lorsqu’elle me demande de lui amener un autre verre de vin. Hum, je ne suis pas un serveur et encore moins à son service. J’ai d’autres tâches qui m’attendent, bien plus importantes que d’être au petit soin de madame. J’ai déjà Keishi sur le dos, qui ne perdrait pas une occasion pour me mettre dehors. Je n’ai pas besoin d’elle pour l’y aider. Je pivote donc sur mes talons, claquant des doigts à un serveur qui passait, lui demandant de me ramener une bouteille de vin. En revenant à sa table, j’ouvre la bouteille, verse un peu et me met en retrait. Si vous voulez bien goûter. Ah, quel ennui, me voilà à son service. Monsieur, laissez-moi m’occuper de Madame, vous … Non, laissez. Je m’en occupe. J’observe le serveur qui est venu à ma rescousse. Il reste perplexe, hésitant sur la démarche à faire. Doit-il me laisser ou bien insister. Je le regarde réfléchir, avant de pointer du menton une autre table. Il se racle la gorge et file, sachant qu’il ne servira à rien d’insister. J’aurais aimé lui refiler cette tâche. Mais je sens qu’elle ne me laissera pas filer aussi facilement. Et puis, elle finit par m’intriguer. Ne vous a-t-on pas expliqué qu’il était plus approprié que de venir plus … comment dirais-je ?... apprêtée, dans ce genre d’endroit ? Je regarde son jean, qu’elle a maladroitement retroussé, remontant jusqu’à son haut que je ne décrirais pas. Peut-être a-t-elle pensé qu’il s’agissait d’un vulgaire hôtel.



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